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Prochain niveau: 2 EXP

Clash #1: Darwin’s game T10

avatar BBgumzBBgumz
Toujours plus épique

Les aventures ont toujours quelque chose de captivant, et c’est bien une des raisons pour lesquelles je couche depuis un moment avec Darwi’s Game. Ce shonen a, pour moi, été une petite révélation. Moi qui méprise de toutes mes forces The Hunger Games, j’ai été assez surprise de voir que je m’étais laissée avoir par les arguments d’un manga qui reprend le concept de la survie dans une arène géante. Darwin’s Game , est entré dans mes faveurs, et depuis, on s’est difficilement quitté.

Inutile de vous dire que j’ai eu un regain d’excitation quand j’ai tenu pour la première fois le tome 10 entre mes mains ! Nous avons passé plusieurs nuits torrides durant lesquelles l’avancée du deuxième événement avait commencé à me marquer. Je n’étais d’abord pas certaine que FLIPFLOP’s ait assez de matière pour égaler ou améliorer ce qui a déjà filtré sur le premier event. C’était sous-estimer cette bête sauvage qui n’a pas l’air de connaitre l’angoisse de la feuille blanche ! Vous, Ô mortels ... Voir cette critique en entier

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avatar CriticGirlCriticGirl
Une saga qui s'essoufle

Darwin’s Game était annoncé comme une « véritable bouffée d’air frais » par les amateurs de Seinen qui semblaient découvrir là les particularités d’un manga dont le suspens et l’action étaient continuellement au rendez-vous. Cette référence m’avait, dans un premier temps, intrigué, et j’avais pris du plaisir à lires les 3 premiers tomes.

À mesure que l’histoire avance, je constate cependant que DG s’est rapidement essoufflé, et qu’il tente tant bien que mal de tenir sa barque. Je n’ai donc pas été étonné de voir que le tome 10 n’apportait plus rien de vraiment exceptionnel, et qu’il avait même la prétention de redynamiser la saga par de vaines tentatives d’incursion dans un nouveau level.

Qu’on ne se méprenne pas : cet énième volet n’a pas que de mauvais côtés. Certaines sensations que j’avais à la lecture des premiers est restée, mais le plus gros s’est envolé à mesure que le thème du survival était exploité sans véritable but apparent. Je trouve personnellement que... Voir cette critique en entier

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Clash #2: Pandemonium T2

avatar LeslieLeslie

Le premier tome de Pandemonium se ferme sur un grave incendie, déclenché par Zipher. Celui-ci se retrouve sur le banc des accusés, et risque l’expulsion. Les difformes, regrettant la destruction d’un lieu d’importance pour leur communauté, trouvent là une occasion de se débarrasser de ce nuisible qu’ils n’ont jamais vraiment pu accepter. Une lueur d’espoir se présente alors quand le fameux Brow se place devant le public médusé, pour prendre la responsabilité de ses actes.

L’intervention de ce dernier semble peser sur la balance, et évite à Zipher, blessé, d’errer dans un environnement dans lequel il pourrait ne pas survivre. Dès le début de ce second volet, les choses semblent donc s’arranger, même si les tensions sont loin de s’apaiser. L’auteur se concentre sur la possibilité d’ouvrir un nouveau plot, incluant une entente plus cordiale entre notre héro et ses hébergeurs. Le travail réalisé sur le second tome garde une certaine continuité avec le premier, et fait plaisir aux... Voir cette critique en entier

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avatar BBgumzBBgumz

J’ai entendu beaucoup de bien sur Pandemonium. J’ai donc dépensé quelques sous pour le premier tome… avant de me rendre compte que je plongeais dans un manga aussi peu intéressant qu’un bol de ramen sans nouilles. Pandemonium donc, suit les aventures d’une sorte de créature qui vient balancer le bordel dans une communauté. Jusque-là tranquille, cette dernière ne voit pas le Zipher d’un très bon œil. Dès le début du tome deux, l’indésirable est mis sur la place publique où il risque bien de se faire lyncher par la foule. Mais parce que les difformes sont de gentils personnages qui ne se rebellent pas contre l’autorité, ils acceptent que le petit animal reste chez eux parce que leur chef lui a accordé le gîte.

Bon, bon… autant dire que le manga ne m’a pas spécialement convaincue, et que je suis tout simplement obligée de dire que je regretterais presque les heures de sommeil que j’ai perdu à le lire. Ce n’est pas qu’il est particulièrement mauvais, non. Pandemonium s’inscrit pl... Voir cette critique en entier

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Clash #3: Border T1

avatar BBgumzBBgumz

J’ai récemment découvert le tome 1 de Border, et je n’ai pas mis longtemps à reluquer les pages d’une manière indécente. Comme vous, je ne connais que trop bien le classique de l’enquêteur limite schizophrène qui parle à des fantômes. Dans le même genre qu’Afterlife ou Medium, je tombe donc sur un petit livret qui ne paie pas de mine, et sur lequel Kazuki Kaneshiro a l’air de s’être lâché. L’histoire en elle-même ne casse pas 3 pattes à un canard : c’est juste une apprentie qui se retrouve à devoir collaborer avec un policier au charisme d'huitre.

On ne me la fait pas : les airs mystérieux et les regards en biais qui veulent souligner l’évidence, ça ne marche que si tu t’appelles Horacio Caine. Dans Border, la jeune fille se tape donc des enquêtes plus ou moins marquantes, qui sont surtout résolues parce que le miraculé de service communique de manière efficace avec les morts. Ok, parfois c’est vite expédié, et on n’a pas toujours le temps de voir venir la pierre, tellem... Voir cette critique en entier

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avatar MissDouzeMissDouze

En 2015, le tome 1 de Border avait fait son apparition chez Komikku Editions. Le Seinen, plongé dans un univers mélangeant Polar et Thriller, n’avait pas fait beaucoup parler de lui. La référence, enregistrant une popularité très moyenne dans son pays d’origine, avait tout de même tenté une percée en France. L’histoire nous met face aux aventures d’une jeune étudiante des forces de police, assignée à un équipier qu’elle doit seconder et surveiller dans ses enquêtes. Son compagnon de terrain, ayant reçu une balle en pleine tête, est doté d’une capacité à dialoguer avec des âmes errantes.

Toute l’originalité de la série se base donc sur le don de cet étrange personnage, que l’on a tenté de rendre aussi intéressant que charismatique. Dans Border, le pitch est pourtant d’un cliché flagrant, et n’offre aucune réelle originalité. L’œuvre, qui aurait pu disposer d’un développement intéressant, semble se retrouver à patauger dans un univers policier mal maîtrisé, jouant avec ces éter... Voir cette critique en entier

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