Rachel insiste pour que Bam reste dans l’ignorance et M. Ho obtient d’étonnantes révélations. Un 6e opus un peu juste. Rachel se cache toujours de Bam mais on ignore la raison, certains se pose des questions sur le garçon sans agir et une nouvelle épreuve (un cache-cache revisité) débute. Globalement, il n’y a pas de véritable révélation ici et les personnages n’évoluent pas beaucoup non plus. C’est donc l’épreuve qui est la plus consistante en mettant en avant la façon de penser des personnages, en dévoilant les stratèges les plus cruels et en affinant la sélection. En revanche, cela manque de rythme, il y a beaucoup d’explications et l’action manque un peu trop à l’appel. Graphiquement, c’est en revanche assez plaisant, les couleurs sont bien choisies et la mise en scène est soignée. Un sixième « étage » moyen.
Miko continue de voir des créatures monstrueuses sans se douter de ce qui se trame en ville. Une suite bien tendue.Au lycée ou en ville, à côté d’elle ou par téléphone, Miko ne cesse de voir des apparitions monstrueuses. Si cela ne provoque pas souvent des problèmes, l’histoire continue de jouer à fond sur le décalage entre ce que voit Miko et la réalité de ses proches. De plus, et c’est bien là le plus important, l’histoire développe en toile de fond un sujet plus sombre et qui sent le danger. On voit bien que le type louche a de mauvaises intentions et que Mitsue en sait plus long qu’elle ne veut bien le dire. Il faudra certes attendre la suite pour en savoir plus mais les promesses qui sont faites ici donnent envie d’en lire plus, les mystères prenant plus d’importance et de consistance. Le tout s’accompagne de visuels soignés et efficaces, pour plus d’immersion. Une bonne suite !
Tetsu s'inquiète de ce qu'il a pu faire vivre ou pas à Mogumo. Une suite touchante.Mogumo et Tetsu s'aiment mais ont du mal à l'avouer ouvertement, de peur de blesser et fâcher l'autre, tout cela sous le regard jaloux et dépité de Kotone. L'histoire marque quelques changements mais se concentre avant tout sur les réflexions des personnages qui sont évidemment attachants. Cela permet en outre de réaliser les difficultés que peuvent rencontrer des gens dans leur situation et de réfléchir au regard porté par la société sur ceux qui ne sont pas dans les normes. Il y a bien quelques exagérations et les dessins exploitent le fan-service, mais il n'y a rien de bien problématique, l'ensemble est très charmant et on ne s'ennuie pas. A suivre donc.
Kôichi affronte Zoki mais le garçon n'a aucune chance de le vaincre sans renfort. Un 12e tome prenant.La série a connu des hauts et des bas, et ce 12e opus fait heureusement partie de la première catégorie. D'une première moitié riche en action à une seconde où les cartes sont rebattues, il n'y a aucun temps mort et les personnages sont prêts à tout pour arriver à leur fin, ce qui va occasionner une mort tragique. Le scénario ne néglige ni le divertissement ni l'émotion, et cela le rend bien prenant. Les dessins sont comme d'habitude rythmés, soignés et agréables. Voilà donc un douzième volume qui ne déçoit pas et fait une belle promesse pour la suite.
Maïn demande à Delia de garder le secret à propos de l'orphelinat avant d'accélérer les choses. Une suite bien efficace.Une fois Delia au courant des activités de Maïn, cette dernière peut accélérer les choses pour aider les orphelins. L'ambiance est certes un peu trop naïve par moments, il faut bien se l'avouer, mais ce n'est pas gênant. Cette bienveillance réchauffe plutôt bien le cœur et permet à tous les personnages d'avancer à bon rythme. De plus, la suite développe encore un peu plus l'univers de l'histoire, et de nouveaux personnages, charmants et intéressants, font leur apparition. L'ensemble est bien mené, progresse à bon rythme et conserve sa ligne directrice avec douceur. On reste séduit.
Subaru cherche à obtenir des révélations de la part de Roswaal. Une suite bien rythmée.Roswaal se révèle bien plus manipulateur que prévu, mais ce n'est pas cela le plus intéressant dans ce volume. Subaru continue en effet de mener son enquête pour savoir qui est un traître ou pas, mais aussi pour pouvoir rendre la mémoire à son entourage. Si on est encore loin de tout savoir, des gros indices nous sont donnés via des révélations surprenantes. L'action fait également quelques petites incartades pour apporter un peu de vigueur à l'intrigue et chaque personnage se révèle toujours aussi charismatiques. L'ensemble est une fois de plus divertissant et étonnant, on ne s'en lasse pas. A suivre donc !
La situation autour du marais se complique et Roswaal craint que Sphinx soit dans les parages. Une suite bien rythmée.La guerre se poursuit et de nouveaux problèmes s'ajoutent pour compliquer les choses : une dénommée Sphinx rôde dans les parages, des cercles magiques apparaissent, les ennemis sont avantagés... Forcément, cela engendre beaucoup d'action et les affrontements, fluides et nerveux, apportent beaucoup de rythme à l'ensemble. Évidemment, il ne s'agit pas de meubler, cela s'accompagne de quelques remises en question, de bribes de révélations et d'une certaine noirceur pour plus d'immersion et étoffer le scénario. Le résultat est efficace, divertissant et prenant à souhait, on n'en perd pas une miette. A suivre donc.
La bataille contre la domestique divine fait rage : Clione saura-t-elle y mettre un terme ? Un condensé d'action.Les révélations sont bien minces dans ce volume. Cependant, grâce à l'action, on ne s'ennuie pas. Les combats qui ont lieu ne manquent pas d'énergie, les passages sont visuellement bien soignés et les personnages font preuve d'une grande détermination. On n'échappe pas à 2-3 longueurs mais rien de bien méchant. Le récit mise clairement sur ses graphismes et ne lésine pas sur les moyens pour assurer le spectacle. Ce 22e volume est donc surtout une longue bataille mais celle-ci est suffisamment bien mise en scène pour nous tenir en haleine.
Pendant son combat, Aiz obtient un indice de taille sur son passé. Une suite un peu mollassonne.Les choses avancent un peu mais il ne faut pas être pressé. Ainsi, Aiz et quelques personnes de son entourage obtiennent des pistes et des indices mais il n'y a rien de véritablement établi ou qui change la situation. Au lieu de cela, le récit et ses protagonistes perdent du temps sur des sujets assez futiles et l'ambiance est parfois assez mièvre. Heureusement, les dessins sont quant à eux bien séduisants, le charme des personnages et le dynamisme de la mise en scène faisant leur effet. Il n'en reste pas moins que ce huitième volume possède pas mal de longueurs. A suivre ?
Au lycée comme à l'extérieur, les élèves de Mme Tsuji apprennent beaucoup de choses concernant le sexe. Une suite instructive et intéressante.Comme dans le précédent volume, Mme Tsuji a souvent une occasion de faire un cours sur le sexe à ses élèves. Les introductions sont assez expéditives, mais cela n'empêche pas les propos d'être intéressants. Ainsi, en plus d'expliquer beaucoup de choses, les récits abordent également des sujets de réflexion sur la société, les discriminations et le féminisme. L'ensemble est assez verbeux, mais les textes ne sont pas rébarbatifs et s'accompagnent de remarques plus légères pour alléger l'ambiance. Quant aux dessins, ceux-ci n'ont absolument rien de racoleur, les schémas sont faciles à comprendre et les demoiselles dégagent toutes du charme. Voilà donc une suite qui ne manque pas d'intérêt, bien au contraire.
Les manieurs de vagues apprennent à maîtriser le shinsu qui leur donnera un énorme pouvoir. Un 5e tome de transition.C'est un volume en deux temps que voici. D'abord, Bam et ses amis prennent des cours pour apprendre à maîtriser de nouveaux pouvoirs et s'améliorer au combat. Puis, les deux princesses de Jahad se livrent à un duel sur fond de règlement de comptes. Le récit pose des bases et fait des mises au point pour la suite, cela est bien fait mais il faut bien admettre que le rythme n'est pas très intense. De plus, quelques longueurs sont à noter. Visuellement, c'est assez réussi, même si l'ensemble manque un peu de décors. Un 5e tome en demi-teinte mais encourageant.
Les critiques de la Night ne sont pas près de prendre fin grâce aux expériences de Stunk, Zel et leurs acolytes. Un 4e volet moyen.Quatrième épisode des critiques de la Night, ce volet s'articule sans surprise autour des expériences des personnages et la découverte de créatures aussi coquines qu'inhabituelles. Si la variété des demoiselles est assez agréable à regarder, on reste perplexe face aux passages coquins dont le bon goût n'est pas toujours de mise. On nous épargne heureusement les plans les plus graveleux mais la suggestion n'est pas forcément plus émoustillante. Bref, le scénario n'est pas folichon, les dessins sont satisfaisants, et l'ensemble s'avère encore un peu trop juste pour convaincre.
Ne se considérant ni fille ni garçon, Mogumo se voit proposer par un camarade de travailler dans un café inhabituel. Un début assez sympathique.Né garçon, d'apparence féminine, Mogumo ne se reconnaît dans aucun genre et n'a pas non plus envie de choisir. Tout ce qu'il veut, c'est rencontrer des amis qui le comprennent, et les employés d'un café très particulier pourraient bien correspondre à sa recherche. Pour l'instant, on fait surtout connaissance avec les personnages, ce qu'ils sont, ce qu'ils aimeraient être et la façon dont ils perçoivent les autres. Cela reste néanmoins très intéressant et rythmé, il y a de quoi faire. Le côté très girly apporte de la douceur à un sujet de société très délicat, et l'ambiance reste saine car les personnages ne sont pas là pour se juger. Chacun expose son point de vue afin de représenter des visions différentes, l'histoire avance plutôt bien et certaines relations connaissent également des étapes significatives. Quant aux dessins, ceux-ci sont mignons à souhait, mais ils n'en font pas des tonnes pour séduire. Tout cela est vraiment bien fait, et on a envie de voir comment cela va évoluer.
Maïn fait ses débuts au temple, mais son ignorance des convenances lui joue des tours. Un 2e arc assez plaisant.Dans ce deuxième arc qui s'ouvre, Maïn est désormais apprentie prêtresse. Si elle a de meilleures chances de s'approcher de livres, la demoiselle se retrouve confrontée à de nouveaux problèmes : des usages qu'elle ignore, des servants difficilement obéissants... Cela ne vole certes pas très haut, mais nous permet de découvrir en même temps que la demoiselle plus de choses sur l'univers dans lequel elle évolue. Le scénario se dote en outre d'une atmosphère plutôt calme malgré quelques moments de tension, c'est très charmant et les dessins sont tout aussi agréables. Dans l'ensemble, voilà un deuxième arc qui débute sous de bons auspices.
Peu à peu, Main s'acclimate à la vie au temple mais quelques découvertes la tracassent. Une suite bien soignée.Ce deuxième volume se déroule en deux parties bien distinctes. Dans un premier temps, les épisodes sont plutôt gentils et installent au fur et à mesure la situation de Maïn. Dans un deuxième temps, Maïn se trouve une mission importante après avoir vu quelque chose de terrible au temple. L'ambiance s'assombrit alors, mais le scénario gagne en intensité et en intérêt. Le récit s'avère prenant dans les deux cas et les dessins, tout en douceur et soin, lui font honneur. Un deuxième volume qui donne envie de lire la suite.
Nozomi s'arrange pour que les habitants se réfugient avant que Zoki ne passe à l'attaque. Un 11e volet riche en action.L'heure n'est plus aux tergiversations, cette fois Zoki passe à l'attaque et ne compte pas s'arrêter avant d'avoir obtenu ce qu'il veut. L'action fait donc rage dans tous les sens, tous les personnages principaux devant prendre part à la bataille et étant prêts à se sacrifier. Évidemment, cela provoque des dégâts et de sacrées blessures, le récit n'épargne personne. L'intensité est donc de rigueur tout du long, les surprises sont au rendez-vous et les scènes de combats font sensation. Le spectacle est donc assuré et, malgré quelques petites longueurs, on ne s'ennuie pas du tout. Un 11e volet qui assure !
Akutagawa s'interpose au dernier moment pour empêcher Fukuchi de tuer Atsushi. Un 20e volume riche en action.Le trio Atsushi / Akutagawa / Fukuchi en illustration de la couverture est bien choisi car ce sont ces personnages qui occupent quasiment tout le volume. L'affrontement est terrible entre ces trois-là, aussi bien parce que les enjeux sont cruciaux que par les sacrifices qu'ils sont prêts à faire. En outre, on obtient quelques révélations qui font froid dans le dos et les surprises ne sont pas en reste. L'action est évidemment le maître-mot de l'ouvrage mais le scénario ne s’en contente pas et c'est très bien comme cela. Quant aux graphismes, ceux-ci sont de bonne facture, dynamiques et soignés. Pas mal du tout.
Qu'elles fassent partie de Kijikita ou Kuryun, les filles se donnent à fond pour leur passion. Un 13e opus plutôt bien fait.Le football met les filles dans tous leurs états, qu'il s'agisse de la demi-finale, d'entraînement ou de simples moments de détente. L'action est évidemment au centre des évènements, mais on ne s'attarde pas sur les techniques : ce sont avant tout les personnages qui sont au centre de l'histoire. Les demoiselles principales ont chacune le droit à leur moment de gloire, et les personnalités se révèlent. Bon, dans l'ensemble, il n'y a pas de grosse surprise, mais l'ambiance est positive, bienveillante et les demoiselles savent nous faire partager leurs émotions. On passe donc un bon moment en leur compagnie : à suivre !
Ryû et son entourage commence à regretter la violence et rêver de calme. Un volet assez mou et cucul.Tour à tour, les personnages féminins principaux se livrent à une introspection, commençant par une vie faite de combats et solitude, mais aspirant à du calme. Globalement, cela nous permet de faire plus ample connaissance avec ces demoiselles qui gagnent évidemment en sympathie et l'univers de l'histoire s'étoffe un peu plus. En revanche, les épisodes ont tous le même schéma, si bien que les intrigues en sont prévisibles et l'ensemble répétitif. En outre, l'ambiance très gentillette est franchement naïve et enfantine, bien trop cucul au regard de ce que font les personnages. Cela pénalise le scénario qui en devient de fait assez ennuyeux et pas aussi touchant que prévu. Dommage.
Le groupe de Bam s'illustre pendant le jeu de la couronne. Un quatrième stage un peu plus intéressant.Sans aller jusqu'à prétendre que l'histoire est passionnante, on note des améliorations dans ce volume. Déjà, le déroulement des épreuves est moins opaque et on bénéficie de spectacles assez jolis. Cependant, certains combats sont un peu longuets, et il faut reconnaître que ce sont surtout les révélations qui font leur petit effet et, par conséquent, l’intérêt de ce volume. Ainsi, on en apprend véritablement plus sur la tour (même si quelques zones d’ombre subsistent malgré tout), sa façon de sélectionner les participants, mais aussi le sort réservé à Rachel. Cela donne plus de consistance à l’ensemble, notre curiosité se réveille et le scénario gagne en efficacité. Un quatrième tome qui redonne espoir.
Subaru et Emilia découvrent les conditions difficiles pour avoir une chance de sortir du sanctuaire. Un 2e épisode touchant.Dès les premières pages, on apprend qu'il va falloir passer une épreuve pour sortir du sanctuaire. Si l'épreuve en question met du temps à démarrer, son déroulement est plutôt sympathique car il confronte Subaru à son passé. C'est l'occasion d'en apprendre plus sur le personnage et son vécu, tout en lui faisant faire un bilan. Dans le fond, il n'y a pas de grande avancée, mais les révélations et les conversations dégagent beaucoup d'émotions, le récit ne manque ni de chaleur ni de sensibilité, et on est touché par le garçon. Les dessins, quel que soit le monde représenté, sont dynamiques et soignés, il n'y a rien à redire. Une bonne suite.
Atsushi a obtenu de précieuses informations de la part de Sigma qui changent la donne. Surprenant. Plus que jamais, le chef des Cinq anges déchus fait parler de lui : il conserve la fameuse « page » auprès de lui, s'attaque aux détectives et, enfin, nous dévoile sa véritable identité. Même s'il ne se passe pas grand-chose dans le fond, on en apprend beaucoup grâce aux révélations et l'histoire gagne aussi bien en clarté qu'en intensité. Le récit n'a pas fini de surprendre avec des rebondissements efficaces et des retournements de situations inattendus, et il n'oublie pas de conserver une certaine cohérence qui fait plaisir. Le tout est plutôt bien imagé et fait honneur au charisme des personnages. Une bonne lecture.
C'est en Thaïlande que Mafuyu s'apprête à changer de sexe pour devenir une femme pour de bon. Un témoignage soigné et positif.Née dans un corps d'homme, Mafuyu se sait femme et décide de franchir le pas en se faisant opérer. Sans chercher à militer, l'autrice raconte son enfance, son expérience mais aussi tout ce que cela coûte. L'histoire ne force pas sur les sujets douloureux mais n'omet pas non plus les moments difficiles. On suit tout cela en appréciant la note humoristique qui dédramatise, la délicate touche d'émotion et les explications qui ne sombrent pas dans le médical barbant. Quant aux dessins, ceux-ci sont dynamiques, donnent du charme aux personnages et nous épargnent les détails trop bien ciblés. Un bon témoignage !
Un stage bonus est organisé avec pour récompense le droit de passer à l'étage suivant. Encore trop juste.D'entrée de jeu, un nouveau test est organisé. Intitulé « Le jeu de la couronne" » il s'agit de porter une couronne à la fin d'un compte à rebours. Quelques règles un peu plus compliquées viennent pimenter les choses, mais le fond reste simple. Puis, sur tout le reste du volume, on suit le déroulement du jeu et de nouvelles têtes se font remarquer. Malheureusement, le récit fait une fois de plus preuve de longueurs. L'action manque d'énergie et d'effets visuels impactants, le jeu semble interminable, les personnages ne réfléchissent pas à une stratégie... Bref, ce n'est pas ici que l'histoire va décoller.
Celle que l'on surnomme l'Ouragan devient la cible d'une chasseuse de primes et d'une tueuse à gages. Un trop grand manque de rythme.Les filles sont à l'honneur dans ce volume où l'on rencontre une tueuse à gages et une chasseuse de primes avant de voir Ryû s'installer dans une auberge où les employées sont toutes des femmes. Malheureusement, à part regarder des jolies filles, il n'y a pas grand-chose à se mettre sous la dent : les missions d'élimination d'Ouragan ne démarrent pas, Ryû se repose et cherche à devenir plus douce.... Le scénario est donc assez creux et son manque d'action n'arrange rien. Toutefois, le résultat est plus satisfaisant pour les dessins qui sont charmants. Un quatrième volume pas folichon.
Miko et tous ceux qui croisent sa route attirent beaucoup de créatures effrayantes. Un quatrième volet étonnant.Comme d'habitude, Miko voit constamment des créatures effrayantes apparaître sur sa route. Néanmoins, elle n'est pas la seule à subir ce phénomène et c'est bien cela qui fait l'intérêt du récit ici. En effet, quelques personnages secondaires en savent clairement plus qu'ils ne le disent et une sombre malédiction prend forme. Cela donne de la matière au scénario, ainsi que de la tension et du mystère. Ce nouvel élan dans l'histoire est aussi inattendu que très appréciable, et les dessins n'oublient pas non plus de faire peur avec les fantômes. Un quatrième volet qui fait plaisir.
Zel et Stunk ont toujours une maison close à explorer pour rédiger des critiques. Plus dérangeant que sexy.Question imagination, il faut admettre qu'il y a de quoi faire. Les chapitres mettent en avant des créatures plutôt originales et très variées, ainsi que des aspects particuliers liés à leur nature. Évidemment, c'est à chaque fois l'occasion de dénuder des demoiselles et les placer dans des situations plus que tendancieuses. Les efforts déployés sont évidents, mais le résultat laisse un peu perplexe : les intrigues sont creuses, les suggestions ont un goût douteux, les personnages principaux ne sont pas attachants... Bref, c'est plus joli qu'intéressant.
Stunk et ses amis continuent d'écumer les lupanars pour découvrir de nouvelles expériences. Un peu creux.Les épisodes sont assez répétitifs : les personnages cherchent un nouveau lupanar et tombent sur un endroit où les demoiselles ne sont pas farouches. Les récits n'ont pas grand-chose de plus à raconter, et misent tout uniquement sur la variété et, parfois, l'originalité des créatures. Les idées fusent dans tous les sens, les dessins donnent vie à des créatures charmantes. Néanmoins, les épisodes manquent d'érotisme, et certaines demoiselles évoquent des gamines. L'ensemble peine donc à nous émoustiller, tant pis.
Il y a 500 ans, Uriah et Atreyu, deux mages, découvrirent trop tard la folie de leur maître étudiant un astéroïde. Des révélations étonnantes mais prenantes.On se doutait bien qu'il y avait un secret tragique autour de Noah et c'est ici que l'on obtient toutes les révélations. On a d'abord le droit à un grand flashback nous présentant des mages qui font des expériences dangereuses et une jeune fille qui ressemble beaucoup à Noah. D'autres coïncidences nous plongent avec intérêt dans ce passage. C'est ainsi qu'une histoire tragique prend vie et les surprises sont bien efficaces. Puis, quand le récit revient au présent, la fin des explications et les émotions mises en avant terminent de rendre l'ensemble cohérent et empreint d'une ambiance nostalgique assez prenante. Le scénario fait preuve d'un bon rythme et son intrigue tient toujours la route, on apprécie toujours les dessins : on n'est pas déçu de la lecture !
La sorcière Arctica passe à l'action et personne ne semble en mesure de pouvoir l'arrêter. Un 9e volet bien nerveux.Toute la partie consacrée à la sorcière Arctica se poursuit ici et les choses ne semblent pas prêtes de se terminer. Néanmoins, cela ne s'avère pas ennuyeux pour autant car l'action est au rendez-vous avec de nombreux combats importants. En outre, les personnages nous livrent des informations légèrement étonnantes à leur sujet, et cela ne fait que renforcer l'intérêt de l'histoire. On reste en revanche perplexe face aux tentatives d'humour qui sont complètement décalées et pas très cohérentes. Cela atténue l'intensité du scénario et c'est bien dommage. Quant aux dessins, ceux-ci restent plaisants tout du long avec une énergie et une mise en scène dynamiques. Un neuvième volet qui aurait pu être encore plus prenant avec un peu d'effort.