La journaliste Caroline Lhomme raconte dans son journal sa vie après un AVC, une rupture d’anévrisme avec de lourdes conséquences puisque la voilà handicapée du côté gauche. Un témoignage plein d’humour malgré la dureté de l’évènement.Le journal pas triste de Caroline Lhomme, comme elle le nomme, raconte tout son parcours de vie difficile à la suite d’un accident vasculaire cérébrale. Son livre, elle le raconte sous forme de journal, écrit non pas pour faire pleurer mais pour expliquer avec plein d’humour sa propre expérience de vie. A ce moment là, on découvre la gravité de l’accident et ses conséquences très lourdes dont Caroline va de voir tenter de s’affranchir une à une, avec un très grand courage et une formidable détermination. Son ouvrage est savamment illustré par une grande dame de la bande dessinée, Florence Cestac, qui propose une vingtaine de dessins, comme elle sait si bien les faire. Son trait caricatural et reconnaissable entre mille fait mouche à chaque fois et fige de façon humoristique un moment de vie ou une situation racontée par Caroline Lhomme. Ainsi, au fil des pages, on découvre sa vie post-AVC dont elle raconte les évènements de façon chronologiques à partir de 2005 et jusqu’à aujourd’hui. Caroline Lhomme termine en effet son livre avec sa rééducation au temps du coronavirus ou plutôt du conardovirus comme elle le nomme (si justement).
Affublé du costume du King, un homme tatoué du « 21 » sur le front est traqué par une équipe de tueurs constituée d'une monstruosité bleue, d'un sadique hispanique et d'un adolescent placide... Percutant et déroutant tout du long ! Rock'n'roll !
Epaulé par la charmante Mireille, le commissaire Raffini enquête sur la côte d’Azur sur la disparition d’un chanteur local, a priori liée à un trafic de drogue. Un polar classique mais efficace, servi par un très joli dessin réaliste…