1949: L'Allemagne encore en ruines est coupé en deux alors que le rideau de fer de la guerre froide se baisse sur le moitié de l'Europe. L'Allemagne de l'Est et de l'Ouest deviennent d'amers rivaux, chacun voulant montrer à l'autre que son système est le meilleur. Lequel rendra le peuple le plus heureux ? Socialisme contre capitalisme, collectivisme contre individualisme, lequel triomphera ?
Eté 1756. Frédéric le Grand fait face à un inquiétant événement : La moitié de l'Europe a formé une alliance. Il lui semble que leur but est l'anéantissement de la Prusse. Par conséquent, il annexe la Saxe qui se rend quelques semaines plus tard. Mais cela n'est que le premier chapitre de ce qui va devenir la Guerre des Sept Ans ! La Prusse est complètement encerclée par ses ennemies, les plus grandes puissances continentales d'Europe. L'Angleterre et Hanovre sont ses seuls alliés. La situation de la Prusse est facile à résumer : To be or not to be. L'empire Prussien sera bientôt sous les flammes. La France a conquis le Nord de l'Allemagne. L'Autriche a envahi la Silésie. Les Hordes Russes ont franchi l'Oder, et Berlin n'est qu'à cinq jours de marche! Frédéric est implacable. Désespérément, il se précipite de front en front à l'intérieur de son triangle stratégique, parvenant seulement à arrêter un ennemi pendant qu'un autre tire profit de son absence pour avancer. Après six longues années de guerre, la Prusse semble condamnée à tomber ! Frédéric est sauvé par un miracle. La tsarine Elisabeth meurt, et son successeur a une adoration presque infinie pour Frédéric, et immédiatement propose la paix. La Suède arrive bientôt à épuisement, suivie un an plus tard par la déroute française. La Prusse est sauvée
En octobre 1740, meurt Charles VI, empereur d’Allemagne et chef de l’Etat autrichien. La succession revient à sa fille aînée, Marie-Thérèse, âgée de 23 ans. Pour autant, par droits impérial et coutumier, une femme ne peut hériter du trône impérial. Alors qu’à peine quelques années auparavant les autres Etats d’Europe avaient donné leur accord à la succession par Marie-Thérèse en ratifiant la Pragmatique Sanction, ses ennemis voient soudain l’Autriche comme une proie facile. La Bavière et la Saxe revendiquent de larges pans des domaines des Habsbourg. Soutenue par la France, la Bavière brigue même le titre impérial. Et quoi de plus facile à prendre ? L’Autriche est isolée et dirigée par une jeune femme inexpérimentée et supposée faible. Traduction fournie