Du lycée jusqu’à l’université, Motochika et Natsuki vivent leur amour avec passion même si leur entourage l’ignore. Des épisodes pour le plaisir des yeux uniquement.Ce Dégradé bleu indigo est en réalité un spin-off de Blue sky complex qui n’a d’autre but que de nous montrer Natsuki et Motochika vivre leur amour, de la période allant du lycée jusqu’à l’université. A chaque épisode, il y a un petit évènement qui sert de prétexte à un moment charnel très chaud. Les intrigues sont très minces et relèvent uniquement du plaisir des yeux. Néanmoins, pour les fans, cela peut s’avérer satisfaisant. Quant aux dessins, ceux-ci sont très agréables et on apprécie que chaque chapitre change de mise en scène par rapport aux autres. Les scènes coquines ne sont jamais vulgaires et sont suffisamment explicites pour qu’on en profite. Pour le plaisir des yeux uniquement.
Muté dans un trou paumé à cause d’un incident gênant, Kasuya se découvre une passion commune avec son voisin Kuzuya pour la pénétration anale. Pas très recherché mais divertissant.Deux hommes se prétendant hétérosexuels (ils ont d’ailleurs du désir pour les femmes) décident de coucher ensemble pour assouvir leur passion commune pour la pénétration anale... Bon, on a connu des récits un peu plus intenses et des synopsis un peu plus épais que cela. Néanmoins, pour celles et ceux qui ont envie d’une histoire sans prise de tête (ce n’est en effet pas cette partie-là du corps qui est prise ici), voilà de quoi se satisfaire : ces messieurs écoutent leurs désirs et assument totalement leurs préférences, il n’y a pas de véritable intrigue et l’humour s’invite également à la fête. Quant aux dessins, ceux-ci occupent bien l’espace et présentent des personnages vraiment séduisants. Une lecture très satisfaisante.
Kaoru rencontre un homme pour l’aider à se débarrasser d’une prétendante qui le harcèle et leur relation va vite devenir charnelle. Une histoire convenue mais chaude et charmante.Deux hommes se rencontrent dans un cadre professionnel avant de se mettre au lit et de découvrir un plaisir incroyable. Quel est le problème alors ? Eh bien l’un d’eux a un pouvoir qui lui indique qu’il ne sera jamais lié à personne par le destin et a donc peur d’aimer son amant. Le récit n’est finalement pas très inspiré, il faut bien se l’avouer, mais les deux personnages dégagent beaucoup de magnétisme. Chacun d’eux a des blessures psychologiques et des craintes, c’est cela qui les rend plutôt attachants, et leur histoire connaît donc des hauts et des bas. Les dessins débordent de charme car ces messieurs sont séduisants et les scènes de sexe sont très érotiques sans tomber dans le vulgaire ni l’acrobatique. Bref, on tombe aussi sous le charme.
Dans un lycée d’alphas, Sena réalise qu’un de ses camarades est en réalité un oméga et va en profiter. Un one-shot très sexy.Un nouvel omegaverse voit le jour et nous fait saliver avec l’idée d’une relation coquine entre deux alphas. En réalité, on retombe sur le schéma classique de l’oméga soumit par un alpha à cause de ses phéromones. Bon, l’originalité provient en réalité surtout de l’obstination de l’oméga à ne pas céder son cœur. Côté intrigue, on a vu plus original et il faut bien reconnaître que l’ouvrage s’appuie avant tout sur ses scènes coquines. Heureusement, de ce côté-là on ne peut pas être déçu, aussi bien en quantité qu’en qualité : les deux protagonistes s’en donnent à cœur joie, multiplie les positions et les décors... Bref, on assiste à une avalanche de scènes chaudes qui ne manqueront pas de faire de l’effet. De plus, les dessins sont plutôt délicats et apportent du charme au tout. Un tome qui se laisse lire.
Hinata craint de perdre celui qui l'élève comme un fils, Midori, sans savoir grand-chose à propos de lui. Un récit moyen mais prenant quand même.En nous présentant un étudiant élevé par un autre homme qui nourrit des sentiments amoureux, on craint une histoire à la limite de l'inceste. S'il n'en est rien, on ne peut pas dire que la révélation de la nature de dieu d'un des deux personnages soit bien amenée ni crédible. Néanmoins, une fois que les choses sont posées, le scénario met en avant la relation de deux êtres solitaires très attachés l'un à l'autre. Il est évident que la fin est convenue, mais la tonalité de tragédie qui s'installe en toile de fond apporte un peu de tension et d'intensité à l'ensemble. Quant aux dessins, ceux-ci sont plutôt sympas et offrent des scènes coquines très chaleureuses. Un one-shot très correct malgré tout.
Un policier est chargé de veiller sur un jeune homme qui se donne à des visiteurs nocturnes. Une histoire un peu molle malgré un thème coquin.Un garçon qui se donne à tous ceux qui le souhaitent, un policier qui lui sert de chaperon... On s’attend à voir beaucoup de passages coquins et une relation intense entre les deux personnages principaux. Malheureusement, s’il y a bien des passages érotiques, ceux-ci sont en réalité peu nombreux et ne durent pas très longtemps non plus. De plus, une fois qu’Akihito a confié ce qu’il a sur le cœur, il n’y a plus grand-chose à attendre du récit : on a compris comment cela allait se terminer et le jeune homme lui-même trouve que le temps est long ! Les tentatives de remplissage ne fonctionnent pas très bien, et les longueurs se voient. On n’est toutefois pas déçus par les dessins qui sont fins et dynamiques. Hélas, cela ne rend pas l’ouvrage indispensable pour autant.
Quitté par son petit ami, Ise fait la rencontre d’un homme un peu plus âgé qui a besoin d’aide pour mettre son linge à sécher. L’histoire ne vole pas haut mais s’avère plaisante quand même.Et si la lessive pouvait engendrer l’amour ? Voilà une question qui fait un peu sourire, mais qui préoccupe notre personnage principal, Ise, qui rencontre un homme vraiment pas doué pour le ménage et, surtout, divorcé. Tous deux ressentent une attirance réciproque, mais ne savent pas comment faire comprendre à l’autre la force des sentiments qui naissent en eux. Bon, il faut bien se l’avouer, ce n’est pas le scénario de l’année, on a vu plus inspiré. Pour autant, les deux hommes se montrent attachants car ils se montrent francs et déterminés, leurs blessures psychologiques apportant un peu d’intensité dans tout cela. De plus, leur relation prend le temps de s’installer et de mûrir, et on évite ainsi le piège de la précipitation. C’est une certaine tendresse qui domine et apporte tout le charme nécessaire pour nous divertir. Les graphismes, plutôt fins, s’avèrent tout à fait charmants. Plutôt plaisant !
Ikuo recrute un professeur particulier pour sa petite sœur, sans reconnaître le garçon ni deviner ses sentiments. Convenu mais charmant.On ne compte plus les histoires mettant en scène un professeur particulier. Néanmoins, ici le jeune homme ne va pas nouer une relation avec son élève, mais nourrit des sentiments pour le frère aîné de cette dernière. On devine rapidement de quoi il s'agit, mais le récit ne se précipite pas pour autant, le scénario se concentre sur la naissance des sentiments du grand frère et la façon dont il va se rapprocher de son soupirant. L'intrigue n'est certes pas très surprenante, mais ce n'est pas non plus son but. C'est avant tout une réflexion sentimentale et psychologique qui est dépeinte, et la narration fait preuve d'une certaine délicatesse. Les personnages sont plutôt touchants et nous expriment bien leurs sentiments, l'ambiance reste relativement douce. Les dessins sont eux aussi assez classiques, mais ne déméritent pas et sont très charmants. Une histoire sympathique à défaut d'être originale.
Yamato et Yukio se rencontrent et se rapprochent lorsque le clan auquel appartiennent leurs pères est menacé de démantèlement. Trop décousu.Deux fils de yakuzas se rencontrent et, chacun ayant des soucis familiaux, se rapprochent. Et puis c’est tout. Il ne faut pas attendre grand-chose de leur relation car on passe d’une situation à l’autre sans réel lien et sans intérêt. Les sauts dans le temps sont mal amenés, les sentiments des personnages manquent d’explications et ce sont les têtes secondaires qui finissent par prendre le pas sur le tout. Là, on a le droit à des lycéens malmenés et perdus, mais on ne voit toujours pas de grande ligne ou de consistance, cela ne va pas dans le sens du scénario du début... Bref, la narration baigne dans la confusion et le lecteur aussi. Dommage car les graphismes étaient pourtant sympathiques. Hélas, le récit passe à côté de son sujet.
Yamato se rapproche du pauvre Yata, ce qui éveille la jalousie de Yukio. Un final plus lisible mais moyen.La narration se fluidifie dans ce second volet. Cette fois, il n’y a pas de bonds dans le temps intempestifs, Yamato et Yukio restent au centre du sujet. Grâce à cela, on comprend mieux ce qu’il se passe et les enjeux de tout cela. Malheureusement, on n’est pas convaincu du résultat car les personnages pleurnichent plus qu’ils n’agissent, les affaires de yakuzas sont presque anecdotiques et le rythme général est assez lent. Le scénario ne parvient pas à proposer une véritable intrigue dramatique, les sentiments ne sont pas bien mis en avant et l’ennui nous gagne. Les dessins s’en sortent en revanche pas trop mal avec un trait fin et délicat. Hélas, ce second tome n’est toujours pas au niveau pour rendre ce diptyque nécessaire.
Policier sans scrupule, Kairi couche avec un autre flic avant de le recruter pour enquêter sur un vendeur de drogue surnommé « la capuche rouge ». Sombre, sexy, prenant !Voilà une histoire sous haute tension : d’un côté, on suit les investigations d’une unité spéciale pour arrêter un mystérieux vendeur de drogue et, de l’autre, deux flics particuliers couchent ensemble pour assouvir leurs besoins. Dans les deux cas, le récit ne ménage ni son suspense ni ses personnages. La dimension psychologique apporte bien sûr toute sa saveur et sa noirceur à l’intrigue. Ainsi, la perversité du criminel à arrêter est terrifiante, la violence des rapports témoigne de l’instabilité des deux personnages principaux, et le parfum de danger qui plane tout au long de la lecture est enivrant. L’histoire est menée avec un bon équilibre et cela permet une bonne immersion. Quant aux dessins, ceux-ci sont fins, sexy quand il faut et tout le temps soignés. Un bon récit !
C’est lors d’une sortie avec des amis que Kana rencontre Keigo, un garçon qui assume d’être gay et qui perce son secret. Une bonne idée mais une narration trop abrupte.Cette histoire nous invite à suivre la rencontre de deux garçons homosexuels qui ont vécu un évènement douloureux et qui ont une vision complètement différente de leur préférence sexuelle. On n’a rien contre l’idée de rapprocher deux êtres blessés qui partagent plus de choses qu’ils ne le pensent, d’autant que chaque portrait a de quoi toucher. Le souci vient de la narration qui ne met pas en avant le bon sujet : les deux garçons se mettent rapidement au lit sans qu’on ne sache comment, les transitions sont souvent abruptes, les flashbacks ne sont pas mis en évidence, la relation entre les deux personnages principaux ne connaît pas vraiment de tension... En résumé, le scénario passe clairement à côté de son sujet et, malgré des dessins plutôt sympas, cela nous déçoit.
Camarades, voisins et amis d’enfance, Tsubame et Miyama sont en constante compétition mais les chaleurs de l’un pourraient bien modifier leur relation. Un scénario pas très consistant.Avant d’entrer dans le vif du sujet, ce volume prend le temps de nous présenter son « omegaverse », un monde où ces messieurs aussi peuvent enfanter. Ce n’est pas la première œuvre où l’on voit cela, mais au moins on sait à quoi s’attendre et le scénario n’a pas besoin de perdre du temps à nous en expliquer le concept. C’est dommage car c’est en fait ce qu’il y a de plus intéressant dans le volume. L’histoire des deux lycéens est une compilation de scènes vues et revues, et dans lesquelles il ne se passe pas grand-chose. Il y a quelques passages coquins pour apporter un peu de chaleur, mais l’intrigue manque de consistance : il n’y a pas vraiment d’enjeu ou d’obstacle, les personnages sont prévisibles et il n’y a plus rien à raconter à la fin du deuxième chapitre. Les graphismes sont déjà plus réjouissants, mais ne parviennent pas à sauver l’ensemble. On est déçu.
Asakura n’a pas revu son ami Tachibana depuis qu’il a surpris ce dernier il y a 4 ans dans les bras d’une fille. Leur cohabitation au pensionnat du lycée donnera-t-elle lieu à de belles retrouvailles ? Un titre plus sensible qu’on pourrait le penser.
Amoureux d’un de ses collègues, Hamura décide de démissionner en apprenant le mariage de l’élu de son cœur. Il entre alors dans la société d’un designer avec qui il a passé la nuit. Une histoire simple mais correcte.
Satoru n’a plus vu son ami Takashi depuis qu’il l’a surpris en train de se masturber sur des photos de classe. Cinq ans plus tard, les retrouvailles deviennent rapidement très chaudes. Coquin à souhait !