Hagino quitte la demeure familiale pour être suivie au plus près par une sage-femme, abandonnant Torazou à un sort cruel. Un second volet aussi dur que captivant.Ce second volume lève le voile sur les secrets de famille et franchit un cap dans le sadomasochisme. Ainsi, le clan Horikawa se livre à de terribles mais nécessaires confessions : on comprend beaucoup mieux les relations entre les personnages et, surtout, pourquoi certains sujets sont sensibles. En parallèle, Torazou continue de subir des sévices de plus en plus durs et le père de famille n'est pas le seul à s'en donner à cœur joie. L'histoire avance également de manière étonnante et ce sont plusieurs années, cruelles et intenses, qui s'écoulent vigoureusement sous nos yeux. La tension ne baisse jamais de rythme, ni la créativité des personnages. Le scénario est donc toujours aussi brutal et efficace, et on n'en perd pas une miette. Quant aux dessins, ils mettent aussi bien en avant le plaisir que la douleur, l'expressivité est de mise et les scènes de sexe sont bien cadrées. Brutal mais prenant !
En épousant une femme, Torazou ne s'attendait pas à devenir la chose de son beau-père. Éprouvant mais prenant.Et si un soldat plongé dans le déshonneur pouvait trouver comme femme la belle héritière d'un clan puissant ? Trop beau pour être vrai ? C'est hélas ce que va découvrir Torazou qui, dès la nuit de noces, se fait violer par son beau-père avant de sombrer dans une spirale de sévices sadomasochistes. Si la condition de Torazou est de plus en plus misérable et les sévices de plus en plus épouvantables, le récit reste malgré tout hypnotique. Il faut dire que, malgré tout, l’histoire développe des sujets intéressants, comme l'évolution psychologique du personnage principal et les conflits intra-familiaux. En outre, la descente aux enfers de Torazou s'accompagne d'une grande tension. Tout cela est mis en images avec des dessins très impactants visuellement et qui ne plongent pas dans le graveleux. Difficile mais hypnotique.
Des jeunes filles très sexy font tourner la tête de ces messieurs et acceptent bien volontiers d’aller plus loin. Des chapitres chauds à souhait.Ce sont 14 histoires qui sont compilées dans ce recueil de nouvelles. En dehors d’une histoire de viols dont on aurait pu se passer, les chapitres sont assez charmants : les demoiselles sont ravies d’avoir un homme (ou plus selon le cas) à se mettre sous la dent et sont régulièrement les instigatrices des parties fines. On ne s’éternise pas sur les mises en situation, on passe rapidement au cœur du sujet et les passages coquins ne sont pas avares en positions. Les dessins sont en outre assez charmants, les demoiselles sont très jolies et leurs tenues très avantageuses. Il est vrai que certains messieurs ne sont pas très beaux, mais le visuel ne s’attarde pas trop là-dessus. Au final, ce recueil est coquin à souhait et devrait ravir ses lecteurs.
D’apparence sage, certaines jeunes femmes n’hésitent pas à user de leurs charmes pour parvenir à leurs fins et passer un bon moment. Des histoires coquines très charmantes.Comme l’indique le titre de ce recueil, ce sont de vilaines demoiselles qui mènent la danse dans huit histoires bien chaudes. Ce sont en effet ces dames qui choisissent leur partenaire, assument leur désir et déclenchent les moments charnels : ces messieurs ont intérêt à bien se tenir pour satisfaire la demande. Même si certains passages ont une moralité assez douteuse, cela n’empêche pas les épisodes de se montrer très sexy et plaisants. Il n’y a pas de relation imposée, tout le monde en profite et il y a même un brin d’histoire pour ceux qui en veulent. Quant aux dessins, ceux-ci sont très plaisants car, d’une part, il n’y a pas de censure et, d’autre part, les personnages ont des silhouettes réalistes (à une ou deux exceptions près). De plus, il n’y a pas d’acrobatie improbable et cela rajoute du charme à l’ensemble. Un bon recueil !