Satake quitte ses alliés qui lui ont menti à propos du sort qu'ils réservent au groupe de Leon. Un quatrième volet étonnant.L'histoire se précise en développant le passé de ses personnages principaux et en livrant quelques explications sur les créatures qui le peuplent. Il reste encore de nombreuses zones floues, mais les indices disséminés commencent à prendre forme et confirmer notre intuition. De plus, les personnages nous font des révélations importantes qui les rendent plus attachants et permettent de mieux saisir leur évolution. Les surprises sont également de la partie, tout comme l'action, ce qui finit de rendre l'ensemble prenant et intéressant, sans parler du niveau de qualité des dessins. Un quatrième volet maîtrisé.
Issak explique à ses compagnons d'armes comment il a réussi à faire taire les canons ennemis. Des changements intéressants.Issak continue de s'illustrer sur le terrain et se montre plus fin stratège. Néanmoins, quelques décisions inattendues et ordres inhabituels vont changer le cours de la bataille et donner de nouvelles perspectives aux personnages. Le récit se partage donc entre action, stratégies et réflexions sur l'avenir, si bien qu'il possède du rythme, des surprises et de l'intérêt. De plus, les dessins se concentrent un peu plus sur les protagonistes via des gros plans plus nombreux. Voici donc un douzième épisode convaincant !
Yuki a les nerfs qui lâchent quand il voit Nobara mourir sous ses yeux. De l'action toujours efficace.Le drame de Shibuya se poursuit et continue de faire des victimes des deux côtés. L'action continue donc de faire rage sans jamais connaître de répits et les quelques révélations auxquelles on a le droit ne font que donner une petite tension tragique pour appuyer le tout. Cela fonctionne assez bien et, même si quelques rebondissements sont assez prévisibles, le divertissement est assuré pour qu'on ne s'ennuie jamais. On reste donc accroché à la lecture en espérant bientôt connaître le dénouement de cette sombre et sanglante bataille !
Yahya et Gosha rencontrent par hasard le père de Melon qui va vite les décevoir. Un final réussi, tout en émotion.Legoshi parviendra-t-il à stopper Melon et imposer la paix à la société ? Si cette question nous tient en haleine tout du long, le récit nous fournit également des révélations sur certains personnages, un peu d'action violente et un épilogue bien fourni. Le programme est chargé mais ne laisse rien en plan, la route des protagonistes semble assez claire et l'ensemble est très émouvant. La fausse simplicité des dialogues apporte de la finesse à l'histoire, les thèmes abordés sont bien expliqués et la tension reste vive. Quant aux dessins, ils ne faiblissent pas dans la dernière ligne droite et emploient même de sympathiques effets de mise en scène. Un bon final !
Bouddha mène la danse contre Zerofuku qui enchaîne les attaques dans le vide. Creux malgré l'action.D'un côté, Bouddha esquive, assène quelques attaques ; de l'autre, Zerofuku s'agite pour rien et pleurniche beaucoup. Voilà ce qu'il se passe pendant tout le volume : à aucun moment, le rapport des forces ne s'inverse pour établir du suspense. Du coup, c'est une succession de scènes répétitives qui a lieu sous nos yeux. Les attaques sont certes variées mais cela ne masque pas le problème et les révélations sur Bouddha n'apportent rien. Bref, un spectacle ennuyeux.
Harui échafaudage un plan pour sauver Yuri mais ce dernier la trahit car il compte mourir. Un volet palpitant !Yuri trahit ses amis dans l'espoir de mourir, Ran compte se battre pour le protéger et l'armée attaque le village : c'est donc le chaos général ! Néanmoins, le récit est très bien organisé pour nous faire vivre le conflit de toutes parts et ressentir l'horreur de la situation. De nombreux personnages perdent la vie, la tension règne en maître et l'action ne cherche pas la complaisance. De plus, la situation bascule complètement et avance de manière totalement imprévisible, ce qui renforce le suspense. Quant aux dessins, leur qualité reste indéniable et intense. Un neuvième volet au top !
Le roi-démon Clevatess décide de s'occuper d'un bébé humain afin de déterminer s'il éradiquera ou non cette espèce. Un début très impactant.Voilà une histoire qui commence de manière surprenante : son personnage principal est un roi-démon, les valeureux guerriers se font exterminer et le sort des humains repose sur un bébé. C'est alors que commence une aventure où une bête cherche des êtres capables de l'aider à s'occuper du nourrisson... Le tout se déroule dans un monde cruel, sombre et dénué de bienveillance, et avec des personnages au passé difficile. L'atmosphère générale, noire et angoissante, rajoute de l'intensité au suspense et le scénario s'avère tout à fait captivant. Les dessins sont en outre très puissants, rythmés et soignés. A noter la faible utilisation des niveaux de gris, remplacés par des hachures manuelles ou des aplats de noirs, ce qui amène un fort contraste qui renforce l'impact visuel. Un très bon démarrage !
Bojji recherche désespérément Ombre pendant que Daida conspire. Une suite efficace.D'un côté, il y a Daida qui s'assure d'obtenir et conserver le pouvoir ; de l'autre, Bojji recherche Ombre et manifesté son désir d'aventure. Deux princes, deux visions différentes, mais un seul récit qui grandit et prend de l'ampleur. Même si l'histoire est pour le moment relativement classique et que la gestion du temps n'est pas toujours bien mise en évidence, l'aventure se lit assez bien grâce à son rythme, ses personnages charismatiques et sa façon d'en dire beaucoup avec très peu de texte. Les dessins font évidemment tout le sel avec leur efficacité. Une bonne suite.
Konosuke échappe à la noyade mais a perdu tous ses souvenirs de Tsuki. Une suite envoûtante.Malgré quelques transitions saccadées, ce deuxième opus s'avère assez prenant. Les liens entre les différents personnages se précisent, les éléments fantastiques sont à la fois énigmatiques et troublants, et une certaine émotion se dégage de l'ensemble. Le scénario gagne en maturité et éveille encore un peu plus notre curiosité. Quant aux dessins, ils ont un côté hypnotique, notamment grâce aux expressions des personnages et à un bon sens de la mise en scène. Voilà donc une suite qui donne envie d'en lire encore un peu plus !
Quel soit l'âge d'une femme ou l'époque où elle se trouve, la rencontre de Ragnagna est inévitable. Malicieux.Ragnagna s'invite partout et tout le temps : de cours d'éducation sexuelle au primaire à une escapade amoureuse, en passant par une invasion de zombies, aucun moyen de lui échapper ! Chaque chapitre a sa propre époque, son personnage féminin et son récit à développer, la variété est clairement de mise mais le thème principal est toujours traité avec une bonne dose d'humour. Les épisodes sont bien pensés, développés et rythmés, le sujet est abordé avec humour et intelligence. Cette seconde vague de Ragnagna frappe là où il faut : même pas mal, on en redemande !
Momoi conduit son supérieur auprès de B-1 pour que celui-ci entende enfin la vérité. Un huitième volet tendu et intéressant.C'est avec ce huitième volume que la vérité sur la mort du père de B-1 éclate. Même si cela semble un peu inventé au dernier moment, il faut reconnaître que les révélations font mouche et apportent un nouvel éclairage sur l'histoire, à la fois sombre, étonnant et intéressant. Le scénario a plusieurs autres surprises en réserve et le face-à-face contre la police connaît des rebondissements très forts. La tension règne forcément tout du long et le résultat est vraiment happant. Une bonne lecture !
Pendant qu'un esprit malfaisant s'en prend à Senzo, les miasmes libérés par le renard créent des ravages. Sombre et prenant.La situation de Senzo s'éclaircit en même temps que le renard est en proie à un véritable conflit intérieur. D'un côté, il y a de l'action car les miasmes provoquent le chaos ; de l'autre, les révélations sur Senzo apportent un ton sombre, tragique et touchant au récit. Des problèmes de narration persistent encore, mais l'ensemble reste tout à fait lisible, l'histoire est plus limpide et dévoile ses cartes avec intelligence. Les dessins, dynamiques, sont quant à eux toujours aussi enchanteurs. Un 5e volet bien réalisé.
Après avoir dit adieu à Ariadne, Shii retrouve une personne très importante ! Une évolution stupéfiante.Shii retrouve sa mère mais ne peut s'empêcher d'éprouver un malaise sans savoir si cela est dû ou non à son amnésie. On se doute bien que les choses sont loin d'être aussi naïves qu'elles le paraissent, et le scénario se charge ici de nous le faire comprendre définitivement. On apprend ainsi le sort qu'a subi l'humanité et pourquoi, mais aussi la nature réelle de Shii et l'esquisse de son rôle à jouer dans tout cela. L'histoire fait preuve d'une grande ambition, d'un sens certain de la tragédie et d'une narration soignée, le résultat est très intéressant. Cela s'accompagne bien entendu de dessins très bien réalisés et immersifs. On troisième volume envoûtant !
Teko et Pikari s'apprêtent à terminer le lycée et leurs émotions sont à fleur de peau. Un final chaleureux et touchant.Dernière immersion dans l'histoire, Teko et Pikari s'apprêtent à terminer le lycée et voguer vers l'avenir. Néanmoins, l'intrigue ne vire pas au stress des examens et préfère se concentrer sur la relation des deux jeunes filles. Teko et Pikari font le bilan de leur amitié, s'ouvrent leur cœur et communiquent bien leurs émotions. Le scénario dégage beaucoup de sentiments, de chaleur et aussi de bienveillance, c'est un véritable moment de douceur. Idem pour les dessins qui offrent de beaux décors apaisants et des personnages débordants de charme. Une conclusion réconfortante et émouvante.
Kaname affronte un Greed trop avantagé par sa capacité de transformation. Un peu fouillis.L’action présente dans ce volume est plutôt efficace et offre des moments visuellement très soignés. Néanmoins, celle-ci ne dure pas très longtemps et le récit se pose un peu plus. Les personnages font le bilan de ce qu’ils ont appris, quelques révélations fusent et l’histoire enrichit davantage son univers. Les idées avancées ne sont pas inintéressantes mais elles souffrent d’un problème de narration qui rend la lecture difficile. Cela part un peu dans tous les sens et on ne voit pas vraiment de destination se profiler. Du coup, on a un peu de mal à s’immerger complètement et à profiter de l’intrigue. A suivre quand même.
Alors que Hina est en danger, des soldats arrivent au repaire des sorcières. Un troisième volume plein de tension.L'histoire se poursuit dans deux lieux différents : un repaire de sorcière puis une forteresse tenue par des soldats. Dans les deux cas, les sorcières sont menacées et Pilly va devoir faire des choix difficiles pour survivre. L'atmosphère générale retranscrit bien la tension grâce à une bonne mise en scène, des plans réfléchis et des personnages très expressifs. En outre, l'univers de la série continue de se développer et d'apporter de nouvelles idées, tout en ajoutant une pointe de mystère à l'ensemble. Voilà donc un troisième volume ensorcelant.
Suite au décès de sa famille, Hyeon-Su emménage dans un studio dans un immeuble qui va être envahi de monstres. Un début efficace.Carnby Kim et Youngchan Hwang nous ont déjà effrayés avec Bâtard, et ils comptent bien récidiver ici. Une fois encore, c'est un jeune homme torturé qui est le personnage principal mais la situation est différente : c'est dans un immeuble infesté de monstres que le garçon (et quelques autres habitants) va devoir survivre. Bon, l'histoire n'est pas d'une grande originalité, il faut bien se l'avouer. Néanmoins, le récit sait installer une ambiance oppressante, une tension redoutable et avancer à bon rythme. Les dessins, dynamiques et judicieusement colorés, soutiennent efficacement le scénario et nous transmettent bien les émotions des protagonistes, le côté malaisant et oppressant. Une entrée en matière bien efficace malgré son synopsis classique.
A la surprise générale, Satan se relève et s'avère encore plus difficile à vaincre. Entre surprises et consternation.D'un côté, il y a des surprises avec le déroulement du combat contre Satan et la rencontre avec les créateurs du site ETE ; de l'autre, c'est la consternation qui prime car il y a du racolage et des discussions assez navrantes, notamment sur les seins des personnages féminins. Cela gâche fortement le propos et empêche le récit de se montrer intense. De plus, il y a des longueurs qui n'arrangent rien. Enfin, les dessins ne sont pas d'une grande fluidité dans l'action. C'est donc un avant-dernier volet qui n'est pas aussi convaincant qu'il le devrait. Une déception prévisible.
Le comte de Granat ouvre les yeux sur Frieren qui fait quant à elle face à une terrible démone. Une suite bien charmante.L'aventure de Frieren et ses compagnons se poursuit avec son lot d'action, de révélations et de passages plus calmes. Ainsi, ils multiplient les rencontres et chacune d'elles est l'occasion d'en apprendre plus sur l'univers de la série, que ce soit à propos des créatures, du passé ou de l'organisation actuelle. Tout cela se fait avec une douceur certaine, mais il y a tout de même du dynamisme, de la tension et une pointe d'humour pour rendre l'ensemble très divertissant. Les dessins sont tout aussi enchanteurs et font la part belle aussi bien aux protagonistes qu'aux décors. Voilà donc un troisième volet très sympathique.
Melon se réjouit de se battre contre des léopards tandis que Legoshi est mal à l'aise face à une renarde. Un 21e tome qui crée le choc !Ce 21e tome ne laisse pas la place aux longues hésitations ni aux atermoiements : l'heure est à l'action, il faut se battre pour sauver sa peau (littéralement) et personne ne peut y échapper. On assiste alors au duel tant attendu de Legoshi et Melon, des personnages qui laissent exploser leur colère et des émeutes dans toute la ville. L'action est évidemment au centre des évènements avec une violence toujours plus forte, plus sanglante et instinctive. Le spectacle est assuré et sa noirceur déborde d’intensité. Cela n’est toutefois pas gratuit et s’accompagne de véritables changements stupéfiants pour la société dans son ensemble. L’histoire s’avère terriblement palpitante, on retient notre souffle au fil des pages et les surprises font beaucoup d’effet : la suite, que diable !
Mao Mao ne laisse personne insensible, que ce soit son père torturé par le passé ou les habitants du palais. Un huitième volet tout en émotion !La partie consacrée à la famille de Mao Mao occupe la plus grande partie de ce volume. On sait désormais pourquoi Lacan court autant après Mao Mao, quel drame a connu la mère de la jeune fille et les raisons de la colère de la demoiselle. Tout cela est très intéressant et dégage une intensité émotionnelle très forte. La tragédie décrite ne laisse donc pas insensible mais reste subtile malgré tout. La suite propose des épisodes un peu plus légers, mais non dénués d'intérêt, d'autant qu'ils amorcent déjà une nouvelle affaire. Le scénario avance avec maîtrise sur tous les fronts, les dessins sont enchanteurs, et l'ensemble ne peut que nous émouvoir !
Richard III affronte le duc de Buckingham dans la forêt, mais tous deux hésitent entre la mort et l'amour. Un volume touchant.La série porte bien son nom de « requiem » car les proches de Richard III sont amenés à mourir : le duc de Buckingham est un traître en fuite, Anne souffre de tuberculose et Edouard est menacé. A chaque fois, le souverain se retrouve confronté à un dilemme cruel et ne peut que subir un destin parsemé de douleur. En parallèle, ses ennemis fomentent un nouveau complot qui commence à revêtir une forme bien sinistre. Tout cela apporte une tension et une noirceur très efficaces, auxquelles les sentiments donnent beaucoup d'intensité. Un 16e opus palpitant.
Senri acquiert la certitude que son frère a un enfant et continue ses recherches de plus belle. Un volet étonnant.Deux révélations de taille sont à prévoir ici : la paternité de Kazuto et l'identité de l'imposteur qui se fait passer pour Trois-Yeux. Ces deux annoncent apportent une fois de plus un éclairage sur le récit et comblent bien quelques trous. Les surprises, efficaces, permettent donc de mieux comprendre ce qui anime certains personnages et c'est assez intéressant. En revanche, il y a pas mal de remplissage malgré tout et le scénario n'avance pas très vite. Quant aux dessins, ceux-ci restent toujours aussi nerveux et sympathiques. On conserve au final notre plaisir de lecture et l'envie de lire la suite.
Seiichi ouvre enfin les yeux sur sa nature et la vérité concernant le drame. Un 11e volet hypnotique.C'est avec surprise, horreur et soulagement que Seiichi prend conscience de sa responsabilité dans l'accident de Shigeru et met de façon brutale un terme à ce qui le tourmente. Aussi cohérentes qu'inattendues, ces révélations font froid dans le dos, mais témoignent également d'une profonde douleur prenant la forme de la folie. Le scénario ne cherche pas à épargner ses personnages et les prises de conscience permettent de se débarrasser d'un fardeau tout en dissipant les dernières zones d'ombre. Les dessins collent parfaitement à l'ambiance et leur beauté glaçante rend le tout assez hypnotique, il est impossible d'en décrocher le regard. Très bien !
Le printemps est l'occasion de se détendre mais aussi de participer à des tournois et d'autres activités de saison. De nouveaux épisodes divertissants.Se déroulant au printemps, les épisodes de ce second volet ne manquent pas de soleil. Cela commence avec un hanami mouvementé, avant de poursuivre avec un championnat et d'autres activités d'extérieur. Évidemment, chaque situation vire au n'importe quoi car les personnages ne font jamais rien de normal, et les gags fusent dans tous les sens. L'univers de la série est détourné, allégé et enrichi avec humour et cela fonctionne plutôt bien. Bon, il est vrai que cela n'est pas très inspiré, n'apporte pas grand-chose à la série principale et que le format strip manque de souplesse, mais l'ensemble reste assez sympathique à suivre. Les fans les plus férus apprécieront.
Sourd, muet et chétif, le prince Bojji rêve de devenir le meilleur roi du monde et une ombre va l'y aider. Etonnant.Le personnage principal n'a pas l'air gâté par la vie : sourd, muet, chétif et même très naïf, Bojji est malgré tout un prince et peut se permettre de rêver du trône. Néanmoins, en plus de sa santé fragile, le garçon est entouré par des gens malhonnêtes et ne jouit pas d'une grande popularité. Bref, ce n'est pas gagné. Heureusement, la gentillesse et la détresse du garçon le rendent très attachant et sa force de caractère donne envie de le suivre. Il y a également quelques surprises à prévoir, le scénario étant assez imprévisible. Ce n'est certes qu'un début, mais tout cela se révèle assez prometteur et ne manque pas de charme. Quant aux dessins, ceux-ci ne sont pas très gracieux mais ils sont efficaces et énergiques. Un bon début !
Shiva a remporté laborieusement la victoire, et Zeus va trouver Bouddha pour être le prochain combattant. Un peu longuet.Le duel Shiva-Raiden étant terminé, on s'attend à connaître les noms de deux prochains combattants. Rapidement, on apprend qu'il s'agit de Bouddha et Bishamon, qui fait son apparition, mais ce n'est pas pour autant que l'action revient. Au lieu de cela, on a le droit à des présentations des duellistes et à quelques rebondissements qui changent la donne. Les surprises sont efficaces, c'est indéniable, mais elles manquent un peu de crédibilité. De plus, les conversations s'éternisent et privilégient la provocation plutôt que l'utilité. Encore trop moyen.
Sukuna a pris le contrôle du corps de Yuji, pendant que Megumi opte pour une invocation terrible. Un volet surprenant.Décidément, le drame de Shibuya n'est pas près de s'arrêter. Néanmoins, cela n'empêche pas ce 14e volume de se montrer très divertissant avec plusieurs affrontements vigoureux. Ainsi, en plus de dessins très dynamiques, violents et impactants, il offre des révélations inattendues, des rebondissements surprenants et une ambiance particulière prenante. La tension est aussi palpable que l'action est efficace, le rythme ne baisse jamais et tout est fait pour qu'on ne s'ennuie pas. Voilà donc une fois de plus un volet sombre et spectaculaire.
Un dénommé Zalim apporte une nouvelle inquiétante avant de s'en prendre à Terio et Coco. Une suite agréable.Ce troisième volume enrichit l'histoire et la fait avancer à bon rythme. Ainsi, grâce à Zalim, on en apprend plus sur l'univers du scénario et un méchant s'impose. Cela force les personnages à réagir et fait évoluer aussi bien leurs relations que leur maîtrise de la magie. Dans le fond, il ne se passe pas tant de choses que cela, mais les petits changements qui s'opèrent ont de l'importance, la magie occupe une plus grande place et les personnages sont très mignons. Les dessins insufflent eux aussi beaucoup de charme à l'ensemble et complètent bien la douceur générale. Une bonne suite.
Nika et Shin trouvent enfin l'entrée du Cluster Five mais ne peuvent y entrer. Un 6e opus intense.Nika et Shin trouvant l'entrée du Cluster Five, le scénario pourrait développer ce sujet. Il préfère toutefois effectuer un virage et se concentrer sur un flashback où l'on voit comment Guess What est devenu ce qu'il est. Même si son récit est finalement assez classique, cela n'empêche pas les émotions d'être intenses et l'intrigue d'avoir de l'impact. L'histoire est claire et cohérente, bien menée et avec du rythme. Il faut ajouter que la mise en scène joue beaucoup sur le résultat et les ténèbres qui envahissent le jeune homme sont effrayantes à souhait. Un sixième volet bien mené.