Demon slave T1

Description de Demon slave T1

Des années auparavant, d’étranges portes sont apparues brusquement dans plusieurs endroits du Japon. Ils donnent l’accès à un monde parallèle nommé Mato qui signifie la cité démon. Dans cette zone remplie de créatures obscures, pousse un petit fruit appelé « pêche » qui donne des forces extraordinaires aux personnes qui en consomment. Étant donné que le fruit ne procure des pouvoirs qu’à la gent féminine, elles se sont servies de leur puissance pour inverser le rapport de pouvoir existant entre les deux sexes. En plus, un groupe d’élite composé uniquement de femmes a été créé afin d’anéantir les créatures maléfiques. Actuellement, le jeune Yûki est un élève en année de fin de cycle secondaire. Au fond de son être, il ne supporte guère sa vie masculine et rêve de mener une existence plus intéressante. Un beau jour, pendant qu’il visite la ville, il aperçoit une énorme brume avant de se retrouver dans Mato. À ce moment, une demoiselle du groupe d’élite accourt à son aide, mais décide de faire de lui son prisonnier pour augmenter sa puissance. Yûki accepte, mais ignore que la femme le remerciera avec une très grande faveur.

Critique de Demon slave T1

Afin de venir en aide à une demoiselle qui doit combattre des créatures, Yûki est forcé d’être son prisonnier. Heureusement, de belles récompenses sont au rendez-vous pour le gratifier. L’acteur de Red Eyes Sword vient encore d’intriguer plus d’un. Bien que les femmes soient glorifiées à cause de leur puissance, il est évident que tout n’est que mensonge et illusion. En réalité, les demoiselles doivent manger un fruit avant d’avoir du pouvoir et par-dessus tout trouver un homme qui leur servira d’esclave afin de développer toutes leurs puissances. L’ennui, c’est que le prisonnier doit lécher les doigts et les bottes de sa maîtresse pour démontrer sa dévotion. En retour, sa « patronne » doit lui offrir des récompenses assez coquines. En y prêtant bien attention, les promesses n’ont pas été respectées. À chaque occasion, les jeunes filles sont à moitié habillées et se doivent d’être entreprenantes pour les hommes. Au final, le scénario est désapprouvé et manque énormément d’autodérision pour parvenir à convaincre le lecteur. L’histoire est alors très pénible à suivre. En revanche, graphiquement, les scènes d’actions sont surprenantes et les portraits des filles sont agréables à visualiser. L’ensemble est plaisant sur le plan visuel, mais le contenu est déplorable.