Dans les jeux qui marquent par leur arrivée, on retrouvait à la fin de l’année 2018 Azul ! D’abord testé chez un ami revendeur, le jeu de Michael Kiesling est une petite pépite qui s’est ajouté à ma collection perso ! Dans Azul, pas besoin de remporter des missions incroyables ni de passer des heures à tout apprendre : un jeu simple, canon, et accessible !
Un peu de poésie et d’art
Toutes les critiques que j’ai lues s’accordent sur un point : le jeu est magnifique. Mais attention, il ne s’arrête pas là ! Azul offre une expérience inédite, tout en restant à la portée du premier joueur venu. Et c’est un réel point fort, puisqu’il ne faudra pas plus de 5 minutes pour comprendre les règles, et guère plus de 20 minutes pour boucler votre première partie à 2. Une fois cette première partie terminée, j’en redemandais ! Le gameplay est pour le moins original, puisque l’alternance des phases de jeu (on pioche des petites céramiques, on les prépare, on les pos...
Azul était plutôt prometteur : un joli design, un créateur maintes fois primé, et quelques distinctions à son actif, dont le prestigieux Spiel des Jahres et l’As d’Or, le tout pour l’année 2018. Et pourtant… je n’ai pas vraiment accroché. Même si l’idée est originale et conserve des mécaniques classiques et efficaces, je n’ai pas réussi à me prendre au jeu. Il faut dire que je n’ai jamais été branché bricolage, ceci explique peut être cela !
Poser du carrelage, mais en plus facile
Le principe du jeu est simple : les joueurs sont des artisans qui doivent choisir des motifs de carreaux (des Azulejos, un style de faïence andalou) dans des fabriques, les préparer pour enfin les poser et réaliser une mosaïque. Voilà, déjà, le challenge ne m’a pas fait vibrer plus que ça. Ensuite, bien que le mode de jeu soit intéressant, j’ai trouvé les tours répétitifs. L’éditeur promet des parties rapides ; elles le sont, mais c’est quand même longuet. C’est vraiment le...
Depuis sa sortie, Blanc Manger Coco a fait couler beaucoup d’encre. En bon fan de party games, j’ai rapidement mis mes mains sur ce jeu… et il trône depuis dans ma ludothèque, fièrement ! De l’humour noir, des gros mots et même une carte « Ma bite », Blanc Manger Coco m’a séduit dès la première minute. Prenez les blagues les plus trashs que vous connaissez, ajoutez une bonne grosse dose de second degré, et - surtout - entourez vous de gens ouverts d’esprit et amateurs de drôleries sordides : vous êtes prêts à déguster ce jeu dans les meilleures conditions !
Mieux qu’un animateur du Club Med
Même si j’aime aussi les jeux plus traditionnels, j’adore ce genre de petits jeux parfaits pour passer le temps. Les règles sont simplissimes (pour ne pas dire inutiles), et une partie peut durer 15 minutes… comme 3 heures ! Les horreurs s’enchaînent dans des fous rires, parfois gênés. On découvre des tendances à la folie chez ses meilleurs amis, bref, BMC - pour ...
Comme plein de gens, j’ai découvert Blanc Manger Coco grâce à Squeezie. Peu avant la sortie, le célèbre youtubeur avait fait une vidéo présentant le jeu. La création a été tellement bien vendue, qu’il était impossible de s’en procurer un exemplaire dans les premières semaines. Plutôt sceptique sur le jeu, je me suis laissé convaincre lors d’un apéro. Sans grande surprise, Blanc Manger Coco est venu confirmer mes aprioris. Le jeu est marrant quelques minutes, mais je me suis lassé à vitesse grand V devant ce déballage gratuit d’humour noir. Enfin humour… pour ceux que ça fait rire !
Régression et retour dans la cours de récré
Alors voilà, je ne suis peut-être pas le client idéal pour ce genre de jeux. J’aime les jeux construits, avec un objectif, une fin, et un vainqueur. Dans Blanc Manger Coco, tout ça n’existe pas. Le but est simple, sortir la plus grosse horreur pour faire rire les autres joueurs. Même si certaines associations de cartes sont effe...
Tiny Epic Defenders a été mon tout premier pas dans l’univers de Gamelyn Games. Et j’adore le concept de ces petites boîtes. Cet épisode n’est pas historiquement le premier, mais ça ne m’a pas empêché de rentrer dedans dès les premiers instants. Je ne suis pas un grand fan du médiéval fantastique ni des jeux en coopération d’habitude… Mais une fois n’est pas coutume, ça marche ici !
L’union fait la force
Tiny Epic Defenders est un… jeu original. Voilà, j’ai un peu du mal à le faire rentrer dans une case, et c’est déjà un bon point ! Sur le fond d’une histoire digne des plus grandes oeuvres littéraires du genre, on apprend rapidement qu’il va falloir s’unir à d’autres fratries pour triompher sur le mal. On est tout de suite dans le vif du sujet, et une fois encore, TED marque des points. Le jeu est rapide à mettre en place, la « map » se compose d’une capitale et de 6 régions, qu’il va falloir défendre contre des hordes de monstres. Le gameplay est ba...
Le pari de la saga Tiny Epic est de créer des jeux de stratégie accessibles à tous, à un prix correct, et dans des petites boîtes qui sont censés avoir une faible empreinte environnementale. Ok pour le dernier point, mais pour le reste… Je ne suis pas encore convaincu ! À travers un univers bâclé, Tiny Epic Defenders tente d’inviter des non initiés dans le monde si particulier du jeu de rôle, sans grand succès.
Une impression de survol général
C’est exactement ce qui s’est passé pour moi à la fin de la partie : « C’est tout ? » Oui, Tiny Epic Defenders ressemble à une démo jouable d’un jeu de plus grande ampleur. J’ai vraiment du mal avec cet aspect là : soit on s’attaque sérieusement aux jeux de rôle, et il faudrait que le jeu soit plus immersif et qu’il offre plus de choix, soit on reste sur un jeu de plateforme d’aventure, et c’est un tout autre univers. Au final, même si on sent bien la volonté de démocratiser le style RPG en coop, cette petite b...