Thane assiste à la destruction du monde natal de Nash et son dégoût pour l'empire ne fait que commencer. Un deuxième épisode bien réalisé.Bien qu'assistant tous les deux aux exactions commises par l'Empire, Thane et Ciena prennent deux voies différentes. C'est ici que tout s'éclaire, on comprend ce qui a poussé Thane à devenir rebelle, pourquoi Ciena ne l'a pas accompagné et les sacrifices de chacun pour survivre. Le scénario avance à bon rythme et marque donc de grandes étapes sans oublier de développer l'aspect psychologique de ses personnages. C'est bien prenant et, si certains regretteront le manque de bataille spatiale, cela s'inscrit bien dans l'univers Star Wars sans pour autant s'adresser uniquement aux connaisseurs. Une bonne suite !
Yen Sid explique à Mickey, Riku et Kaïri que leur quête va être bien compliquée. Une suite efficace.Étonnamment, ce ne sont pas Mickey et ses amis qui sont au cœur du récit, mais une jeune fille, Aqua, qui s'est égarée et ne peut plus rentrer chez elle. A la fois combattante puissante et demoiselle en détresse, Aqua fait une entrée remarquée et son histoire ne manque pas d'ambition. Bon, certains rebondissements manquent de subtilité et les non-dits ne facilitent pas toujours les choses mais l'ensemble est suffisamment rythmé et tendu pour être convaincant. En outre, les dessins de permettent un peu de variété et de fantaisie, ce qui ne gâche pas le plaisir. Une bonne suite.
Hakaba et ses compagnons font des rencontres et découvertes aussi surprenantes qu'intéressantes. Une deuxième étape charmante.Comme dans le précédent opus, le schéma est assez clair : chaque chapitre son sujet et/ou sa créature. On peut donc découvrir au fil des pages l'univers de la série et aussi les caractères bien trempés des personnages. Néanmoins, le scénario développe également une véritable quête et n'oublie pas de faire progresser la troupe vers sa prochaine destination. L'histoire principale a certes une ambiance un peu trop gentillette, mais cela n'est pas dérangeant. L'intérêt se situe dans les échanges entre les personnages, la découverte de créatures fantastiques et le goût de l'aventure. Tout cela est bien imagé, rendant l'histoire aussi plaisante qu'immersive et vivante. A suivre !
Marilla et Matthew Cuthbert veulent adopter un garçon pour aider à la ferme et reçoivent une fille effrontée. Une adaptation mignonne.Orpheline, Anne est envoyée dans une maison où un garçon était attendu. Même si elle arrive à convaincre les personnes de la garder, Anne va devoir apprendre les bonnes manières et faire des efforts pour s'intégrer. Bon, le récit date clairement d'une autre époque, néanmoins cela ne l'empêche pas d'être sympathique. Il faut dire que les personnages ont du caractère à revendre, leurs aventures ne manquent pas de rythme et la bienveillance générale donne du baume au cœur. L'histoire développe bien les thèmes de l'amitié, de la famille et de l'acceptation de soi, avec simplicité et sans lourdeur. Les dessins sont de leur côté très plaisants et donnent beaucoup de vie aux personnages. Une bonne adaptation.
Le défilé spécial se fait attendre aussi bien par le public que par les participants. Un très joli spectacle.La série n'aura jamais autant bien porté son nom qu'ici : les personnages sont véritablement étincelants ! Évidemment, tout repose sur les graphismes et ceux-ci font beaucoup d'efforts pour mettre en valeur les personnages, leurs expressions, leurs tenues et leurs accessoires. Les effets de mise en scène sont en outre un peu plus nombreux et se révèlent très efficace. A noter la présence de nombreux décors parisiens. Quant au scénario, il dégage de la tension, et nous fait bien ressentir les émotions générales. Assez brillant !
Jour après jour, Yuzu en apprend plus sur les animaux et la manière de s'en occuper. Un quatrième volet aussi prenant que les autres.A chaque chapitre, un nouveau sujet est abordé : stérilisation, adoption, dressage... Évidemment, ces thèmes sont abordés avec des cas concrets, ce qui permet de mieux comprendre les impacts et de s'immerger dans les épisodes. Les récits sont limpides, variés et plein d'émotion, les problèmes ne sont pas édulcorés et l'ensemble a de l'impact. Très mignons, les dessins apportent du charme et de la douceur à l'histoire, tous les personnages sont expressifs et la mise en page a de l'énergie. Une quatrième consultation pleine d'émotion !
Subaru, un écrivain, adopte un chat errant qui l'inspire beaucoup. Une idée charmante.Si on a encore le droit à une histoire de cohabitation avec un chat, l'histoire ne se contente pas de dépeindre la relation entre le chat et son maître. Subaru est un écrivain et l'animal va lui servir de muse pour une histoire policière, chacun d'eux en profitant pour découvrir une façon de vivre plus chaleureuse. Le point de vue adopté par le récit est donc plutôt original et cela lui confère un intérêt certain. Les personnages sont attachants et bienveillants, et l'ambiance est douce. En outre, les dessins sont très mignons mais n'appuient pas lourdement sur le sujet, ils soulignent avec justesse la chaleur de l'ensemble. Un bon début.
Ichigo découvre avec étonnement qu'Aoyama et le chevalier d'Azur sont une seule personne. Un final bien rythmé.Suite et fin des aventures des Mew Mew. Non seulement Aoyama se révèle être le chevalier d'Azur, mais en plus l'entourage d'Ichigo connaît des surprises déstabilisantes et doit se battre contre le Mal. Un programme bien chargé donc, le scénario ne ménage pas ses efforts pour rester rythmé et intense, sans oublier de conclure correctement l'histoire principale. Il y a bien quelques raccourcis expéditifs et des rebondissements abruptes, mais l'ensemble fonctionne globalement assez bien, on apprécie le divertissement. Un bon final !
Le « festival des récoltes » débute et les élèves vont adopter des comportements étonnants. Secoué mais amusant.Le « festival des récoltes » commence fort : utilisation de nouveaux sorts, séduction, techniques de survie... Les personnages s'en donnent à cœur joie et n'hésitent pas à employer tous les moyens pour prouver leur valeur. Cela donne de l'action, de la magie et beaucoup de surprises. Bon, cela vire surtout au grand n'importe quoi, mais l'humour fonctionne bien et l'ambiance agitée nous entraîne. Les dessins, toujours aussi vifs, soutiennent bien le rythme et le charisme des personnages. Un 13e opus divertissant à souhait !
En chat comme en humain, Nao essaye de rendre le quotidien de Chika doux et agréable. Un huitième volet très charmant.Peu importe qu'il soit humain ou chat, Nao tient absolument à protéger Chika d'un quelconque malheur. Les intrigues ne volent pas très haut, il faut bien se l'avouer, mais elles ne manquent ni de rythme ni de variété. En outre, les émotions et la bienveillance des personnages dégagent de la chaleur, et le scénario dans sa globalité nous montre à quel point le côté mignon de la situation est le plus important. Les graphismes, eux aussi tout mignons, animent efficacement l'ensemble et savent soutenir le kawaii. Bien sympathique.
A cause de l’accident de son maître de recherche, Hakaba doit voyager pour rencontrer et étudier les différents peuples de l'outre-monde. Une aventure charmante.Après une introduction expéditive, l'histoire entame directement le périple de son personnage principal, un chercheur qui va rencontrer les différents peuples de l'outre-monde et étudier leur mode de communication. C'est donc un appel au voyage et aux découvertes qui nous est proposé. Fort heureusement, ce premier volume nous enchante déjà en nous emmenant à la rencontre de peuples variés et accueillants. Les créatures, plus ou moins connues, dévoilent leurs caractéristiques et se révèlent aussi surprenantes que sympathiques. Les dessins sont quant à eux soignés et très plaisants. Une bonne initiation !
Jedi, Lily se consacre à l'aide de réfugiés qu'elle amène sur Banchii où un traître se terre. Un début moyen.Se déroulant bien avant la célèbre saga des Skywalker et s'adressant à ceux qui connaissent déjà l'univers de Star Wars, cette série se déroule durant l'ère de la Haute République, une époque où les jedi sont encore nombreux et reconnus. On y suit une dénommée Lily qui aide des réfugiés à s'installer sur une nouvelle planète, sans se douter de l'imminence d'un danger. Autant l'histoire est assez simple pour le moment, autant ce n'est pas le plus gênant. Le scénario pêche en effet par ses transitions abruptes, de nombreuses longueurs et, surtout, une intrigue qui semble manquer d'ambition. Cela est bien dommage car il y pourtant un univers riche et de quoi faire. Quant aux dessins, ceux-ci sont très corrects et tout à fait satisfaisants. Une odyssée un peu trop juste.
Thane, un pilote rebelle, se bat pour la justice, la liberté... et son amie d'enfance. Un début d'aventure prometteur.Nouveau venu dans la galaxie Star Wars, ce titre nous invite à suivre deux amis d'enfance qui ont choisi des chemins bien différents : Thane a déserté l'empire pour se battre aux côtés des rebelles, tandis que son amie d'enfance est totalement fidèle à l'empire. S'il ne s'agit pour l'instant que de présentations, l'histoire affiche déjà de sérieux atouts : des personnages qui ont une histoire compliquée, le positionnement au sein de la guerre opposant l'empire à la rébellion, de l'action spatiale... Les deux camps sont bien représentés et le scénario laisse deviner une aventure très rythmée. Les dessins mettent aussi bien en avant les éléments de Star Wars, et appuient efficacement sur le dynamisme. Un bon démarrage.
Nadeshiko, Aya et Rin poursuivent leur périple le long du fleuve tout en profitant des quelques haltes indispensables. Un 11e campement bien charmant.Le trio formé par Nadeshiko, Aya et Rin fait route pour un camping assez éloigné. Chacune des demoiselles profite de l’occasion pour admirer les paysages, mais aussi pour déguster des spécialités culinaires plus ou moins réputées. Il y a certes un peu moins d’informations sur l’aspect pratique du camping, cependant cela n’est pas gênant car les épisodes nous font voir d’autres choses pour profiter de l’expérience et voyager en même temps que les personnages. Bien sûr, l’aspect réaliste des décors facilite l’immersion et l’appel à l’évasion, les dessins font tout pour qu’on bénéficie du calme ambiant et de la chaleur des émotions. Le tout fonctionne une fois de plus très bien, on n’est pas du tout déçu du voyage !
Mao ramène Canaria dans son pays qui l'attend pour la sacrifier. Un deuxième volet divertissant.Mao parvient à ramener Canaria dans son pays mais leur aventure est loin de s'arrêter là. En effet, Mao découvre sur place que la situation de la demoiselle n'est pas enviable et va se heurter à une culture traditionnelle très forte. Bien sûr, cette noirceur qui s'ajoute est porteuse d'une certaine intensité et rend le récit plus émouvant. L'action n'est toutefois pas en reste et le développement de l'univers continue de s'étoffer. Certains rebondissements sont prévisibles mais cela n'est pas bien gênant. Quant aux dessins, ceux-ci sont bien rythmés et soignés. Voilà donc une bonne suite.
Dans un village tibétain, Kang est un apprenti médecin passionné qui va découvrir avec surprise qu'il a une fiancée. Un début enchanteur.Se déroulant dans un village au beau milieu de la montagne tibétaine, l'histoire nous raconte comment un apprenti médecin de 13 ans découvre sa future femme. Bien plus qu'une mignonne histoire d'amour, le récit développe aussi le mode de vie des personnages ainsi que la façon de pratiquer la médecine au XVIIIe siècle. Les deux aspects de l'intrigue sont mis en avant et, bien loin de se montrer ennuyeux, développent leur propos avec une douceur aussi innocente que chaleureuse. Les personnages sont attachants de par leur franchise, leur gentillesse et leur émerveillement. Les paysages appellent quant à eux au voyage avec simplicité. Les dessins sont également chaleureux et font l'objet de beaucoup de soin et de détails. Voilà donc un bon démarrage !
M. Terumi impose un gros défi à Ikuto, tandis que Chiyuki a le droit à pas mal de surprises. Un 15e volet aussi prenant que les autres.Ikuto, Chiyuki et les personnages secondaires se démènent pour organiser le prochain défilé et faire une fois de plus leurs preuves. Ainsi, on découvre d'abord les obstacles auxquels se heurtent les protagonistes, puis on suit les premiers passages du TGV : dans les deux cas, la tension est aussi élevée que la détermination, on ressent bien les émotions qui animent les personnages et les surprises fonctionnent bien. Quant aux dessins, en plus de sublimer les créations, ils donnent beaucoup d'allure aux personnages et nous transportent auprès d'eux. On reste conquis !
En aidant son oncle à la clinique, Yuzu apprend peu à peu tout ce que cela implique d’avoir un animal de compagnie. Un troisième volume très touchant.Visuellement, ce troisième volume est aussi adorable que les autres. Que ce soient les humains ou les animaux, les personnages sont tous très mignons et expressifs. De plus, le tramage apporte de la douceur et du charme à l’ensemble qui ne manque par ailleurs pas de vitalité. Côté scénario, les choses sont parfois difficiles : on voit bien l’attachement des humains pour leurs animaux, mais les problèmes de santé sont inévitables et les conséquences sont parfois terribles. Néanmoins, cela offre une vision assez réaliste des choses et l’histoire s’avère nettement plus intéressante en abordant des sujets sensibles avec délicatesse. Les sujets sont variés, le lecteur est invité à réfléchir et les intrigues sont bien menées. Une troisième consultation à ne pas manquer !
Pickpocket, Estella a un goût certain pour la mode et a du mal à accepter ses cheveux très particuliers. Des chapitres sans grand intérêt.On ne présente plus Cruella, une vilaine emblématique de Disney. Avec cet ouvrage, on espérait en apprendre plus sur le personnage mais il n'y a en réalité pas grand-chose à en attendre. Le traumatisme de la demoiselle quant aux dalmatiens est à peine évoqué et sa personnalité de « Cruella » ne fait que la hanter sans prendre vraiment forme. Au lieu de cela, on doit se contenter de ses péripéties de jeune voleuse ayant un goût prononcé pour la mode, et des rebondissements abruptes. Le scénario n'est pas folichon et les dessins, bien que stylés, manquent un peu de soin. Dommage.
En apprenant qu’il sera roi, Macbeth se laisse dévorer par son ambition et décide de forcer le destin. Une adaptation bien réalisée.Adapté de la pièce de Shakespeare du même nom, Macbeth nous montre comment une prédiction fait perdre la raison à un seigneur écossais et sa femme qui mettent en scène le meurtre du roi. Suivant fidèlement l'histoire de la pièce, le récit retrace tous les évènements de l'histoire et développe bien les tourments des personnages. Les thèmes principaux (libre-arbitre, culpabilité, loyauté...) sont reconnaissables et facilement compréhensibles. De plus, le langage châtié permet de bien se plonger dans l'histoire : si l'intention est louable, elle risque néanmoins de freiner les ardeurs des plus jeunes. Cependant, les autres sauront apprécier ce choix et au contraire mieux savourer l'intrigue. Pour les dessins, le travail fourni est très correct, on se croirait en Ecosse moyenâgeuse. Une bonne adaptation.
Ruri essaye de vivre en paix mais s'attire plus ou moins involontairement les ennuis. Un 3e volet charmant.Ruri souhaite que tout le monde vive en paix, mais il y a toujours des obstacles sur sa route, le plus gros problème étant les difficultés de communication. Si on note qu'une tragédie se prépare, l'histoire aborde pour le moment la situation avec de la douceur, une certaine tension et une pointe de naïveté. Cela permet de mieux développer les personnages, leurs relations et l'univers de la série. Les dessins, tout en douceur eux aussi, ne manquent pas de vie ni d'enchantement, rehaussant ainsi le charme général. Plaisant à souhait.
Jack veut partir à la recherche de Zéro qui se trouve dans l'atelier du Père Noël. Un final assez enchanteur.S'il ne fait nul doute qu'on va avoir le droit à un happy-end, ce second volume ne ménage pas ses efforts pour se rendre divertissant et cela fonctionne. Une fois de plus, la zizanie est semée à Noël, mais les choses ne se déroulent pas comme dans la série mère. Cette suite / réinterprétation de l'histoire est loin d'être déplaisante, elle est réfléchie pour plaire aux fans comme aux néophytes, pleine de rythme et d'enchantement, ce que les graphismes soulignent avec un charme et une vitalité indéniable. Un final réussi pour cette revisite inattendue.
Lycéenne discrète, Suzu n'ose plus chanter depuis le décès de sa mère jusqu'au jour où elle découvre le monde virtuel « U ». Une adaptation moyenne.Avec Belle, Mamoru Hosada livre une nouvelle histoire se déroulant dans notre monde mais aussi dans un univers virtuel. Dépoussiérant le conte de La belle et la bête, le scénario s'intéresse à des personnages qui souffrent dans la vie et qui tentent de trouver une échappatoire ailleurs. Grâce au triste vécu des protagonistes, l'histoire installe une certaine intensité et se révèle assez touchante. On n'échappe néanmoins pas à quelques ficelles un peu grosses et convenues, et l'histoire manque un peu d'ambition. De plus, l'adaptation est obligée d'abréger certains passages, quelques dialogues ne sont pas évidents à suivre, et les enjeux ne sont pas très clairs. Toutefois, on apprécie le charme général, les texte des chansons sont bien valorisés et la mise en page des vignettes est soignée. Une belle œuvre mais qui aurait pu faire mieux.
Aoyama et Ichigo se déclarent mutuellement leur amour. Mais la Mew Mew peut-elle aspirer au bonheur. Un 3e volet mew-vementé.Quelle bonne nouvelle : Ichigo et Aoyama s'aiment tous les deux très fort et osent enfin se l'avouer ! Évidemment, le couple est un peu cucul mais les deux jeunes gens sont très mignons et la franchise dont ils font enfin preuve fait plaisir à voir. Pour autant, l'histoire ne se contente pas de leur idylle, car la Mew Mew et ses amis n'ont pas fini leur mission, Quiche continue à semer le chaos et un nouveau personnage énigmatique fait son apparition. L'action, les mystères et les surprises sont très présents, cela rythme le scénario tout en lui conférant de la consistance et des atouts divertissants. A l'instar d'Ichigo, on n'a donc pas le temps de s'ennuyer et c'est tant mieux !
Iruma et ses amis connaissent des jours très difficiles à cause d'enseignants très spéciaux. Un 12e épisode bien marrant.Fini la rigolade pour Iruma et ses amis : des percepteurs très exigeants, des épreuves dangereuses et des professeurs mal intentionnés... Tout est fait pour mettre les jeunes gens en difficulté et cela fonctionne vraiment bien ! Néanmoins, le récit ne donne pas dans l'horreur ou le larmoyant. Au contraire, les idées sont complètement barrées et tellement énergiques que cela en devient désopilant. De plus, les personnages principaux évoluent de façon intéressante au passage, ce qui démontre l'utilité des moments déjantés. En résumé, on s'amuse autant que l'histoire avance : démoniaquement drôle !
D'aussi loin qu'elle s'en souvienne, Hinami a toujours aimé les énigmes et ce n'est pas près de s'arrêter. Un 13e volet bien entraînant.Les énigmes auxquelles se confronte Hinami sont variées : kidnapping, cambriolage, maltraitance animale... Néanmoins, les sujets ne sont pas traités de manière trop grave ou sinistre, l'idée n'est pas de traumatiser le lecteur, il s'agit de donner envie de résoudre les mystères en même temps que Hinami. Certains passages sont un peu prévisibles, mais dans l'ensemble cela fonctionne plutôt bien, le suspense est de mise et on se prend au jeu. En outre, il y a une tension sentimentale qui émane de quelques épisodes et cela s'avère très rafraîchissant. Quant aux dessins, en plus d'une mise en scène énergique, ils possèdent beaucoup de charme et varient les tenues mignonnes pour Hinami. Un bon 13e volet !
Les Tokyo Mew Mew doivent recueillir une eau très pure pour venir à bout des extraterrestres. Une suite correcte mais cucul.La mission des Tokyo Mew Mew se précise, elles doivent recueillir de l'eau pure pour neutraliser les extraterrestres et rendre leur corps normal. Dans le même temps, Ichigo s'inquiète car Aoyama a de grandes chances de découvrir sa véritable identité... Bon, on ne va pas se mentir, les rebondissements sont un peu gros et faciles, et le manque de perspicacité d'Aoyama n'est pas très crédible. Néanmoins, il y a pas mal d'action, les personnages sont déterminés et mignons, l'amour est aussi de la partie et l'histoire ne chôme pas. Grâce à cela, on oublie les défauts et on se laisse guider par le divertissement en profitant du charme des dessins. Globalement, une bonne suite.
Iruma et ses amis connaissent des jours mouvementés, aussi bien à l'école qu'en dehors. Un 11e volume bien amusant.Il n'y a pas de grosse intrigue dans ce onzième volume, mais des épisodes plutôt indépendants. Néanmoins, ce n'est pas pour autant que l'on s'ennuie ou qu'il ne se passe rien. Au contraire, les personnages se montrent plus audacieux et assument pleinement leurs sentiments, ce qui permet d'avoir des chapitres très animés. Évidemment, la magie et les démons apportent de l'action, mais il y a aussi un petit peu d'amour et, surtout, une bonne dose d'humour ! Les gags sont bien mis en scène, les histoires ne manquent ni de peps ni de variété, et les personnages sont aussi barrés qu'attachants. Quant aux dessins, ceux-ci restent soignés, dynamiques et créatifs. Un bon divertissement !
Mii peine à trouver une stratégie commerciale et Ikuto a du mal à créer un sac. Un 14e volet bien réalisé.Toute l'histoire de ce 14e volume tourne autour du sac imaginé par Ikuto : de la difficulté du travail du cuir à la complexité de la stratégie de vente, les différentes étapes de sa confection nous sont bien expliquées et enrichissent nos connaissances sur le monde de la mode. On n'échappe pas à de régulières exagérations, mais cela s'intègre bien dans le récit. Quant aux dessins, ceux-ci savent mettre en lumière les personnages autant que les produits, et les effets de style sont également très efficaces. Voilà donc un bon 14e tome qui donne envie de lire la suite.
A la clinique comme à l'école, Yuzu réalise ce que cela implique de s’occuper d'un animal. Une suite charmante et intéressante.A travers les yeux candides de Yuzu, on découvre ce que cela implique de s'occuper d'un animal : en plus d'un attachement évident comparable à un lien familial, il faut également veiller à l'éducation, la santé, l'hygiène et le bien-être des animaux... Certains sujets sont assez cruels (notamment celui sur le chien d'aveugle), mais les intrigues se veulent réalistes et nous ouvrent les yeux sur beaucoup de choses. Bien sûr, il y a également beaucoup de sentiments et ceux-ci sont exprimés de façon plutôt poignante. Quant aux dessins, ceux-ci sont très kawaï et adoucissent efficacement les récits tout en les rendant adorables. Une très bonne suite !