Azul
Créateur : Micheal Kiesling
Illustrateur : Philippe Guérin , Chris Quilliams
Série : Azul
Catégorie : arts - europe
Style : Tuiles - Placement - Collection
Public : 8
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Azul était plutôt prometteur : un joli design, un créateur maintes fois primé, et quelques distinctions à son actif, dont le prestigieux Spiel des Jahres et l’As d’Or, le tout pour l’année 2018. Et pourtant… je n’ai pas vraiment accroché. Même si l’idée est originale et conserve des mécaniques classiques et efficaces, je n’ai pas réussi à me prendre au jeu. Il faut dire que je n’ai jamais été branché bricolage, ceci explique peut être cela !
Poser du carrelage, mais en plus facile
Le principe du jeu est simple : les joueurs sont des artisans qui doivent choisir des motifs de carreaux (des Azulejos, un style de faïence andalou) dans des fabriques, les préparer pour enfin les poser et réaliser une mosaïque. Voilà, déjà, le challenge ne m’a pas fait vibrer plus que ça. Ensuite, bien que le mode de jeu soit intéressant, j’ai trouvé les tours répétitifs. L’éditeur promet des parties rapides ; elles le sont, mais c’est quand même longuet. C’est vraiment le côté abstrait qui a enfoncé le clou pour moi : certes, on nous raconte une petite histoire sur ces artisans historiques qui devaient composer des fresques originales, mais c’est tout, et durant la partie, on pourrait remplacer ces carreaux par n’importe quoi, ça ne changerait rien. Petite mention pour le design cependant, il faut reconnaître que le jeu est absolument magnifique, des petits carreaux jusqu’aux planches de jeu (une par joueur). De ce côté là, tout est soigné dans les moindres détails.
Trop abstrait, et trop redondant
Voilà, en quelques mots, ce que je reproche à Azul. La critique a encensé ce jeu, et tant mieux pour l’équipe de création. Si le concept me paraît intéressant, il me manque quelque chose, ce petit truc d’histoire qui me donnerait l’envie de plus m’investir dans la partie, et de me lancer dans la stratégie.
Critique de Azul
Fait le 14-08-2019Dans les jeux qui marquent par leur arrivée, on retrouvait à la fin de l’année 2018 Azul ! D’abord testé chez un ami revendeur, le jeu de Michael Kiesling est une petite pépite qui s’est ajouté à ma collection perso ! Dans Azul, pas besoin de remporter des missions incroyables ni de passer des heures à tout apprendre : un jeu simple, canon, et accessible ! Un peu de poésie et d’art Toutes les critiques que j’ai lues s’accordent sur un point : le jeu est magnifique. Mais attention, il ne s’arrête pas là ! Azul offre une expérience inédite, tout en restant à la portée du premier joueur venu. Et c’est un réel point fort, puisqu’il ne faudra pas plus de 5 minutes pour comprendre les règles, et guère plus de 20 minutes pour boucler votre première partie à 2. Une fois cette première partie terminée, j’en redemandais ! Le gameplay est pour le moins original, puisque l’alternance des phases de jeu (on pioche des petites céramiques, on les prépare, on les pose puis on compte les points) ne lais
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