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Prochain niveau: 2 EXP

Kennes éditions

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Janvier
19 janvier

Seul contre tous

Les space pillards viennent de perdre leur capitaine. Avant de mourir, celui-ci a nommé son fils Jimo comme successeur, ce qui n’est pas du goût du second, Burlax, qui va tout tenter pour l’éliminer. Premier tome d’une série jeunesse pleine d’humour.Cet album jeunesse imaginé et créé par Tony Emeriau et Liroy, est un petit format de 48 pages. Un équipage de pirates de l’espace y est mis en scène à bord de leur vaisseau, le starskull. Le Pitch est simple : le capitaine meurt et laisse son jeune fils, Jimo, hériter du trône… heu du vaisseau, ce qui n’est pas du tout du goût du second, Burlax. S’ensuit un enchainement de gags dans lequel Burlax tente désespérément de supprimer Jimo. Mais celui-ci est malin et il parvient à échapper à toutes les tentatives. Un rebondissement va changer la donne : le père décédé de Jimo lui laisse en héritage une sphère qui contient le plan d’un trésor. Burlax l’apprend et va tout faire pour s’accaparer l’objet précieux. Les courses-poursuites à bord du vaisseau et moult rebondissements vont mettre Jimo et son copain Trulilo dans de drôles de situations. Le dessin de Liroy colle parfaitement à l’univers d’Emeriau. Ses personnages tout en rondeurs, aux apparences extraterrestres diverses, font mouche. L’histoire est dynamique, rigolote et pleine de petits rebondissements qui font tout le charme de cette nouvelle série jeunesse.


Illustration : Liroy | Couleur : Liroy
Science-Fiction
Octobre
27 octobre

La mystère des enfants disparus

La jeune Miette va faire son entrée en primaire et découvrir l'apprentissage de la magie... Jusqu'à ce qu'elle disparaisse mystérieusement. Un nouveau tome d'une série jeunesse.Nous retrouvons dans ce nouveau tome, les personnages que nous avons pu suivre sur les volets précédents. Et une nouvelle expérience attend Miette et sa sœur : la plus jeune entre en classe de primaire. Un grand pas dans le monde des grands, elle est heureuse de pouvoir découvrir enfin l'apprentissage de la magie. Et Harmonie, la plus grande, va entrer au collège. Deux rentrées qui s'annoncent plutôt sereines, sous de bons auspices. Mais un drame va venir bouleverser la fin de journée. Plusieurs élèves de la classe de CP, dont Miette et son amie, ont mystérieusement disparu, et personne n'a d'indices pour les retrouver. Fidèle à elle-même, Harmonie va prendre les devants et partir dans une enquête pour résoudre ce mystère et retrouver les enfants. Les illustrations sont similaires aux premiers tomes : un dessin coloré, enfantin et dynamique, adressé à un public jeunesse. Le scénario est rythmé par une enquête et ses différentes étapes : situation de départ, incident, début de l'enquête, recherche d'indices, résolution. Cet album peut se lire de façon indépendante, car il propose une aventure complète. Côté thématiques, la bande dessinée aborde des années charnières de transition, notamment les rentrées symboliques en primaire et au collège. Mais elle aborde également l'entraide familiale et le droit à l'erreur.


Couleur : Lucile Thibaudier
Contes / Fééries
13 octobre

Paul et Pauline

Juin 1944, la jeune Pauline quitte sa ferme saccagée, en emmenant un papy bougon en fauteuil roulant à travers la Corrèze occupée par les nazis. Un joli road-trip pédestre, plein de lumières en dépit de la période.Ce premier opus (sur 2 prévus) débute par un flashforward, 10 ans après les faits, qui nous rassure d’emblée quant au devenir de la jeune femme, Sarah. Trois pages plus tard, on la découvre adolescente sous le prénom de Pauline, livrée à elle-même dans une ferme de Corrèze, aux derniers mois de l’occupation allemande. Juin 1944, c’est l’époque de la débâcle, des razzias vengeresses des nazis, du massacre d’Oradour-sur-Glane, pas si loin de la Corrèze. Une adolescente se livre alors à un road-trip pédestre en compagnie d’un papy bougon, qui dit se prénommer Paul, et auquel elle s’attache en dépit de ses incessantes récriminations. Ce rapprochement contre nature entre deux êtres que tout oppose, en période de crise, est un classique narratif. On se laisse néanmoins facilement porter par ce gentil poncif. Il faut alors chercher la plus-value de ce diptyque en devenir du côté du joli dessin, aux accents mangas, d’une grande douceur, que l’auteur complet H Tonton réalise à grand renfort de pastels et de couleurs lumineuses. L’époque est à la répression mortifère et pourtant un parfum estival et insouciant se dégage de ce road-trip à travers les paysages bucoliques de la Corrèze. On ne s’attend pas vraiment au cliffhanger de la fin de ce premier tome, qui relance totalement l’intérêt pour le second à venir. Sarah et Pauline sont-elles réellement la même personne à 10 ans d’écart ? A suivre…


Illustration : H. Tonton | Couleur : H. Tonton
Guerre
13 octobre

À Québec

Juliette reste à Québec avec sa mère. Sa ville natale recèle aussi de très jolies choses à découvrir. Or tout ne se passe pas aussi bien que prévu.Cette histoire immerge ses jeunes lecteurs dans la culture canadienne, avec la tire d'érable, le grand froid, le traineau avec des chiens... Cela offre un dépaysement pour le lecteur français. Au scénario, Lisette Morival n'oublie pas non plus les références à la culture populaire (cf. La reine des neiges). Son adaptation du roman éponyme de Rose-Line Brasset séduira celles qui ne connaissent que l'autre version. On a envie de se laisser porter par cette gentillesse et cette bonne humeur de groupe. Ces bande d'amis n'hésitent pas à tendre la main vers ceux qui en ont besoin. Bien entendu, la scénariste intègre un personnage plus septique que les autres. Une manière de montrer qu'il existe aussi des opinions divergentes. Les réflexes racistes sont aussi des façons de penser courantes... Le récit se termine bien, avec deux fins heureuses qui permettent de clôturer la lecture avec le sourire. La dimension sociale avec les migrants montre que l'insertion est toujours possible. Les barrières sont avant tout celles que l'on se crée. Emilie Decrock apporte beaucoup de douceur à travers les traits ronds et les couleurs chaleureuses. Son travail reste dans l'esprit des précédents tomes. On referme l'ouvrage avec le sourire et l'envie de retrouver ces héros positifs.


Couleur : Emilie Decrock
Chronique sociale
27 octobre

Reine des donuts

A l’occasion d’une fête, Léa surprend son frère et sa meilleure amie en train de s’embrasser, alors que Marilou a déjà un petit ami… Entre deux histoires de cœur, Léa va devoir trouver un job d’été.Les intrigues sentimentales de Léa et de ses amis sont dignes d’un sitcom pour adolescent(e)s. Les filles délaissent leur chum pour un autre garçon plus cute ; les gars changent de blonde à chaque party… Ah oui, information préalable utile : cette bande dessinée se déroule au Québec ! Un lexique en fin d’album viendra éclairer les lecteurs qui ne saisissent pas le sens de certaines expressions. Dans ce tome 10, entre ses histoires de cœur (toujours softs) et celles de ses camarades, Léa va devoir trouver un job d’été. La jeune fille va devenir serveuse au « roi du beigne ». Certaines filles de son lycée n’étant pas avares de critiques et de vacheries, elles vont saisir cette occasion pour se moquer de Léa. Heureusement, Léa peut compter sur le soutien de sa collègue. Cet album est dans la droite lignée des précédents avec pour sujet principal (et récurent) les amours d’adolescents et leurs nombreux rebondissements. Des cœurs seront à nouveaux brisés et des larmes de crocodile vont perler sur des visages juvéniles. Ce nouvel épisode de La vie compliquée de Léa Olivier, à l’instar des précédents, est sans surprise, avec des sentiments conventionnels. Le dessin semi-réaliste de Borecki colle parfaitement à cet univers adolescent, avec des personnages attachants et expressifs.


Chronique sociale
Juin
Septembre
8 septembre

Nanny Mandy T1

Nanny Mandy est la nounou rêvée des enfants et des parents. Jeune fille dynamique, attentive et bienveillante, elle se révèle l’idéal entre la grande sœur et la « bonne copine ». Elle aime prendre soin des enfants dont on lui confie la garde.Joris Chamblain est bien connu de la jeunesse pour être l’auteur de séries à succès comme Les carnets de Cerise ou encore Enola et les animaux extraordinaires. Marrianne Dubuis, alias Pacotine, illustre cette édition intégrale qui réunit les tomes 1 à 3 de la série Nanny Mandy. Pacotine est une dessinatrice pêchue et haute en couleur, à l’image de sa Mandy. En marge des albums jeunesse, elle travaille sur bien d’autres ouvrages. Son dessin est simple mais attractif et les couleurs de Virginie Blancher sont tout aussi foisonnantes. Mandy a un look éclatant et frais qui la rend sympathique. Elle est un joyeux mélange de nounou-psy gentille, elle aide les enfants qu’elle garde à affronter leurs différents problèmes. Elle est toujours bienveillante et s'attache aux enfants. L'amitié est aussi mise en avant, puisque Mandy ne se sépare jamais de sa meilleure amie Alicia. Les scénarios se révèlent à chaque fois simples, avec des sujets forts, actuels et récurrents dans bons nombre de familles. Comme l’arrivée d’un enfant, l’enfant stigmatisé et persécuté par la famille ou encore l’enfant qui n’est pas écouté par son entourage. Les lecteurs pourront se retrouver et se projeter à travers les différents personnages. Une lecture feel-good pour les têtes blondes.


Chronique sociale
Mars
Septembre
Juin
16 juin

Le Gros robot de l'espace pas gentil du tout

Papi emmène ses petits-enfants dans sa navette-bulle sur une planète où vit un robot géant très énervé. Mais pourquoi est-il aussi méchant ? Une aventure pleine de couleurs et de bienveillance pour les primo-lecteurs.Cette aventure hyper simplette, joyeuse, colorée et muette est évidemment façonnée pour accrocher les primo-lecteurs (les enfants qui ne savent pas encore lire) à la lecture d’une bande dessinée. La narration 100% visuelle s’arrange pour montrer de manière explicite ce qui arrive à ce papi savant qui n’a pas peur d’emmener sa descendance visiter une lointaine planète, là où vit un robot géant, rouge et qu’ils savent super agressif. Cette drôle d’idée de foncer tout droit vers le danger vient du petit garçon (on apprend en 4ème de couverture qu’il s’appelle Oscar) et sert de prétexte idéal à une aventure initiatique assez proche d’un autre petit héros bien connu des primo-lecteurs : Petit Poilu ! Car notre famille d’astronautes irresponsables va se retrouver bien penaude une fois que le méchant robot leur aura bousillé leur soucoupe-bulle. Comment faire pour revenir sur Terre ? Heureusement, comme dans Petit Poilu, une solution miracle se profile à travers la bienveillance. La bienveillance est d’ailleurs la recette miracle à la plupart des aventures pour cet âge – et c’est très bien ainsi ! Le dessin de Tony Emeriau est parfaitement adapté au lectorat-cible : très coloré, très expressif, avec un souci permanent de lisibilité maximale. Vers l’infini et au-delà…


Illustration : Tony Emeriau | Couleur : Tony Emeriau
Science-Fiction
Décembre
30 décembre

Olivier Rameau T4

Au pays de Rêverose, Olivier Rameau, Colombe et leurs amis n’en finissent pas de vivre des aventures incroyables, palpitantes mais surtout pleines de fantaisie. Les trois dernières aventures d’Olivier Rameau clôturant la série culte signée Dany et Greg.Les éditions Kennes clôturent la collection d'intégrales d’Olivier Rameau, une série imaginée par Greg et dessinée par Dany, parue entre 1970 et 2005. Cet opus contient les deux dernières grandes aventures, L’océan sans surface et Les disparus du bayou Plalah, qui ont connu un gap de 18 ans entre elles, dû, entre autre, au décès de Greg, ainsi que sept histoires courtes rassemblées dans Le rêve aux sept portes. Chacun des courts récits est imaginé et dessiné par Dany. Il explore à sa façon le monde fantaisiste de Rêverose pour mettre en scène ses deux protagonistes principaux, Olivier Rameau et Colombe Tiredaile. Il n’hésite d’ailleurs pas en mettre en lumière les charmes de la belle Colombe au travers de sa superbe plastique (un catéchisme qu'il déclinera par la suite en maintes histoires coquines). Dany use en effet d’un graphisme impeccable pour enluminer les aventures d’Olivier Rameau. Certaines planches méritent qu’on s’y attarde, tant les décors foisonnent de détails. Entre autre, la couverture illustre bien l’imagination mise en œuvre pour toutes ces histoires. Son dessin colle depuis le début parfaitement aux récits de Greg. Olivier Rameau, c’est avant tout une série pleine de poésie, de charme visuel, évoluant dans un pays fabuleux où tout est encore possible.


Mondes décalés
Octobre
21 octobre

La nuit du cerf

Jeffrey qui enquête sur la mystérieuse disparition de son père se retrouve prisonnier d’une école qui tient davantage de l’asile ou de la société secrète. Un second volume où le mystère s’épaissit, à en perdre les lecteurs...Le jeune Jeffrey va de surprises en surprises (comme les lecteurs, d’ailleurs) : il apprend que son école est un recueil de psychopathes, que les valeurs à respecter sont « la ponctualité, l’ordre et la cruauté », que la direction gazerait les élèves au cours d’exercice de sécurité, que des bêtes inquiétantes roderaient dans l’une des ailes de l’établissement ! Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’est pas au bout de ses surprises. Au-delà du fait que l’école où il est prisonnier ressemble à un asile, Jeffrey n’en sait toujours pas davantage sur ce qu’est devenu son père. Si, dans ce second volume, le mystère s’épaissit autour de cette école et sa réelle finalité, il en est également de même pour la fameuse clef que détient Jeffrey et qui est tant convoitée par la direction de l’école. Cette aventure est de plus en plus rocambolesque : expériences sur des pensionnaires, élèves aux attitudes pour le moins bizarres, adultes très inquiétants… A multiplier les mystères autour de cette société secrète et des références à d’autres œuvres, on s’y perd et on ne perçoit plus où souhaite nous embarquer le scénariste. Esthétiquement, Hamo rend une copie très séduisante : son dessin tout en rondeur avec des décors et une ambiance so british sont des plus plaisants.


Couleur : Hamo
Policier
28 octobre

Sous la surface

Alors que Leah accompagne son mari dans la campagne électorale pour les primaires des présidentielles, de veilles histoires refont surface. Un thriller à l’américaine extrêmement dense, aux multiples rebondissements.A l’occasion des fêtes de fin d’année, les éditions Kennes sortent une jaquette avec les 2 volumes qui composent ce thriller haletant adapté du roman de l’auteur québécois Martin Michaud. Nous sommes immergés au cœur des primaires des élections présidentielles américaines avec une histoire sordide qui ressurgit du passé. Le scénario de cette intrigue est d’une densité incroyable avec moultes surprises qui viennent brouiller les pistes et ainsi maintenir le suspense dans une tension permanente. L’instinct de survie de Leah va être plus d’une fois mis à rude épreuve et ainsi lui permettre de réaliser des prouesses incroyables comme arracher de ses dents l’oreille d’un de ses agresseurs ou encore démonter le pied d’une table pour en estourbir un autre et s’évader dans la foulée par une minuscule trappe. La débauche de moyens pour réduire au silence les acteurs potentiellement gênants est invraisemblable, allant jusqu’à l’utilisation d’un lance-roquette ! L’intensité de l’histoire donne à penser que nous sommes spectateurs d’un film d’action américain grand-public en permanence dans la surenchère de rebondissements et de violence. Si le temps a modifié les traits de Chase, ce n’est pas le cas pour Leah qui a conservé sa silhouette et les formes généreuses de sa jeunesse. Le dessin réaliste de Marco Dominici est plutôt plaisant et colle bien à l’univers et au rythme de cette histoire.


Thriller
Septembre
Octobre
14 octobre

La Mort à lunettes

Un ex-détenu qui vit à Harlem est choisi par l'armée américaine pour sa campagne de recrutement. Un dernier one-shot réaliste par le regretté Philippe Tome et le dessinateur Gérard Goffaux.Gérard Goffaux nous plonge dans l'ambiance de ce nouveau scénario du regretté Philippe Tome avec quelques codes graphiques familiers : les pages sur fond noir comme dans le génial Berceuse Assassine, et après le flash-forward d'ouverture une séquence silencieuse très cinématographique dans les rues new-yorkaises. Les fans de Tome sont en terrain connu, et vont plonger avec passion dans un des tout derniers scénarios du génial créateur de Soda, terminé juste avant sa disparition. Il faut prendre le temps de la lecture et de la relecture pour apprécier pleinement cet album très construit, et de quelle manière la vie de Malcolm et de son vieux compagnon de route s'expriment dans ce road-trip qui n'a rien d'anodin. On va bien entendu découvrir des choses sur les motivations du futur soldat, mais bien plus que cela. Au milieu du récit, une petite séquence établira un lien avec Sur la route de Selma, un des albums les plus emblématiques de Tome. Les deux récits ne sont pas liés, sauf dans une certaine continuité de destins, et évidemment dans cette passion pour l'Amérique décrite de l'intérieur. Goffaux s'est accompagné d'un coloriste au cahier des charges exigeant fait d'une multitude de nuances de gris et de marrons avec quelques touches de rouge. Redj imprime sa patte sur l'atmosphère du récit, lui donnant une profondeur et une gravité particulières. Le dossier en fin d'album est passionnant, Goffaux y partage des anecdotes sur son travail de plusieurs années avec son scénariste perfectionniste. Plus qu'un scénario inespéré d'un des grands de la BD franco-belge, La Mort à Lunettes est tout simplement un excellent one-shot, grand-public et profond à la fois.


Couleur : Goffaux
Thriller
Mars
Juillet
1 juillet

Mon pouvoir caché

Le père extraterrestre d’Obie l’inscrit à un camp d’entrainement dispensé par des barbares d’une lointaine planète. Il s’agit de bien le former à accomplir son destin d’élu ! Suite d’une série jeunesse originale, parfaitement adaptée au lectorat ado.Le second volet de cette série jeunesse plébiscitée par un prix au dernier festival BDboum (Blois) continue sur sa belle lancée. Pour rappel, le pitch est celui d’un enfant de divorcé classique, qui doit partager sa garde alternée entre ses deux parents… mais dont le père est un extraterrestre, et qui apprend son lourd destin d’élu, avec un grand pouvoir, qui sauvera sa planète. Rien que ça. Bonjour la charge mentale ! Le mariage entre chronique sociale, science-fiction et heroïc-fantasy aurait pu être casse-gueule, mais il fonctionne ici admirablement. Ce second volet se focalise quasi entièrement sur la formation d’Obie à devenir un guerrier. Il se déroule logiquement majoritairement sur la planète Oxythol, avec des paysages au-delà de l’exotique et des créatures extraterrestres disons… bigarrées ! Obie s’apprête ainsi de plus en plus à affronter son destin et peut-être même que le cliffhanger nous indique une piste sérieuse quant à la nature de son super-pouvoir. A confirmer au tome 3… En somme, en scénariste vétéran expérimenté, Pierre Makyo équilibre et dynamise idéalement cette histoire pour un lectorat jeunesse ; et sa compère italienne Alessio Buffolo poursuit la partition graphique dans la veine semi-réaliste détaillée qui a fait le succès du premier tome. Vite, la suite !


Science-Fiction
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