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Prochain niveau: 2 EXP

Clash #1: Project Cars 2

avatar DourmasDourmas

Enfin ! Après moult génuflexions d’impatience, Project CARS 2 est là. Il sent bon l’huile de moteur. En tant que joueur manette, je n’ai pas été zappé ! Assetto Corsa était pensé pour le volant et nous avait laissé sur le carreau, mes petites mimines et moi… 

Le tearing c’est mal, m’voyez ?

Je ne suis pas un extrémiste des graphismes, du HDR-4k-1080p/60fps sur un écran géant, très peu pour moi – pour mon portefeuille. Jamais on ne me verra me pâmer devant les nouveaux téléviseurs du CES. Mais j’avoue avoir été un peu déçu concernant ceux de Project CARS 2. L’espace d’un instant. Parfois, un déchirement de l’image se fait sentir et du clipping me fait tiquer, c’est vrai. Mais les gallons qu’il n’obtient pas en graphismes, il les gagne assurément en contenu : 140 tracés pour plus de 60 lieux dont les plus prestigieux, à parcourir au volant de 180 bolides ! Je déteste cordialement le Nürburgring, mais j’adore rouler dessus (ou peut-être l...
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avatar SakonSakon

En fan absolu de Forza, licence emblématique de la Xbox, j’ai toujours souhaité à la Playstation d’obtenir un Forza-like lui arrivant au moins à la cheville. Gran Turismo a fini par céder sous le talent des gars de Playground Games et Turn 10 Studio. Project CARS était LE projet qui pouvait réellement gêner le colosse aux roues d'argile. Perfectible mais ambitieux, une suite était déjà prédite. 

La carotte, un vrai moteur

Project CARS premier du nom était amputé de ce qui me fait passer mes nuits sur Forza Horizon 2 et 3 : du contenu déblocable, des voitures hors de prix dont les concessions ne demandent qu’à être conquises et les voitures repeintes en jaune canari et vert caca d'oie. Bien évidemment, ils ne concourent pas dans la même catégorie : l’un est une simulation accessible, l’autre un jeu de courses arcade saupoudré de simulation en monde ouvert. Reste qu'il ne verrouillait à aucun moment la pro...
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Clash #2: Assassin's Creed Origins

avatar SakonSakon

Pour obtenir un bon cru venant de cette grande saga, quelques ingrédients sont indispensables. Prenez une temporalité passionnante comme la révolution française, l’âge d’or de la piraterie ou encore la renaissance italienne. Saupoudrez de souffle épique, de grands espaces à conquérir et mélangez le tout. Ajoutez un free-run simpliste, un gameplay d’infiltration non punitif et vous obtenez un épisode tout beau, tout neuf ! 

Le danger des acquis

Enfin, neuf… pas tout à fait. L’impondérable, comme disait l’autre, est ce qui parallèlement nous a fait aimer cette série : l’annualisation. Pourtant, au fil des épisodes, on la voyait à bout de souffle ; non contente de servir jusqu’à plus soif son poussiéreux système de combats, elle osait perdre en charme ce qu’elle gagnait en bugs fâcheux - et drôles. 
D’un Black Flag aux plages de sable enchanteresses, aux cocotiers rayonnants et au rhum abondant, nous avions eu le droit en 2015 à un Syndicate...
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avatar RedterRedter

J’ai abordé Assassin’s Creed Origins comme l’épisode canonique. Celui qui allait me faire oublier le gameplay « mono-touche » de la série. En toqué que je suis, j’aime terminer mes aventures à 100%. Ubisoft a longtemps été mon phare, pour ses open world et ses collectables disséminés un peu partout, comme une gigantesque chasse aux œufs de pâques...
Les épisodes se succédant, j’ai éprouvé une énorme lassitude : les mêmes mécaniques se présentaient devant moi. Je devinais les rouages et intrigues à venir, comme omniscient. Le nouvel Assassin’s Creed a gardé le même squelette un peu crade, au grand dam de mon envie de nouveauté. 

Mi-figue, mi-raisin

C’est vrai qu’il est bien foutu ; je trouve l’idée de l’Egypte ancienne idéale, et je pourrais passer des heures à prendre des photos débiles !
Hélas, je trouve cette nouvelle formule surcotée et j’espère qu’elle n’est pas la recette miracle des prochains épisodes. En adepte de l’infiltration, j...
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Clash #3: Call of Duty: WWII

avatar PortvidPortvid

Dire que le dernier Call of Duty était attendu au tournant relève de l’euphémisme. Les joueurs ont eu ras-le-bol du trip futuriste, et ce n’est pas pour rien que le trailer d’Infinite Warfare a battu un record de « dislike ». 
En ce qui me concerne j’ai patiemment vadrouillé dans Borderlands, dont l’humour décalé me plaît beaucoup. Battlefield Bad Company a également ce petit côté barré, juste assez suffisant pour ne pas verser dans le too much. Mais voilà : la Seconde Guerre mondiale sauce Call of Duty, c’est tous les jours, et quand ils veulent ! 

Casque vissé sur la tête

Parce que je n’ai pas envie de dépenser 60 euros annuels dans un abonnement en ligne, je suis un joueur exclusivement solo. Ce n’est pas pour autant que les jeux à tendance multijoueur ne me font pas baver, entendons-nous bien ! 
Avec ce CoD : WWII, je n’ai pourtant pas ressenti le besoin de dézinguer à-tout-va en ligne pour étancher ma soif ...
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avatar SakonSakon

N’éprouvant plus aucune sympathie pour « la franchise la plus vendue de la Playstation 3 », je n’ai pas attendu son retour. Mes songes étaient nourris par ces parties en multijoueur où plusieurs tricheurs se pavanaient, invisibles (CoD : MW3), obligeant à quitter et relancer sans cesse.
Je n’ai ressenti qu'une vague envie de m’essayer aux derniers CoD, avec leurs wall-jumps, doubles sauts de l’hyper-espace triple salto piqué tendu… Ce game-feeling ne m’attire pas.

Pourquoi ce choix ?

La Seconde Guerre mondiale, écumée dans nos livres d’histoire, les documentaires racoleurs des chaînes de la TNT ou encore la foule de titres de jeux me sort par les yeux. Je comprends que les ambitions et la vision du conflit armé qu’a Sledgehammer ne peuvent s’adonner à tous les pans de l’histoire moderne. Mais j’aurais aimé que la licence s’exporte sur un terrain d’uchronie ambitieuse. 
Côté campagne, je trouve que Sledgehammer a fait du bon t...
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