Ils croient que l’amour est la réponse à tout...

Dans le film, Whatever Works , par Mélodie et Boris .

C’est pas croyable... Le facteur chance dans la vie. C’est époustouflant ! Tu entres dans le monde, par le plus complet hasard, quelque part au bord du Mississipi. Alors que je suis moi le produit de l’union de Samy et Yeta Yelnikoff dans le Bronx, des décennies plus tôt. Et par le plus astronomique des enchaînement de circonstances, nos chemins se croisent.

Dans le film, Whatever Works , par Boris et Mélodie .

C’est moi, son mari. Vous voulez vous évanouir ici ou dans le salon ?

Dans le film, Whatever Works , par Boris .

J’ai un bon cursus de jambes en l’air !

Dans le film, Whatever Works.

Deux fuyards dans le vaste, obscur, incroyablement violent, univers indifférent.

Dans le film, Whatever Works.

Écoute, laisse-moi t’enseigner quelque chose sur l’amour, naturellement il y a des exceptions à ce que je vais te dire, mais se sont les exceptions, pas la règle. L’amour, en dépit de ce qu’on peut te raconter, ne triomphe pas de tout et de toute façon ne dure pas. À la fin les aspirations romantiques de notre jeunesse se réduise à « après tout si ça marche ».

Dans le film, Whatever Works.

Vous lisez des trucs sur les massacres du Darfour ou sur des autobus scolaires qui sautent et vous dites, « Oh mon dieu, quelle horreur ! » Et puis vous tournez la page et vous finissez de manger vos œufs de poules élevées en liberté. Que pouvez-vous faire ? C’est renversant.

Dans le film, Whatever Works.

Foutez moi la paix avec vos « j’aurais dû j’aurais dû ». Comme ma mère le disait, si ma grand-mère avait des roues ça serait un tramway.

Dans le film, Whatever Works , par Boris .

L’univers se démantèle, alors pourquoi pas nous ?

Dans le film, Whatever Works , par Boris et Mélodie .