Une série qui gâche un peu son final
Alors qu’on attendait particulièrement le final de la série Kick Ass, par Millar et le génial Romita JR, la déception est amère. On en attendait peut-être trop, de telle sorte que le retour à la réalité se fait plus fracassant, et pour finir plus insipide. Récit d’une ascension fulgurante et d’une chute fracassante pour un héros qui lorgne finalement vers la tête à claques…
Retour sur les numéros précédents
Nous partons du principe que notre aimable lecteur connait les tenants et les aboutissants de cette ultime itération du Comics Kick Ass : dans le volume précédent, les gentils et les méchants se sont frittés une bonne fois pour toutes, dans une bagarre de rue absolument stupide (et donc jouissive), et Hit-Girl portée aux nues par ses petits camarades déjantés était jetée dans un asile psychiatrique, dans l’attente d’un ultime verdict grinçant. Mark Millar et John Romita JR avaient alors signés ensemble un dernier acte tellement fou mais génial, à tel p... Voir cette critique en entier
4 votesAlors qu’on attendait particulièrement le final de la série Kick Ass, par Millar et le génial Romita JR, la déception est amère. On en attendait peut-être trop, de telle sorte que le retour à la réalité se fait plus fracassant, et pour finir plus insipide. Récit d’une ascension fulgurante et d’une chute fracassante pour un héros qui lorgne finalement vers la tête à claques…
Retour sur les numéros précédents
Nous partons du principe que notre aimable lecteur connait les tenants et les aboutissants de cette ultime itération du Comics Kick Ass : dans le volume précédent, les gentils et les méchants se sont frittés une bonne fois pour toutes, dans une bagarre de rue absolument stupide (et donc jouissive), et Hit-Girl portée aux nues par ses petits camarades déjantés était jetée dans un asile psychiatrique, dans l’attente d’un ultime verdict grinçant. Mark Millar et John Romita JR avaient alors signés ensemble un dernier acte tellement fou mais génial, à tel p... Voir cette critique en entier
Un authentique baroud d’honneur pour nos héros sans pouvoirs !
Vous aimez Kick-Ass d’un amour tendre ? Vous attendez sans trop y croire le prochain film qui, selon toute vraisemblance, devrait rester dans les cartons poussiéreux de l’abandon ? C’est le moment de vous jeter à corps perdu dans la dernière partie du Comics, éditée en deux parties ! Vous saurez enfin comment se termine l’aventure lamentablement géniale de Dave Lizewski et de sa prodigieuse petite copine Mindy Mc Ready…
Pour résumer l’intrigue en quelques mots
Pour ceux qui ne connaissent pas Kick Ass ou qui en gardent un vague souvenir : Kick Ass en bande-dessinée est une véritable pépite, sublimée depuis par l’incroyable pamphlet anti-conformiste du réalisateur Matthew Vaughn au cinéma. De nos jours, Dave Lizewski est un gamin relativement ordinaire, amateur de Comics et d’une vie qu’il ne fait que rêver. Révolté par l’injustice (un vrai discours de Miss France !), il décide un jour de se retrousser les manches et de partir dans les rues de la ville ter... Voir cette critique en entier
4 votesVous aimez Kick-Ass d’un amour tendre ? Vous attendez sans trop y croire le prochain film qui, selon toute vraisemblance, devrait rester dans les cartons poussiéreux de l’abandon ? C’est le moment de vous jeter à corps perdu dans la dernière partie du Comics, éditée en deux parties ! Vous saurez enfin comment se termine l’aventure lamentablement géniale de Dave Lizewski et de sa prodigieuse petite copine Mindy Mc Ready…
Pour résumer l’intrigue en quelques mots
Pour ceux qui ne connaissent pas Kick Ass ou qui en gardent un vague souvenir : Kick Ass en bande-dessinée est une véritable pépite, sublimée depuis par l’incroyable pamphlet anti-conformiste du réalisateur Matthew Vaughn au cinéma. De nos jours, Dave Lizewski est un gamin relativement ordinaire, amateur de Comics et d’une vie qu’il ne fait que rêver. Révolté par l’injustice (un vrai discours de Miss France !), il décide un jour de se retrousser les manches et de partir dans les rues de la ville ter... Voir cette critique en entier
Iron man extremis : l’art ultime au service d’un récit d’espionnage noir
Le volume « Extremis » est probablement l’une des pierres les plus importantes jetée dans le jardin d’Iron Man. Véritable expérience graphique, le sujet nous entraine au cœur d’un récit d’espionnage sombre aux accents terrifiants, et profite de l’occasion pour renouveler les origines du personnage, qui auront servi de base à l’histoire des films Marvel avec Robert Downey JR…
Quelques lignes sur l’intrigue
Pour la petite histoire, il vous faut savoir que l’intrigue du Comics Extremis a grandement inspiré le troisième film de la franchise cinématographique Marvel consacrée au personnage. Robert Downey JR était alors confronté à une intrigue à tiroir, dans laquelle tout était mis en œuvre pour détruire sa réputation et ruiner sa technologie. Comme c’est souvent le cas dans les adaptations, le comics Extremis développe une intrigue sensiblement différente, et s’offre même le luxe d’une scène particulièrement sanglante, dans un style que n’aurait pas renié un ... Voir cette critique en entier
3 votesLe volume « Extremis » est probablement l’une des pierres les plus importantes jetée dans le jardin d’Iron Man. Véritable expérience graphique, le sujet nous entraine au cœur d’un récit d’espionnage sombre aux accents terrifiants, et profite de l’occasion pour renouveler les origines du personnage, qui auront servi de base à l’histoire des films Marvel avec Robert Downey JR…
Quelques lignes sur l’intrigue
Pour la petite histoire, il vous faut savoir que l’intrigue du Comics Extremis a grandement inspiré le troisième film de la franchise cinématographique Marvel consacrée au personnage. Robert Downey JR était alors confronté à une intrigue à tiroir, dans laquelle tout était mis en œuvre pour détruire sa réputation et ruiner sa technologie. Comme c’est souvent le cas dans les adaptations, le comics Extremis développe une intrigue sensiblement différente, et s’offre même le luxe d’une scène particulièrement sanglante, dans un style que n’aurait pas renié un ... Voir cette critique en entier
Iron man extremis : un coup pour rien !
Fans de la maison des idées, j’ai nommé la toute puissante Marvel, vous serez très certainement désappointés devant cette nouvelle incursion dans la vie de l’Homme de fer. Pourtant plein de promesses, Extremis ne raconte pas grand-chose et peut même se révéler ennuyeux à la longue…
Une courte introduction à l’histoire
Le scénariste britannique Warren Ellis aborde ici le personnage d’Iron Man sous un autre angle : celui du dégoût de lui-même, du doute qui ronge le marchand d’armes face à une technologie qui semble devenir de plus en plus difficile à contrôler. Et bien sûr, pendant ce temps, des savants à l’idéologie douteuse fourbissent leurs plans diaboliques, alors même que le virus technologique « Extremis » semble devenu incontrôlable et s’apprête à devenir une menace à l’échelle mondiale. On remarquera ainsi que certains éléments du Comics figurent dans le troisième film de la franchise Iron Man, issue du Marvel Cinematic Universe. Mais les différence... Voir cette critique en entier
2 votesFans de la maison des idées, j’ai nommé la toute puissante Marvel, vous serez très certainement désappointés devant cette nouvelle incursion dans la vie de l’Homme de fer. Pourtant plein de promesses, Extremis ne raconte pas grand-chose et peut même se révéler ennuyeux à la longue…
Une courte introduction à l’histoire
Le scénariste britannique Warren Ellis aborde ici le personnage d’Iron Man sous un autre angle : celui du dégoût de lui-même, du doute qui ronge le marchand d’armes face à une technologie qui semble devenir de plus en plus difficile à contrôler. Et bien sûr, pendant ce temps, des savants à l’idéologie douteuse fourbissent leurs plans diaboliques, alors même que le virus technologique « Extremis » semble devenu incontrôlable et s’apprête à devenir une menace à l’échelle mondiale. On remarquera ainsi que certains éléments du Comics figurent dans le troisième film de la franchise Iron Man, issue du Marvel Cinematic Universe. Mais les différence... Voir cette critique en entier
L’ascension de starscream, mais le nivelage par le bas !
On ne finit plus de présenter cette série cinématographique interminable qu’est la saga Transformers. Pendant ce temps, l’exploitation de la franchise se fait également en bande-dessinée. Pour le meilleur, mais aussi et surtout pour le pire. Car le Règne de Starscream ne relève hélas pas le niveau d’une histoire à dormir debout…
L’éternelle histoire du bien contre le mal
Petit résumé fort utile pour ceux qui auraient hiberné dans leur grotte depuis 10 ans : la franchise Transformers, destinée essentiellement à l’origine de son existence au marché des produits dérivés, a été reprise en main dès 2007 pour les besoins du Grand-Ecran. Qui d’autre que Michael Bay pouvait se relever les manches et partir au charbon, dans cette histoire complètement ahurissante de robots transformables en voitures de course ? Ainsi pour faire simple, on dira que les méchants Decepticans, opposés aux gentils Autobots, s’affrontent sur Terre pour la suprématie. Oui, c’est tout. Ma... Voir cette critique en entier
2 votesOn ne finit plus de présenter cette série cinématographique interminable qu’est la saga Transformers. Pendant ce temps, l’exploitation de la franchise se fait également en bande-dessinée. Pour le meilleur, mais aussi et surtout pour le pire. Car le Règne de Starscream ne relève hélas pas le niveau d’une histoire à dormir debout…
L’éternelle histoire du bien contre le mal
Petit résumé fort utile pour ceux qui auraient hiberné dans leur grotte depuis 10 ans : la franchise Transformers, destinée essentiellement à l’origine de son existence au marché des produits dérivés, a été reprise en main dès 2007 pour les besoins du Grand-Ecran. Qui d’autre que Michael Bay pouvait se relever les manches et partir au charbon, dans cette histoire complètement ahurissante de robots transformables en voitures de course ? Ainsi pour faire simple, on dira que les méchants Decepticans, opposés aux gentils Autobots, s’affrontent sur Terre pour la suprématie. Oui, c’est tout. Ma... Voir cette critique en entier
Le règne de starscream : une porte d’entrée intéressante dans l’univers de transformers !
Pendant que la franchise Transformers n’en finit plus de s’étaler sur le Grand-Ecran (avec des projets à rallonge de suites et autres spin-off), il peut paraître intéressant de revenir en arrière de plusieurs années et de fureter un peu dans les quelques rares itérations en bande-dessinée sur le sujet. Et justement, le Règne de Starscream, dont les évènements sont censés se dérouler entre le premier et le second film de la franchise, est plutôt un bon cru.
Petit cours d’histoire improvisé
L’univers de Transformers était prioritairement destiné à l’origine au marché des jouets et des produits dérivés. Il s’agissait avant tout de faire la joie de nos chères têtes blondes, au travers d’une mythologie relativement sommaire mais assez efficace : les Aubotots (un groupe de robots dissidents venus de l’espace) entraient en guerre contre les impitoyables Decepticans, cherchant à régner sur l’univers par tous les moyens. Bien entendu, entre les deux factions, les ... Voir cette critique en entier
3 votesPendant que la franchise Transformers n’en finit plus de s’étaler sur le Grand-Ecran (avec des projets à rallonge de suites et autres spin-off), il peut paraître intéressant de revenir en arrière de plusieurs années et de fureter un peu dans les quelques rares itérations en bande-dessinée sur le sujet. Et justement, le Règne de Starscream, dont les évènements sont censés se dérouler entre le premier et le second film de la franchise, est plutôt un bon cru.
Petit cours d’histoire improvisé
L’univers de Transformers était prioritairement destiné à l’origine au marché des jouets et des produits dérivés. Il s’agissait avant tout de faire la joie de nos chères têtes blondes, au travers d’une mythologie relativement sommaire mais assez efficace : les Aubotots (un groupe de robots dissidents venus de l’espace) entraient en guerre contre les impitoyables Decepticans, cherchant à régner sur l’univers par tous les moyens. Bien entendu, entre les deux factions, les ... Voir cette critique en entier