J’oublie toujours, de t’oublier.

Dans le film, Memento.

Les souvenirs sont malléables, ce sont des interprétations, rien de plus. Ils ne font pas le poids face à la réalité.

Dans le film, Memento , par Leonard Shelby .

Je sais que, quand je ferme les yeux, le monde ne s’arrête pas de tourner.

Dans le film, Memento , par Leonard Shelby .

Juste une photo... pour pas t’oublier.

Dans le film, Memento , par Leonard Shelby et Natalie .

C’est le monde à l’envers quoi. Vous, vous pouvez éventuellement savoir ce que vous allez faire, mais jamais ce que vous venez de faire.

Dans le film, Memento.

Ça craint quand même ton problème au cerveau, tu confonds la liste des course avec la liste du teinturier et tu te retrouves à bouffer ton slip au petit déjeuner.

Dans le film, Memento.

Il faut que je croie que le monde est toujours là lorsque je ferme les yeux.

Dans le film, Memento , par Leonard Shelby .

Il faut que je crois qu’il y a un monde en dehors de mon esprit, il faut que je crois que mes actes ont encore un sens même si je les oublies... Je dois croire que lorsque je ferme les yeux le monde est toujours là. Est-ce que je crois que le monde est toujours là ? Est-ce qu’il est toujours là ? Oui ! On a tous besoin de souvenir pour savoir qui on est... je suis pas différent des autres.

Dans le film, Memento , par Leonard Shelby .

Souviens toi de Samy Junkys.

Dans le film, Memento.

On ne retrouve que des détails, tous ces p’tits rien dont on parle rarement, et on revit certains moments forts même si on n’a pas vraiment envie. C’est tout ça mis ensemble qui restitue une présence. Et on prend conscience du manque, et de la haine qu’on ressent pour celui qui a tout détruit...

Dans le film, Memento , par Leonard Shelby .