Avidya va chercher Covetess à sa sortie d'hôpital avant de découvrir un moyen dangereux de lutter contre l'église. Une suite tout en tension.Que ce soit du côté d'Avidya ou de l'église, chacun se prépare à passer à l'étape supérieure pour la suite. Dans les deux camps, on est prêt à tous les sacrifices nécessaires, ce qui augmente la tension et la sensation de danger imminent. L'histoire ne se contente toutefois pas de préparer le terrain pour la suite, il y a également quelques révélations surprenantes, des trahisons et un gros rebondissement en fin de tome. L'ensemble est tout à fait divertissant, les quelques notes de couleurs produisent toujours leur effet, et on reste accroché tout du long. A suivre donc.
Avidya a besoin d'aide pour créer des appareils et armes capables de l'aider à lutter contre l'église. Un troisième volet bien divertissant.Ce troisième volet commence un peu lentement mais s'avère prenant dans la durée. Ainsi, le groupe d'Avidya connaît du mouvement et fait quelques avancées, la quête de vengeance de Fusem prend une nouvelle tournure et d'autres surprises viennent contribuer à enrichir l'histoire. Cette dernière progresse donc à bon rythme malgré tout et sait trouver de bonnes idées pour évoluer. Quant aux dessins, on note une plus grande apparition des couleurs et elles mettent bien en évidence leur sujet. Le reste ne manque pas de qualité et remplit bien sa part du contrat. Un troisième opus bien efficace.
Le professeur Avidya, Tchié et Covetess trouvent des pigments verts, mais ne sont pas au bout de leurs peines pour autant. Un 2e tome efficace.Voilà un volume qui ne manque ni d'action ni de surprise. Côté action, il y a d'une part l'extraction de couleurs qui s'avère assez compliquée et, d'autre part, les sbires de l'Eglise qui passent à l'attaque. Dans les deux cas, les personnages se donnent à fond et les scènes les plus violentes sont des condensés d'énergie. Côté surprises, il y a des révélations inattendues, notamment sur Tchié, et cela change pas mal de choses. Le scénario avance bien tout en offrant un beau spectacle, les quelques touches de couleurs donnant beaucoup d'allure à l'ensemble. Une bonne suite.
Dans un monde sans couleur, Avidya cherche à retrouver une serveuse qui aurait été kidnappée par l'église. Un premier opus moyennement rayonnant.L'idée d'un monde sans couleur et d'un homme qui cherche à lutter contre une Eglise qui rêve de les « restaurer » est intéressant. Le contexte de la série est original, sombre et prometteur. On s'immerge assez facilement dans cet univers post-apocalyptique et à l'ambiance paranoïaque. Néanmoins, une fois que les bases sont posées, le scénario adopte un rythme assez lent et une intrigue somme toute banale (une jolie amnésique à protéger contre une vilaine organisation). On devine assez aisément ce qui se met en place et la façon dont le récit va évoluer, les personnages sont stéréotypés et les scènes d'action ne sont pas extraordinaires. Les dessins, eux, savent en revanche bien coller au thème et les quelques notes de couleur font leur petit effet. Comme il s'agit avant tout de nous présenter la série, on attend de lire la suite pour voir si l'histoire va se colorer ou rester tristounette. Attendons un peu.