Fitz élabore un plan pour que Rudeus se souvienne d’elle et l’identifie comme étant Sylphy. Un seizième volet assez mignon.Fitz a décidé de révéler à Rudeus que sa véritable identité est Sylphy. Si le plan élaboré pour y parvenir est un peu exagéré, cela permet au moins de débloquer la situation générale et de permettre à ces deux-là d’avancer pour de bon. L’histoire se concentre uniquement sur leur relation et connaît une atmosphère très sentimentale, les amateurs d’action seront un peu déçus, mais on apprécie que les problèmes s’estompent. Les deux personnages s’avèrent touchants de maladresse et de sincérité, l’émotion est là et la lecture se fait d’une traite. Les dessins jouent eux aussi sur le charme général, et c’est très agréable. A suivre donc.
Yû cherche à intégrer Ghramm dans son équipage, pendant qu’Asebi et Licorice obtiennent des révélations incroyables. Un final bien mené !C’est dans ce dixième volume que se terminent les aventures d’Asebi, Yû et tous leurs amis. Pour cette dernière ligne droite, il y a tout pour faire un bon spectacle : des révélations de grande ampleur, de l’action, des sacrifices et un peu d’amour ! Les dernières informations que l’on obtient nous permettent d’enfin comprendre tous les mystères restants et d’avoir une vision complète de tout l’univers imaginé par l’auteur. L’histoire se montre vraiment riche et bien pensée, l’action ne donne pas dans la complaisance (il y a des coups bas et des morts) et l’épilogue apporte une touche de sérénité pour terminer en douceur. Même s’il y a quelques rebondissements un peu trop arrangeants, il faut bien admettre que le divertissement est complet, rythmé et bien prenant, on n’en perd pas une miette. Un bon final !
L’équipage arrive sur un ilot où les habitants, ressemblant aux connaissances de Licorice, se révèlent être des modules humanoïdes. Une aventure toujours surprenante et efficace.On ne sait jamais à quoi s’attendre avec l’histoire et ce n’est pas ici que cela va changer, entre la découverte d’un mystérieux ilot peuplé de modules humanoïdes, une bataille dans les airs, des trahisons et un personnage principal neutralisé. Le récit ne baisse jamais le rythme et les surprises nous permettent de recoller petit à petit les pièces d’un puzzle encore loin d’être terminé. Le scénario continue de nous proposer une aventure vivante et imprévisible, c’est efficace, même si on note une petite longueur lors de la bataille dans les airs. L’action parvient quant à elle à faire son petit effet grâce à un bon sens de la mise en scène. Bref, Asebi et ses amis continuent de nous divertir et on sera là au prochain volume pour découvrir la suite de leurs aventures.
Tsubaki a réussi à immobiliser Kuro et laisse à celui-ci le choix de la mort à réserver à Mahiru. L’histoire avance de façon très chaotique.Une fois de plus, il faut rester accroché pour suivre la série car les bifurcations manquent de transitions et le récit manque un peu trop d’informations. Ainsi, le combat contre Tsubaki s’interrompt sans aucune raison, et on ne comprend pas pourquoi cela est remis à plus tard. Puis, de nouveaux problèmes ont lieu en ville : le scénario semble mettre en place un certain chaos, la tension s’installe et... on part sur tout autre chose. Mahiru et Kuro se réveillent dans un autre pays : pourquoi et comment ? On ne sait pas, on connaît juste le nom d’un éventuel contact qui pourrait les aider. On devine à peu près ce qu’essaye de faire l’auteur, mais la narration est trop hachée et il y a trop de choses passées sous silence, ce manque de fluidité empêche donc de s’immerger pleinement et de profiter du spectacle. Les dessins, eux, ne déçoivent pas, ils sont énergiques et soignés. Au final, ce 15e opus n’est pas celui qui fera décoller pour de bon la série.
La bataille dans le hangar est un véritable massacre, seul Ryûsei est conscient et vaguement en état parler. De la baston bien prenante.La baston générale se termine dans le premier chapitre, mais l'action est loin d'être mise de côté pour autant. En effet, Madara est venu pour en découdre avec Ryûsei et celui-ci va devoir lui rendre la pareille. Les quelques révélations qui ont lieu sont claires mais moyennement convaincantes à cause de leur mise en scène. En revanche, côté baston cela ne manque pas de mordant. Griffures, morsures et coups de pattes fusent, les adversaires ne sont pas là pour plaisanter. Les dessins alternent toujours les visions chats et humains, les deux versions du combat sont bien réalisées et nous emballent complètement. Une baston au poil !
Naofumi et Liscia se retrouvent seuls dans un monde inconnu et leur niveau est descendu à 1 ! L'aventure change mais reste divertissante.Changement de décors et d'équipe pour Naofumi. C'est une sorte de retour à la case départ car il se retrouve au niveau 1 dans un lieu inconnu avec Liscia. Malgré ce goût de redite, l'histoire se relance car, désormais, Naofumi mise sur ses connaissances et son expérience pour progresser. De plus, les enjeux diffèrent et les règles ne sont pas tout à fait les mêmes. L'évolution du personnage comme du scénario parvient donc à nous divertir sans problème. Quant aux dessins, on apprécie la variété des décors, monstres et tenues. Ce seizième volet est donc inattendu et redistribue les cartes de façon intéressante. A suivre donc !
Pendant que la rumeur sur le retour de Raiga se propage, celui-ci et son frère font face à Ryûsei pour une baston inévitable. Action et révélations ont tout bon, on fait ronron !Le retour de Raiga et d’un autre matou bouleverse le quartier. C’est Raiga qui est au centre des évènements lors de la première partie, l’autre matou (Hazuki) menant la danse dans la seconde. Dans les deux cas, on a le droit à des révélations intéressantes sur le passé des personnages et cela élargit l’univers. Néanmoins, c’est la baston qui prime : les coups de pattes pleuvent, ça se griffe beaucoup et les matous n’hésitent pas à frapper fort. L’action est le leitmotiv de ce tome qui ne délaisse pas le scénario pour autant et cela nous permet de bien profiter du spectacle. Les surprises sont nombreuses, la tension est là, c’est un bon moment que l’on passe en compagnie de ces matous : miaou !
Le quotidien de Rudeus et son entourage connaît quelques péripéties inattendues. Pas très créatif.Ce sont des petits chapitres qui peuplent ce douzième volume. La plupart du temps, l’ambiance est très enfantine et les sujets ne volent pas haut, comme du lèche-vitrine ou une petite figurine cassée. Néanmoins, on peut noter deux petites avancées : non seulement Fitz nous dévoile sa véritable identité, mais en plus Rudeus acquiert une jeune esclave. Cela rajoute un personnage au harem récit, même si son rôle reste très limité pour le moment. On s’étonne un peu que Rudeus ne soit pas choqué par la traite d’humains, comme si cela était bien normal alors qu’il vient de notre monde, et le côté puéril de la nouvelle venue rajeunit encore un peu plus le ton général. Ce n’est donc pas le meilleur volume de la série, loin de là, malgré une ou deux nouveautés.
Trois nouveaux chats débarquent dans le quartier de Nekonaki et sèment rapidement le chaos. Un nouveau souffle qui fait plaisir.Trois nouveaux matous déboulent dans le quartier et créent le chaos plus ou moins volontairement. Sont-ils liés ? Quel est leur but ? Beaucoup de mystères les entourent et apportent un peu de fraicheur à l’histoire. La vengeance de Ryûsei semble être mise entre parenthèses, mais les rencontres que l’on fait sont bien divertissantes, à la fois par leur humour et leurs bastons. Cela nous fait découvrir de nouveaux lieux, des races de chats différentes et enrichit un peu l’univers de la série. Graphiquement, c’est toujours très dynamique avec une forte mise en avant du charisme des personnages, peu importe qu’ils soient en chats ou en humains. Cette suite est donc plutôt bien faite, on lira la suite à coup sûr.
Naofumi et les siens trouvent le cœur de la tortue mais cela n'est pas suffisant car il faut neutraliser son noyau. De l'action très nerveuse et de grosses surprises enthousiasmantes.Ce quinzième volume se consacre à la bataille contre la tortue. Que ce soit à l'extérieur ou à l'intérieur de la créature, les personnages doivent donner leur maximum pour lutter contre un ennemi clairement trop fort. De nombreuses surprises interviennent, qu'il s'agisse des capacités de certains, de l'attitude de quelques-uns ou bien encore de révélations inattendues. Le spectacle est assuré jusqu'au bout, sans parler des dernières pages qui font prendre un virage stupéfiant à l'intrigue. Évidemment, les dessins confèrent énormément de dynamisme à l'ensemble. Ce quinzième opus ne déçoit donc pas du tout et nous donne au contraire très envie de découvrir ce qui attend Naofumi par la suite.
Kemeko et sa famille prennent soin de Momo, une shiba, qui leur en fait parfois voir de toutes les couleurs. Un recueil de gags très sympathiques.Un nouveau titre animalier vient colorer le paysage manga. Cette fois, c’est une shiba qui est la vedette même si l’histoire ne se situe pas vraiment de son point de vue. En réalité, c’est la vie d’une famille qui s’est articulée autour du chien et les épisodes nous amusent en nous dépeignant des situations du quotidien qui virent à l’agitation totale. Il y a aussi quelques passages plus tendres, mais ceux-ci sont moins nombreux. De même, les chapitres sont séparés par quelques informations sur les shibas et, de manière plus générale, sur les chiens, pour ceux qui auraient envie d’en savoir plus sur nos amis à quatre pattes. C’est plutôt bien fait, il y a de la tendresse qui ressort au milieu de l’humour, on trouve cela mignon. Les dessins, réalisés à la palette graphique, sont très colorés et c’est ce qui fait leur charme. Les silhouettes sont parfois grossières mais les personnages sont tous très expressifs. Une bonne idée !
Ryûsei peut enfin défier Sango, un chat tricolore avec une balafre à l’œil. Hélas, c’est une femelle et elle a bien du caractère et de la force. Un bon coup de patte !La quête de Ryûsei est certes infructueuse quand on réalise que Sango est une femelle, mais ce n'est pas pour autant qu'il n'y a pas de baston entre ces matous. En effet, il n'y a qu'un seul adversaire mais le combat s'avère tout de même impactant car ces félins y sortent toute leurs griffes et leur hargne. Puis, de nouveaux mastards font leur entrée en scène, pour annoncer les ennuis à venir et multiplier les races de chats présentes. C'est plutôt bien fichu et les promesses faites sont enthousiasmantes. De plus, les alternance chats/humains sont bien équilibrées on peut suivre l'histoire des deux façons sans le moindre problème. Le décalage des situations se prête particulièrement bien à l'humour, ça nous fait bien marrer. Miaou !
Juste après avoir couché avec Rudeus, Eris s’enfuit. Deux ans plus tard, Rudeus ne l’a pas oubliée et a une piste pour retrouver sa mère. Un peu trop déroutant.C’est un coup classique que de voir une amoureuse disparaître après une nuit d’amour tant attendue. Le bond de deux ans en avant qui s’opère ensuite nous laisse espérer des retrouvailles, mais il n’en est rien. On voit à la place un Rudeus complètement abattu et amer, plus préoccupé par son problème pour coucher avec des filles qu’autre chose. On peut comprendre la tristesse, mais le personnage frôle le côté obsédé... Quant à l’intrigue, celle-ci n’est pas folichonne non plus : Rudeus doit intégrer une école où il y a plein de filles et son objectif est de retrouver sa virilité... Ce changement de ton et d’orientation est un peu trop brutal et ne convainc pas. Au final, si les dessins restent toujours de qualité, on se retrouve néanmoins très perplexe sur la mauvaise pente prise par le scénario.
Démon familier de Reiki, la tortue spirituelle, Aust Penglai vient à la rencontre de Naofumi et son groupe pour les aider à venir à bout de la créature possédée. De l’action bien intense comme il faut !L’attaque de la tortue spirituelle est le seul sujet de ce tome ! Naofumi et ses compagnons obtiennent des révélations sur la dangerosité de cette situation avant de livrer bataille. Malheureusement, cette fois l’ennemi semble invincible : la tortue est énorme, forte, furieuse et capable de se régénérer rapidement ! D’autres problèmes viennent également s’ajouter pour le combat, histoire de corser encore un peu plus les choses. Tout cela rend évidemment l’action très prenante, et on perd nos certitudes au profit d’une grande curiosité. En outre, les dessins savent rendre tout cela très vivant et intense, et la puissance des coups est très bien mise en avant. En résumé, voilà un volet énergique à souhait dont il nous tarde de découvrir la suite.