- Nous fûmes toutes deux élevées par maman,
qui pour nous se priva, travailla vaillamment.
- Elle voulait de nous faire des érudites
et pour cela vendit toute sa vie des frites !Dans le film, Les Demoiselles de Rochefort , par Delphine et Yvonne .
Il ne faut pas que tu m’en veuilles
Où je vais me mettre à pleurer
Mon maquillage va couler
Et j’ai déjà la larme à l’œil !Dans le film, Les Demoiselles de Rochefort.
- [découvrant un portrait au mur] Mais c’est moi !
- Oui ma vie... Tu ne m’avais pas dit que tu posais pour les militaires !
- Les militaires ? Qu’est ce que c’est que cette histoire ? Qui a fait ce portrait ?
- Je viens de te le dire : un militaire ! Il se dit peintre et poète, tu vois le genre... Tu le connais ?
- C’est troublant cette ressemblance, tu ne trouves pas ?
- Simple coïncidence !
- Mais c’est tout à fait moi !
- Pas du tout : c’est platement figuratif. Toi tu es spirituelle mon âme !... non, c’est un portrait sans valeur, une œuvre d’imagination. Et il l’appelle « idéal féminin » en toute simplicité !
- « idéal féminin »... Comme ce type doit m’aimer puisqu’il m’a inventée ! Comment est-il ?
- Lui ? Fade, insignifiant... Ce n’est absolument pas le genre de type qu’il te faut !Dans le film, Les Demoiselles de Rochefort , par Delphine et Guillaume .
Bill : Elles n’en foutent pas lourd !
Yvonne Garnier : Vous n’êtes pas très galants avec vos dames...
Etienne : Ce ne sont pas nos dames. Enfin, presque pas...
Yvonne Garnier : Ce sont des artistes ?
Etienne : La petite blonde fait le numéro du chabavanais indien, et la rousse le numéro du chabavanais chinois.
Bill : ... C’est plus difficile !
Yvonne Garnier : [D’un ton pas convaincant] Hum... c’est intéressant...Dans le film, Les Demoiselles de Rochefort.
Je vais en perm’à Nantes !
Dans le film, Les Demoiselles de Rochefort , par Maxence .