Nos meilleures vies

Description de Nos meilleures vies

La directrice d’animation de Kishi lui demande de revisiter ses layouts, elle, étant expérimenté depuis déjà 6 mois. Cependant la jeune amatrice décide plutôt de disparaître comme elle en a l'habitude. De son côté, le musicien Tamaki se sent perplexe sachant que sa salle de concert de prédilection ferme ses portes pour de bon. Au même moment, deux jeunes collégiennes vont aller prendre du bon temps à Tokyo mais l’une d’entre ne se doute pas qu'elle va y faire une rencontre qui va chambouler sa vie...

Critique de Nos meilleures vies

La transition vers le monde adulte en termes de hobbies peut parfois inquiéter ou troubler les jeunes Japonais. En voici des histoires qui semblent un peu compliquées. Kii Kana se lance ainsi sur un nouveau terrain avec cet album: ses éternels boys's love dans l’étranger du Zéphyr, l’étranger de la plage ou Qualia in the snow, cèdent maintenant place à des histoires de jeunes à la recherche d’amusement pour un long terme. Le contexte des personnages ainsi que leurs émotions reflètent parfaitement la réalité à tel point que l’on se relate facilement au récit. Aussi, le fil conducteur de l’histoire demeure captivant et les personnages très charismatiques représentent mollesse et insouciance. Néanmoins, quelques histoires relèvent de l'extravagance et certaines transitions entraînent des confusions au niveau chronologique. Côté illustration, le charme des personnages réussissent à se faire sentir mais on note cependant les dessins qui sont un peu encombrés au fil de certaines pages.