Kuba tente de violer Ayase avant de se raviser, et M. Kanô va se montrer très jaloux. Toujours pas génial.Une fois de plus, Ayase passe son temps à être malmené, que son assaillant parvienne ou non à ses fins. Le scénario développe heureusement un sujet (le mariage) pour gagner un peu de consistance, mais les choses traînent en longueur, manquent de cohérence et n'avancent vraiment pas très vite. De plus, Ayase a un look de plus en plus féminin, il reste noyé dans ses vêtements et les personnages sont toujours des clichés ambulants. Bref, ce n'est pas avec ce 17e volume que l'histoire va passionner.
Yoshida et Satô n'ont jamais le temps de s'ennuyer, qu'ils soient en amoureux ou avec des amis. Un 12e opus mollasson.Les épisodes se suivent sans forcément de lien entre eux : visite au temple, capsule temporelle... Clairement, l'histoire n'a pas de véritable sujet à développer et se contente de petites intrigues pour traîner en longueur. L'amitié qui unit les personnages secondaires est évidente, l'ambiance générale est bienveillante, mais cela en masque pas le vide du scénario. De plus, il y a du laisser-aller sur les dessins qui ne sont pas vraiment gracieux. Bref, on peut zapper sans souci.
Asami et ses ennemis se ressemblent dans un bâtiment désaffecté où Sudô leur a tendu un piège. Un onzième volet sombre et efficace.En voyant tous les personnages principaux se réunir au même endroit, on est certain que l'histoire va basculer dans l'action. La promesse est tenue et on assiste alors à des fusillades ainsi que des combats au couteau. En plus d'apporter de la vigueur et de la tension, cette partie permet au récit d'avancer de façon significative et avec bon nombre de surprises. Même si les décors ne sont pas très présents, les graphismes sont aussi dynamiques que le scénario et mettent en avant la noirceur des choses. La seconde partie, elle, marque une pause pour nous montrer ce que deviennent les personnages après cela et aussi nous régaler les yeux avec des scènes coquines. Même si l'ambiance est moins tendue, cette partie est assez rafraîchissante et allège efficacement les choses. Un onzième volet qui ne déçoit pas.
M. Kanô ramène Ayase à la maison, mais ils ne vont pas connaître le calme pour autant. Un 16e tome sans grand intérêt.Ayase passe son temps à se faire sauter dessus par M. Kanô et à se montrer d'une naïveté consternante. Le scénario tente un peu de meubler avec de brèves révélations sur le passé de M. Kanô, mais il n'y a rien de véritablement croustillant à se mettre sous la dent. De manière générale, le récit se complaît dans des scènes de sexe où un personnage est malmené pour son plus grand plaisir... En plus d'être très répétitives, ces scènes ne sont pas très excitantes car elles manquent de bon goût et le côté féminin de certains est un peu trop appuyé pour être crédible. Bref, ce seizième opus ne va pas nous laisser un souvenir impérissable.
Misaki, Kaoru et leur entourage connaissent tous des problèmes familiaux. Encore un tome assez creux.Une fois de plus, les personnages se retrouvent en difficulté. Cette fois, ce sont les familles qui créent de l'agitation en cherchant plus ou moins à de mêler des affaires des couples. Malheureusement, en dehors du flashback sur Takahiro et son frère, qui s'avère en outre assez mièvre, il ne se passe en réalité pas grand-chose : les personnages parlent pour ne rien dire, les relations observent le statut quo et il n'y a pas non plus de tension sentimentale. Les dessins ne cherchent pas à s'améliorer et se contentent de leur niveau moyen. Bref, ce n'est toujours pas génial.
Ayase ne peut pas préparer le repas à temps car M. Kanô débarque dans la cuisine pour lui faire l'amour. Un scénario en perdition.Ce quinzième volume est assez consternant. Il tente bien d'introduire du suspense pour avoir un peu de piment, mais les idées manquent soit d'intérêt (Ayase va-t-il préparer le dîner à temps ?) soit de subtilité (une prise d'otage au travail), et les problèmes sont résolus aussi vite qu'ils apparaissent. En outre, les sauteries d'Ayase et M. Kanô hachent le récit qui en devient très saccadé donc désagréable à suivre, alors que leur seul but est de nous montrer qu'Ayase est conditionné pour que M. Kano lui saute dessus... Quant aux dessins, les proportions démesurées entre les personnages sont toujours gênantes, on ne note pas d'amélioration sur le sujet. Encore une déception au compteur de la série.
Pendant qu'Asami se réjouit de retrouver Akihito, Feilong se fait kidnapper par les russes. Sexy et tendu, c'est prenant !Les retrouvailles d'Asami et Akihito sont là uniquement pour le plaisir des yeux. En effet, on se doute bien qu'ils ne vont pas rester coincés très longtemps là et, surtout, ils ne font que coucher. Les positions sont variées et les déclarations d'amour nombreuses, on se détend mais c'est tout ce qu'il y a à en retenir. En revanche, la tension refait surface quand il s'agit de mettre Feilong et Mikhail en avant : les trafiquants s'affrontent et passent à l'attaque, il a de l'action et du changement. Il y a bien quelques rebondissements un peu exagérés mais cela passe relativement bien dans l'histoire qui ne baisse jamais de rythme. Un dixième opus qui fait plaisir.
Misaki rencontre par hasard la mère d’Usagi et ne sait pas comment réagir avec elle. Pas grand-chose de neuf.L’arrivée inopinée de la mère d’Usagi n’est pas ce qu’on a fait de plus subtil et manque d’originalité, le scénario nous ayant déjà fait le coup pour le père. On s’attend alors à ce que la femme soit elle aussi opposée à la relation de son fils et Misaki, mais ne fait non. D’ailleurs, il n’y a pas vraiment de problème : Usagi et sa mère ne se parlent plus mais il ne semble pas y avoir de conflit, donc cela ne nous émeut pas. De plus, tout le reste s’articule autour de fêtes de Noël et ne connaît aucun tumulte : certains s’agitent un peu pour la cuisine, d’autres passent un moment coquin et, au final, il ne se passe rien d’intéressant. L’histoire freine grandement, à la recherche d’une idée nouvelle, mais n’y parvient pas, et nous laisse une fois de plus sur le bord de la route. Bref, ce n’est pas fameux.
Satô se moque une fois de plus de Yoshida qui le prend mal : une dispute éclate... Quel ennui !Cela fait plus de trois ans que l’on n’avait pas de nouvelles de la série, aussi on espérait que ce retour soit marquant. Hélas, il n’en est rien. Satô et Yoshida se chamaillent pour un rien et se réconcilient très vite, leurs amis restent immatures et les filles sont toujours jalouses de Yoshida. Les relations n’évoluent pas, les personnalités non plus, il n’y a pas de réelle tension ni de vive émotion. On a donc le droit à un volume plus que banal, fade, où tous les épisodes sont anecdotiques. Les dessins, eux aussi, sont décevants : plus on avance dans la série, plus l’auteur semble se relâcher. Les silhouettes sont brouillonnes, le trait est moins précis, il y a moins de détails... La série est sur la mauvaise pente !
Yoichi, élevé dans la montagne comme un samouraï, rejoint en ville le dojo tenu par la très sexy Ibuki. Entre choc culturel et quiproquos avec les filles, Yoichi n'a pas fini d'avoir des soucis ! Sexy et drôle, un manga pour les amateurs d'ecchi.
Deux filles d’un clan rival arrivent en ville pour tuer Yoichi : l’une veut une vie normale mais se bat comme une possédée une fois en petite tenue, et l’autre n’hésite pas à se battre en sous-vêtements ! Du tout bon pour les amateurs d’ecchi.
Avant que la Terre ne soit ravagée, Julia découvrit auprès de Kenshirô qu'elle pouvait forcer le destin. Elle rencontra également Shin pour la première fois. Un recueil moyen à réserver aux fans qui ont déjà lu la série.