The wize wize beasts of the Wizarding Wizdoms

Description de The wize wize beasts of the Wizarding Wizdoms

Un éminent magicien nommé Wizdoms eut l’ingéniosité, à une époque lointaine, d’inculquer à la race animale des connaissances assez précieuses pour leur permettre de se transformer en être humain. Une catégorie moderne d’êtres assoiffés d’en apprendre toujours plus vit ainsi le jour. Ces derniers construisirent alors des établissements propices pour dispenser les acquis et pour étudier. Cette bâtisse se vit donner le nom de Wizdoms comme le grand magicien d’antan. L’institution de magie a pour but d’encadrer tous les prestigieux magiciens venus de partout. L’édifice est un centre où enseignants et étudiants sont mi-humains, mi-animaux, mais avec des soucis parfois écartés de ce qui devrait les intéresser. Ainsi, certains d’entre eux cherchent à éprouver la passion ou encore à partager leurs émotions avec l’être désiré.

Critique de The wize wize beasts of the Wizarding Wizdoms

Wizdoms est un établissement réputé pour apprendre et exercer la sorcellerie. Là, toutes les espèces animales aux aspects humaines se rencontrent pour étudier, mais cherchent aussi à connaître les sentiments et la passion. Nagabe, auteur de plusieurs histoires toutes aussi intéressantes les unes que les autres, offre ce nouvel opus dans lequel des mi-hommes recherchent des sentiments affectifs et passionnants. On a droit à une mise en scène avec des thérianthropes qui éprouvent de l’amour envers d’autres races mi-animales de sexe opposé. C’est une forme de yaoi, mais avec des animaux à moitié humains. L’authenticité du concept est très louable et ne renvoie à rien qui puisse être perçu comme de la dépravation. Le fait que les personnages ne soient pas humains met juste en exergue la particularité de leur attribut et aussi le lot de dissemblance qui existe et entrave leurs sentiments. L’enceinte et l’aspect de l’institution préservent pas mal le concept et garde un trait de réalisme. Les histoires, malgré leur simplicité, sont très rebondissantes et surtout bien conduites. Parlant de la représentation, les créatures sont tout à fait identifiables et progressent dans une ambiance d’instigation propre à l’occident. De plus, le récit n’exagère en rien sur les manifestations affectives qui sont quand même très affables.