Shogo trouve un moyen de vaincre Byblos mais sa quête est loin d'être terminée. Moyen.Suite et fin de la bataille contre Byblos. S'en suit alors des discussions un peu longuettes sur la possible origine du pouvoir de Shogo et, surtout, un changement de décors puisque le groupe principal arrive dans une nouvelle ville. Visuellement, c'est très sympathique, on apprécie de voir de nombreuses références à Final Fantasy tels les chocobos pour ne citer qu'eux. En revanche, le scénario laisse un peu à désirer car les personnages parlent pour rien et l'aventure ne connaît pas réellement de sursaut. Peut mieux faire.
Le roi dragon force Aros à dépasser ses limites pendant que le roi est confronté à une triste vérité. Des révélations mouvementées et prenantes.Les révélations pleuvent dans ce volume ! On sait enfin toute la vérité sur Aniss, Aros comprend enfin ce qui le bloquait, Quinn Zolma avoue son désir de vengeance... Tout cela s'accompagne d'action bien rythmée et de quelques avancées significatives. Le récit progresse donc sur divers fronts et, si ce sont les dialogues qui sont le plus intéressants ici, il n'oublie pas d'assumer son rôle de divertissement. Les graphismes font honneur aux expressions des personnages et aux combats, complétant bien l'ensemble. On ne s'en lasse donc pas, bien au contraire.
Futaba tente d'affronter ses peurs, et les Voleurs Fantômes souffrent face à une projection. Toujours confus.La partie se déroulant dans le palais de Futaba ne manque ni d'action ni de révélations. Malheureusement, le reste du volume se perd ensuite et la confusion règne autant dans la narration que chez le lecteur. Ainsi, la partie avec Futaba et Medjed se termine brutalement et un voyage à Hawaï débute sans vraiment suivre de trame directrice. Le récit s'avère toujours aussi difficile à suivre à cause de sauts dans le temps et de conversations peu poussées. Bref, c'est encore un fois un volume trop chaotique que voici.
Isari se sacrifie mais transmet des informations utiles à Bezel. De l'action efficace.Que ce soit Bezel, Aros, ou bien encore Anissa, tous les personnages doivent se battre et essayer d'avancer. Cela ne s'accompagne pas toujours d'un gros bouleversement, mais quelques rebondissements notables changent légèrement la donne. De plus, quelques révélations viennent compléter le tableau pour un divertissement assez complet. Les dessins ne perdent pas en dynamisme, et conservent leur qualité générale. Globalement, ce 21e tome est divertissant et satisfaisant. A suivre donc.
Qiu Ju tend un piège à Shao Jun afin de pouvoir l'affronter et se débarrasser d'elle. Un final ouvert et moyen.Ce dernier volume clôt quelques sujets, comme les desseins de certains personnages et ce que compte faire Lisa plus tard. En revanche, le scénario peine à trouver un dénouement pour connaître une véritable issue et certains mystères subsistent. Du coup, l'histoire est assez superficielle et la fin se montre ouverte, nous laissant sur notre faim. Les graphismes sont en revanche très sympathiques, dynamiques et soignés à la fois, ils plongent bien dans l'ambiance. Un final moyen.
Soji et ses amis devinent que le vrai coupable court toujours et font un bilan de santé. Une pause longuette.Kubo arrêté, les lycéens ont encore des choses à faire car le véritable coupable des crimes court toujours. Pour autant, leur enquête ne va pas progresser car les personnages marquent une pause, le temps de vainement se faire examiner ou du profiter des évènements du lycée. Malheureusement, il ne se passe pas grand-chose d'intéressant, on n'obtient pas de révélations concrètes et l'ambiance franchement cucul qui se dégage de certains passages n'arrange rien. Bref, ce huitième volet offre une pause fade à l'histoire.
Miyako doit prendre une décision radicale concernant Suda, et le prêtre se trouve en grand danger. Toujours trop chaotique.Le cauchemar continue pour les quelques personnes qui ne sont pas devenues des monstres. Quelques bribes d'explications sur le drame actuel pointent certes le bout de leur nez, mais cela reste encore trop évasif pour bien éclaircir les choses. De plus, les allers-retours dans le temps ne facilitent pas vraiment la compréhension générale. Il n'en reste pas moins que l'ambiance est oppressante à souhait et que les scènes d'action sont assez effrayantes. Hélas, les longueurs sont de rigueur et les non-dits finissent par lasser. Dommage.
Le voyage scolaire est plein de surprises, notamment lorsque Yuma apparaît et lorsque les élèves pendant une soirée arrosée. Un septième tome très moyen.Toute la première partie de ce volume fait preuve de futilités : les personnages découvrent le dérangeant hôtel Palourde (ça vend du rêve), font les foufous lors d’une soirée arrosée (au jus de fruits, bien sûr)... Bref, il n’y a rien de palpitant et les tentatives d’humour ne fonctionnent pas du tout. On ne parlera même pas du manque de crédibilité des choses. Quant à la seconde partie, elle développe le personnage de Naoto qui a des secrets étonnants et des problèmes à résoudre. L’action reprend alors ses droits et dynamise un peu plus le récit. Néanmoins, on n’échappe pas à des longueurs et des rebondissements un peu trop gros pour convaincre. Pour ce qui est des dessins, le résultat est déjà plus sympathique mais ce n’est pas suffisant. Encore un volet trop moyen pour enthousiasmer.
La fuite de Fukawa, Komaru et Yûta est semée d'embûches et de pièges : est-il vraiment possible de quitter la ville ? Trop de longueurs.Fukawa, Komaru et Yûta perdent rapidement un membre de leur trio et les deux personnages restants vont avoir bien du mal à rester en vie. Bon, autant la minceur du scénario n'est pas si dérangeante, autant les longueurs sont pénibles car elles ralentissent le rythme général et les conversations n'apportent pas grand-chose dans l'ensemble. Du coup, l'ennui est de circonstance et, pire encore, on ne voit pas vraiment où va l'histoire et les personnages sont agaçants. Les dessins, plutôt fluides et soignés, sont corrects mais pas transcendants. Décevant.
Risa et Miyata arrivent à la clinique mais ils ne sont pas seuls sur place. Quelques révélations mais un récit toujours trop confus.Au fil des pages et des rencontres, quelques révélations voient le jour et nous éclairent un peu plus sur ce qu'il se passe réellement et le drame d'il y a 27 ans. Le tout de déroule dans une ambiance franchement angoissante avec des personnages qui sont très louches et inquiétants. Si les idées sont intéressantes et l'atmosphère glaçante, la narration reste toujours aussi confuse à force d'enchaîner des allers-retours temporels et de passer d'un groupe à l'autre. Il faut rester bien accroché pour recoller tous les morceaux et comprendre le scénario dans sa globalité. En résumé, les dessins savent nous faire peur en installant une ambiance flippante, mais le scénario créé plus de chaos que de peur chez le lecteur. Tant pis.
Isari, Leben et Bezel sont avalés par une machine qui doit éveiller le seigneur de la sagesse. Un 20e volet tout en tension.C'est l'éveil du nouveau seigneur de la sagesse qui remplit tout ce volume. L'histoire ne s'occupe donc que du groupe de Leben qui va affronter des épreuves dangereuses et faire des sacrifices pour pouvoir sauver le monde. Néanmoins, ce n’est pas une raison pour s’ennuyer, bien au contraire : il y a des mystères, de l’action, des surprises et des émotions, tout pour faire un moment fort en tension. Le scénario n’en finit pas d’étonner par sa façon d’évoluer et ce volume ne déroge pas à la règle. Quant aux dessins, ceux-ci nous font plaisir avec les décors des épreuves mais aussi avec leur vitalité et ses personnages charismatiques. Un 20e tome qui ne déçoit pas !
Suite au décès de son fils, An Lushan décide de faire honneur à sa réputation de traître. Une narration trop saccadée.Si on connaît désormais les raisons qui animent An Lushan, le récit reste malgré tout très obscur. Le scénario tente d'apporter des éclairages sur les personnages et les situations pour étoffer son propos mais, malheureusement, les nombreux allers-retours finissent par semer la confusion, on a du mal à suivre ce qu'il se passe. La noirceur de l'histoire et la violence de l'action sauvent un peu la mise mais il faut bien s'accrocher. Les graphismes ont de leur côté du style, du dynamisme et une qualité évidente. Dans l'ensemble, ce troisième volume n'est guère convaincant.
Komaru mène une vie ordinaire jusqu’au jour où elle sort de l’appartement où elle est enfermée et découvre un monde en proie à la violence. Pas très folichon.Ce titre, toujours adapté d’un des jeux de la licence Dangaronpa, se charge de faire le lien entre les deux premières séries déjà adaptées. On y suit une certaine Komaru qui se retrouve au milieu d’un conflit où des nounours sanguinaires attaquent les gens... Il faut clairement connaître l’univers de la série pour arriver à suivre quelque chose car les résumés et les explications sont bien minces. De même, les personnages secondaires devant faire le lien sont déjà connus et ne prennent pas la peine de se représenter. Néanmoins, même avec cela, la narration reste parfois difficile à suivre. A force de vouloir donner beaucoup de rythme, de rebondissements et de surprises, le scénario s’avère très saccadé et précipité. Cela rend la lecture assez difficile et les personnages n’ont pas le temps de se montrer attachants, si bien que l’ennui se pointe rapidement malgré l’action. Les dessins, un peu chargés par moments, s’avèrent quant à eux plutôt soignés et énergiques. Au final, ce premier opus n’est pas très convaincant.
Rise, Chie et Kanji évoluent dans le labyrinthe pendant que le frère de Saki se confie à ses amis. Un 6e épisode encore trop juste.Entre de l'action dans le labyrinthe et des confessions dans le monde réel, ce sixième volume a de quoi bien développer et rythmer son histoire. On constate certes que les choses avancent à bon rythme puisque l'ennemi est neutralisé, mais le reste s'avère assez ennuyeux. La plupart des récits ne volent pas très haut et manquent d'intensité, le scénario patauge un peu et peine à se relancer. De fait, l'ennui arrive à se forger une place sans grande difficulté. La narration pêche donc toujours autant, ce que les dessins - certes propres et vigoureux - ne parviennent pas à nous faire oublier. Dommage, une fois de plus.
Dans le palais de Futaba, Akira et ses camarades réalisent que la confrontation contre le shadow va être très inhabituelle. Une suite toujours très moyenne malgré l’action.Voilà un volume qui ne manque ni d'action ni de surprises. Côté action, il y a d'une part l'extraction de couleurs qui s'avère assez compliquée et, d'autre part, les sbires de l'église qui passent à l'attaque. Dans les deux cas, les personnages se donnent à fond et de scènes les plus violentes sont des condensés d'énergie. Côté surprises, il y a des révélations inattendues, notamment sur Tchié, et cela change pas mal de choses. Le scénario avance bien tout en offrant un beau spectacle, les quelques touches de couleurs donnant beaucoup d'allure à l'ensemble. Une bonne suite.
Alors que les lycéens affrontent tant bien que mal un Shadow, Kuma créé la surprise. Une suite en demi-teinte.Il s'en passe des choses dans ce tome, entre le sauvetage de Rise, l'éveil de Kuma et la découverte d'une nouvelle victime. Les surprises ne manquent pas non plus, le scénario progresse donc assez bien. En revanche, on n'échappe pas à des dialogues un peu cuculs, des rebondissements un peu gros et quelques longueurs. Tout cela obscurcit la lecture et empêche l'intrigue d'être fluide, sans parler des mystères qui ne facilitent pas les choses. Les dessins sont quant à eux soignés et efficaces. Un cinquième volet en demi-teinte donc.
Isari part en quête du héros, pendant que Leben s’apprête à connaître sa destinée. Un volet posé mais intéressant.S'il y a bien de l'action dans ce volume, l'ensemble se révèle plutôt calme. Néanmoins, il n'est pas question de s'ennuyer pour autant, et de nombreuses révélations (sous forme de visions, de rêves ou autres) viennent rythmer le récit. Grâce à elles, des personnages prennent une autre dimension et des mystères s'éclaircissent. L'histoire n'a de cesse de surprendre dans le fond comme dans la forme, c'est très appréciable. Quant aux dessins, ceux-ci sont toujours aussi efficaces, on n'est jamais déçu. Dans l'ensemble, ce 19e volume ne manque pas de rythme et convainc de par ses révélations. Un tome maîtrisé donc.
Shiro Miyata rencontre la sœur de Mina tandis que le prête décide de tout faire pour protéger la fugueuse. Le récit n’améliore pas sa clarté.Il y a un peu moins de personnages mis en avant dans ce quatrième volume. Si cela pouvait laisser espérer une intrigue plus fluide, il n’en est en fait rien. Les personnages essayent d’échapper aux habitants devenus de véritables monstres et certains ont des souvenirs terriblement douloureux, mais c’est à peu près tout ce qu’il y a à retenir. L’intrigue donne des bribes d’indices sur ce qu’il se passe mais reste particulièrement confuse à force de constamment utiliser des mystères et des non-dits. Les dessins, eux, sont en revanche bien en adéquation avec l’ambiance et sont tout à fait satisfaisants. Un quatrième tome peu engageant donc.
S’il a autrefois lutté pour rester parmi les voleurs, Aros doit aujourd’hui se battre pour ses camarades et rejoindre Romali. Une suite tout en action.Si quelques flashbacks viennent nous apporter des révélations intéressantes sur les personnages, c’est avant tout l’action qui domine dans ce tome avec des affrontements qui éclatent un peu partout, sans parler d’une grande bataille, et des conversations politiques très animées. Les enchaînements sont parfois un peu abrupts et les transitions pourraient être un peu mieux mises en évidence, mais l’ensemble se lit assez facilement malgré tout. Il faut dire que les combats sont assez bien orchestrés et dégagent beaucoup d’énergie. Les débats houleux se chargent d’apporter l’atmosphère de tension pour rendre l’ensemble plus prenant. Le scénario est efficace, les dessins aussi, on attend donc la suite !
Le vieux Fang suit la piste de Yao et va de découvertes en découvertes, toutes plus terribles les unes que les autres. Un 16e tome sombre mais très prenant.Voilà un 16e volume qui développe des sujets bien sombres : qu'il s'agisse des découvertes de Fang et Yao, la progression de la quête d'Aros ou bien du retour de Harold, le récit aborde des thèmes sombres (guerre, destruction...). Forcément, cela se ressent sur l'ambiance qui gagne en épaisseur et intensité. En outre, les révélations et l'action présentes permettent de bien faire avancer les choses tout en continuant d'enrichir le contexte général. Le scénario surprend autant qu'il captive, c'est immersif et prenant à souhait. Enfin, les dessins ne baissent pas en qualité et restent donc très sympathiques. On ne se lasse donc pas de cette aventure !
Shogo et Rei retrouvent Alus mais les aventuriers ne sont pas tirés d’affaire pour autant car Byblos compte bien les éliminer. Beaucoup d’action, certes, mais aussi des longueurs.Shogo, Rei et Alus se rejoignent et peuvent de nouveau faire équipe pour affronter Byblos qui décide quant à lui de passer aux hostilités de manière plus offensive. C’est donc de l’action qui nous attend dans ce tome et les personnages ne ménagent pas leurs efforts pour donner un spectacle mouvementé. Visuellement, c’est efficace : ça bouge dans tous les sens, l’impact des attaques est bien marqué et les sorts sont bien représentés. En revanche, on n’échappe pas à des longueurs avec des réflexions moyennement utiles et une bataille qui commence à s’éterniser. En résumé, ce septième volet est plus beau qu’intéressant, mais il y a tout de même des signes encourageants. A suivre donc.
Que ce soit Harold ou des démons, les ennemis des humains se montrent aussi belliqueux que puissants. Une suite pleine de surprises !Voilà un volume qui ne manque ni d'action ni de révélations. C'est l'action qui ouvre le bal avec des combats qui éclatent un peu partout. Les affrontements transpirent de dynamisme et de puissance, on ressent toute l'énergie des batailles et on apprécie que les conclusions de celles-ci ne soient pas convenues. Les surprises sont en effet nombreuses et permettent au récit de nous tenir en haleine. La dernière partie, plus posée, se révèle tout aussi prenante en donnant aux personnages de quoi réfléchir pour la suite et en livrant de touchantes révélations sur Isari. Voilà donc un 17e volet qui ne déçoit pas du tout !
Le roi dragon découvre qu'il a un puissant ennemi et ne se doute pas qu'Aros va lui demander de l'aide. Un 18e tome riche en surprises.Malgré les quelques combats qui ont lieu, le récit opte pour un ton plus posé où les groupes sont remaniés et où les personnages discutent beaucoup. Néanmoins, cela ne signifie pas qu'on va s'ennuyer car, au contraire, les alliances qui ont lieu sont surprenantes, tout comme les révélations qui en découlent. Le scénario s'éclaircit un peu, notamment en ce qui concerne Quinn Zolma, et ne manque pas d'idées pour continuer de s'enrichir et d'avancer. Cela est bien mené et se lit avec aisance, d'autant plus que les dessins ne manquent pas de vigueur. Un 18e opus étonnant à tous les niveaux !
La journaliste et son assistant sont priés de quitter le village par un policier, et ignorent à quel point la journée va être « spéciale ». Une suite plus fluide mais toujours un peu trop juste.Ce troisième volume se concentre un peu moins sur la nuit d'horreur et préfère mettre en avant les histoires de certains personnages. Cela ralentit certes l'action, mais au moins les choses deviennent plus claires. On comprend mieux les relations entre les villageois, ce que les étrangers font là et les propos énigmatiques de certains. Bon, le scénario global possède encore de nombreuses zones d'ombre, mais la narration devient ici nettement plus fluide et on peut donc suivre plus facilement ce qu'il se passe. La tension perd en revanche en efficacité car les choses sont un peu molles. Graphiquement, les planches sont efficaces et gèrent bien les ambiances en jouant sur les lumières. Au final, ce troisième volet s'avère plus réussi mais il y a encore du travail à faire.
Soji et ses amis identifient la prochaine personne qui risquent de se faire tuer. Une affaire un peu trop facile.Maintenant que Soji et ses amis sont rodés, ils passent rapidement à l'action. Ainsi, ils ont à peine identifié leur prochaine cible que, déjà, ils s'arrangent pour la suivre et lui venir en aide. On apprécie que tous se démènent ainsi que la dénonciation du sexisme qui empêche certains d'assumer les choses mignonnes. En revanche, l'enquête est très facile : on devine de quoi il retourne, le Shadow n'est pas une menace et finalement le suspense est le grand absent. Du coup, l'ensemble se révèle un peu fade. Dommage.
Le camping des lycéens n'est tranquille pour personne, élèves comme professeurs. L'histoire avance sans déchaîner de passion.Le séjour en pleine nature a beau être mouvementé, il n'a pas grand-chose à offrir à part du fan-service en mettant les personnages en maillot de bain. La suite permet heureusement de reprendre l'histoire principale car Midnight Channel annonce sa prochaine cible : une starlette qui retourne à Inaba dont elle est visiblement originaire... On oublie une fois de plus la subtilité, que ce soit au niveau de la narration ou du comportement des protagonistes. Néanmoins, on obtient des pistes sur le coupable et la nature de Yuma. Il y a aussi de l'action, ce qui évite de sombrer dans l'ennui. La dimension psychologique est également mise en avant, mais elle propose une histoire très classique et sans grand intérêt. Tout juste correct.
Deux frères vikings prennent part à une expédition dont le but est d’envahir l'Angleterre. Un récit musclé, surtout pour les fans.Violent, le monde des Vikings est mis à l'honneur dans Assassin's Creed : Valhalla. Ici, ce n'est pas la trame du jeu qui est reprise, mais on y retrouve le décor, l'époque et une partie des personnages secondaires. Il est clairement préférable de connaître le jeu pour en apprécier les apparitions des fortes têtes, mais les amateurs de combats sanglants sauront y trouver leur compte. L'histoire est en effet indépendante et possède son lot d'action et de réalisme. L'univers est très bien mis en scène, les images ne manquent pas d'impact (même si un peu plus de luminosité n'aurait pas été de refus pour améliorer la visibilité de certaines pages), et les personnages dégagent beaucoup de charisme. Voilà donc un bon récit, à essayer.
Yoriko Anno et son professeur Tamon Takeuchi se rendent au village de Hanuda où de sinistres évènements vont avoir lieu sous leurs yeux. Un récit toujours aussi décousu.C’est un nouveau duo que l’on suit dans ce tome : Anno et Takeuchi. Ainsi, les autres personnages font un peu de figuration mais il n’y a pas grand-chose à en retenir. Pour en revenir au duo, celui-ci arrive à son tour sur place pour tenter de résoudre des mystères mais il va aller de déconvenue en déconvenue avant de plonger en enfer. Malheureusement, à l’instar du tome précédent, on a du mal à suivre toute l’histoire car la narration est saccadée, les non-dits et les phrases énigmatiques sont trop nombreux, les transitions sont absentes... Bref, rien n’est fait pour que cela soit fluide et la lecture en pâtit. Quant aux dessins, ceux-ci sont tout à fait satisfaisants. Une suite peu engageante.
Un peu après être apparue dans le Midnight Channel, Yukiko est portée disparue : quel sort attend la jeune femme ? Une suite moyennement lisible.Yukiko disparaît, réapparait, et enfin redisparait. On ne peut pas dire que ce genre d’introduction laisse présager le meilleur pour la lecture de ce tome et, malheureusement, nos craintes se confirment. Le suspense ne parvient pas à se forger de place digne de ce nom car on se doute du sort qui attend Yukiko. De plus, l’histoire souffre de nombreuses longueurs au cours desquelles les personnages se posent trop de questions au lieu d’agir. Du coup, cela empêche le rythme et l’atmosphère d’opérer efficacement, on s’ennuie et on ne s’immerge pas. De plus, les dessins ont beau donner du charisme aux personnages, ils sont un peu plus confus en ce qui concerne les scènes d’action. Pas génial donc.
Yusuke et ses amis sont priés de rencontrer leur nouveau conseiller scolaire et d'autres problèmes vont venir. Une narration décousue au possible.Un nouveau conseiller fait son apparition. On s'attend à ce qu'il joue un rôle particulier mais, en plus de tenir des propos étranges, il est bien vite relégué au second plan. S'en suit alors l'arrivée d'autres nouveaux personnages (notamment une camarade gymnaste et un groupe de prétendus justiciers) mais ils mettent un peu de temps à trouver leur place dans l'histoire et tout cela s'articule de façon bancale. D'ailleurs, toute l'intrigue souffre d'une narration très confuse en alternant deux périodes différentes et en négligeant les transitions. Le lecteur arrivera certes à dégrossir le principal mais ce n'est pas très confortable. Bref, un septième volet aussi moyen que les autres.