Au sommaire de ce numéro très enjoué :
Liens de l’émission :
Le son
Les hangouts sous G+
https://www.mumble.com
https://www.teamspeak.com
Les « vrais » outils
https://app.roll20.net/home
https://www.rolisteam.org
https://www.fantasygrounds.com
Les boards détournés
Google Draw partagé sous G+
https://en.linoit.com
https://prezi.com prezi public en gratuit
https://cacoo.com
https://realtimeboard.com max 3-4 users en gratuit
Dans cette dernière partie de notre triptyque sur les PNJ, on s’intéresse plus particulièrement à leur interprétation. En commençant par répondre aux questions des auditeurs : comment dépasser l’archétype (malgré la tendance -supposée- des joueurs à vouloir les simplifier), comment insérer les PJ dans les échanges entre PNJ sans les priver d’agir, comment gérer l’improvisation des dialogues quand on a déjà toute la caractérisation à gérer (voix, lexique, etc.)… ?
Ce qui nous amène justement aux sujets de ce podcast :
● cadrer l’intervention des PNJ selon ses intentions »ludo-narratives »,
● exploiter la caractérisation progressive déjà mentionnée comme guide de roleplay, « modeler » peu à peu l’apparence des PNJ (silhouette, détails physiques, posture, costume, accessoires, gestuelles…),
● quelques questions fondamentales pour construire une personnalité,
● qu’est-ce qu’on prépare, qu’est-ce qu’on improvise et qu’est-ce qui mérite d’être laissé dans le flou,
● l’interprétation « par lots » (voir CL#1),
● le jeu d’acteur pour les MJ : attirer l’attention, occuper l’espace (bouger de votre chaise), investir la gestuelle, le regard… et oser déranger et émouvoir,
● se mettre en condition et s’exercer,
● le roleplay des PNJ par table virtuelle (exploiter le son, et le silence)…
Notre prochaine émission portera sur les décors comme espace ludo-narratif : paysage, ambiance, circulation et terrain de jeu.
N’hésitez pas à nous laisser vos questions dans les commentaires !
Dans cette seconde partie, on aborde plus particulièrement le développement des PNJ :
● leur conception d’après les intentions narratives évoquées dans la première partie,
● l’interaction PJ-PNJ comme fondement du développement de ces derniers et donc…
● leur caractérisation progressive par approfondissements successifs,
● leur description : l’écueil de l’apparence »visuelle », l’usage des autres sens et l’importance de la subjectivité,
● résumer les aspects mécaniques au strict nécessaire,
● nouer de véritables relations PJ-PNJ, les induire ou laisser faire les joueurs, et faire évoluer ces relations dans le temps,
● laisser les joueurs créer les PNJ,
● entraîner les joueurs à s’intéresser aux autres personnages et à manifester le leur par le relationnel,
● amener une plus-valu esthétique ou symbolique…
La troisième partie, qui portera plus particulièrement sur l’incarnation et le roleplay, est déjà enregistrée et ne devrait plus tarder.
En l’absence de Kobal, c’est avec Michaël Croitoriu que Sébastien Delfino discute des différentes manières de concevoir, de développer et d’incarner les PNJ.
Cette première partie aborde plus particulièrement les personnages non-joueurs en tant que fonctions narratives et ludiques :
● les figurants comme éléments de décor et vecteurs d’ambiance,
● les seconds rôles comme moteurs d’intrigues,
● l’incarnation de l’opposition donc des challenges,
● utiliser les PNJ pour percer l’indifférence des joueurs, leur enseigner le système, cristalliser les problématiques…
Au sommaire de cette émission :
– Actualités : Nice fictions
– Work in Progress : INS/MV
– la bulle de Cyril
– critique : Americana
Le nouveau générique est de Quenton.
Dans ce troisième et dernier numéro de notre série sur l’Art d’être Joueur, on commence par répondre à plein de questions :
créer un perso plus ou moins proche de soi, qui a le dernier mot sur la connaissance de l’univers, manifester ses passions -ou geeker à mort ?- à travers ses perso, gérer un PJ-ennemi, le jeu compétitif, que faire d’un joueur égoïste, susciter et recueillir les retours des joueurs, négocier les envies et les changements d’envie…
Après quoi on s’attaque effectivement à la création commune :
● développer votre propre groupe en tant que joueurs et en tant que PJ,
● maintenir (ou re-créer) la surprise quand on a discuté des choses à l’avance,
● modifier les intentions en cours de jeu en créant un consensus évolutif, redéfini et renégocié au fur et à mesure,
● inventer plus pour jouer davantage,
● un peu de méthodologie créative à plusieurs,
● partager le pouvoir et les responsabilités narratives…
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La prochaine fois, on parlera du roleplay des PNJs et du jeu par table virtuelle : n’hésitez pas à nous laisser vos questions dans les commentaires…
(Quant à la critique de « Sword without Master » mentionnée durant l’émission,
elle était dans la 2ème partie du Radio Rôliste #39.)
Dans cette seconde partie :
J’ai profité de mes dernières vacances pour enregistrer un petit hors-série.
De passage à Kuala Lumpur, j’ai pu rencontrer deux piliers de la communauté rôliste malaisienne, Kai et Cheng, ce dernier dirigeant Wira, la boutique de jeux de rôle de Kuala Lumpur.
On y parle (en anglais) de pathfinder, D&D, apocalypse wold, sixth world, Trail of Cthulhu, du jeu online, du GN, du marché du jdr en Malaisie… bref, une conversation très cool avec des rôlistes du bout du monde. Je vous demande d’être indulgent avec mon anglais approximatif
Cette rencontre fut possible grâce à Oufle, mon hôte et guide en Malaisie, un grand merci à lui !
Petit débat sur la simulation dans les jeux de rôle.
Au sommaire de cette première partie :
Les liens de cette partie :
Dans cette deuxième partie de notre série sur « l’Art d’être Joueur », nous répondons à quelques questions d’auditeurs (dont « quelle quantité de texte pour un historique de personnage », « comment faciliter l’expression des joueurs trop réservés », « la triche »…) et surtout nous développons la notion de jouer ENSEMBLE :
● l’intérêt des secrets entre les personnages (les « vrais » secrets ludiques et les « faux » secrets narratifs),
● considérer le point de vue des personnages les uns sur les autres pour dépasser les archétypes monolithiques et générer un roleplay interactif entre les joueurs,
● vraiment participer à la narration en échangeant autour de la table pour partager ses envies et s’accorder sur des intentions narratives communes,
● comment faire émerger ces intentions ludiques et narratives, et apprendre ensemble à les partager et à les négocier entre joueurs,
● établir une dynamique de groupe entre les PJ, pour produire du roleplay, de l’interaction ludique et de la narration,
● développer les relations interpersonnelles au sein du groupe de PJ,
● se créer des challenges qu’on a envie de résoudre,
● anticiper l’avenir du groupe…
Dans cette première partie de notre série de carnets sur « l’Art d’être Joueur », nous abordons principalement…
● l’importance des « bonnes manières » trop souvent négligées aux tables de jeu, particulièrement l’intérêt d’établir un cadre qui va faciliter l’écoute, l’expression de soi et donc la création commune (sur laquelle repose une grande part de notre loisir),
● les prérogatives et responsabilités des joueurs, qui sont autant de moyens de manifester ses envies et de participer à la fiction commune,
● comment programmer ses futures aventures lors de la création de perso, pour incarner des protagonistes qui non seulement vous amusent vraiment sur la durée, mais avec lesquels vos camarades aient envie d’interagir,
● rendre son personnage « sensible », c’est à dire non-seulement « tangible » pour les autres mais aussi mettre en place un roleplay expressif, vivant et donc réactif à ses propres aventures,
● comment « faire illusion » en connaissant juste assez les sujets (et les règles) qui concernent votre personnage pour lui permettre de briller et
● la prise de décision en groupe, histoire de passer plus de temps à vraiment jouer qu’à causer de ce qu’on pourrait faire…
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Et un lien vers le vieil article sur la création de personnage (publié sur le SdEN en 2002) mentionné dans l’émission.
Dans cette partie : fin de la chronique sur les légendes de la garde et bilan 2014.