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Prochain niveau: 2 EXP

Si tu veux me parler, envoie moi un... FAX !

Dans le film, La classe américaine , par Georges Abitbol .

- Mais pourquoi j’peux pas travailler seul ?
- Parce que t’es trop mauvais.
- Ah ben là patron vous m’avez convaincu. C’est une bonne raison.

Dans le film, La classe américaine.

Tu crois qu’tu m’impressionnes ? Moi j’sais dire allons à la plage monsieur Renard : « vamos a la playa señor Zorro. »

Dans le film, La classe américaine , par le patron du restaurant et Peter .

On l’a retrouvé assassiné un jour, il en est mort !

Dans le film, La classe américaine.

- Regarde, c’est lui, là.
- Qui, le jus de tomate ?
- Non, l’acteur !

Dans le film, La classe américaine , par Peter et Steven .

Bien ! Considère qu’on n’est plus amis, Abitbol !

Dans le film, La classe américaine , par José .

- J’en ai pour plus d’une barre de fringues sur moi. Alors, va te faire mettre !
- Tu n’es vraiment pas très sympa.

Dans le film, La classe américaine , par José et Georges Abitbol .

- Il est déjà 9 heures, là ?
- Sur mon front y a pas marqué Radio-réveil !

Dans le film, La classe américaine , par Jacques et Georges Abitbol .

Je me permet d’interrompre ce film parce qu’on se fout un peu de ma gueule, c’est du vol et du plagiat. J’aime pas trop les voleurs, et les fils de pute.

Dans le film, La classe américaine , par Orson Welles .

- C’est une devinette. Qu’est ce qui a trois bras, un seul chapeau, deux chemises et une veste, un foulard, un pistolet et quatre oreilles ?
- Hé c’est toi et...
- Mais aucun problème, c’est le Cow-Boy de Tchernobyl.

Dans le film, La classe américaine.

- Mais j’te reconnais toi, j’t’ai déjà vu quelque part ! Je suis sûr que j’te reconnais.
- Désolé mais c’est moi qui te reconnaît. J’t’ai vu le premier, toi tu m’as vu en deuxième. Vu ?
- Beh... j’t’ai vu le deuxième alors voilà.
- Perdu ! C’est aussi moi qui t’ai vu le deuxième.
- Ohh dis-donc t’es super fort !
- Mais j’suis pas super fort j’suis mieux que ça même ! J’suis surpuissant !
- Bon ben lui il va prendre la tête.

Dans le film, La classe américaine , par Dino et Franky .

- Où j'ai rencontré George ? C'est une excellente question ! À la ferme.
- La ferme ! Quelle ferme ?
- À la ferme ta gueule toi ducon, espèce de crétin !

Dans le film, La classe américaine.

- Qu’est-ce que j’apprends Franky, espèce de malhonnête ! Il paraît que t’as des propos intolérables, ou y a pas de tolérance ? Tu sais donc pas qu’c’est pas bien d’être raciste ? C’est mal, on ne doit pas faire de discrimination raciale, c’est mal. Jugez les gens sur leur religion c’est mal, sur leur couleur de leur peu, sur leurs origines sociales ou sur leur nationalité c’est mal !
- OK puisque j’vois qu’on peut pas discuter... on va faire un duel.
[« Ooooh », exclamations et bavardages dans la salle]
- Enculé de ta race !
[chacun tire un coup de feu]
- J’adore les duels inoffensifs. Et maintenant casse-toi ! La prochaine fois je m’occuperai de toi avec de vraies balles. Et ça chauffera pour ton cul sale français !
- Bah j’suis même pas français, je suis américain.
- Non t’es français, moi j’suis américain !

Dans le film, La classe américaine , par Jacques et Franky .

Non mais pour qui tu me prends, je rêve ! La fromagerie en bas de chez moi elle vendait trois choses : du fromage, des ouiches lorraines et de la bouffe chinoise... Alors toi, mec, avec tes régimes à la con, tu me fais bien marrer : t’as devant toi le spécialiste de la ouiche lorraine !

Dans le film, La classe américaine , par le patron du restaurant et Peter .

- Alors d’où tu viens toi ?
- Moi ? je suis juif !
- Ohh tu es juif toi !
- Oh oui je suis juif ! je suis même juif arabe !
- Juif arabe ?! À mon avis, juif et arabe c’est bizarre et moi j’aime pas trop les gens bizarres.
- Oh putain j’peux pas encadrer les nazis mais laisse tomber.
- Précises ta pensée.
- J’ pense que t’es un ouf, un ouf malade. En plus c’est du racisme.
- Ça c’est ton avis personnel que je suis raciste mais si tu veux savoir, j’ pense que si il y a un raciste ici c’est wat !
- Oh t’façon ça sert a rien de discuter avec toi t’a toujours raison !
- Si ça sert de discuter avec moi C’EST TOI QUI A TOUJOURS RAISON !

Dans le film, La classe américaine , par Franky et un mec au bar .

Tu fais un amalgame entre la coquetterie et la classe !

Dans le film, La classe américaine , par Georges Abitbol .

- Yep. Yep. Yep. Yep. Yep.
- Ben qu’est-ce qui te prend à dire « yep » comme ça ?
- Ben c’est pour dire « yep ».
- Ah, c’est pas banal, ça.

Dans le film, La classe américaine , par Jacques et Hugues .

Jacques : Ah, c’est une longue lettre épistolaire de mon ami Dino, qui m’appelle à la rescousse pour me demander de l’aide, pour George qui va mal.
Hugues : Qu’est-ce que ça peut te foutre qu’il aille bien ou mal, ce tâcheron ? De toute façon, j’ai jamais pu l’encadrer.
Georges Abitbol : Merci de m’appeler tâcheron ! Ça fait toujours plaisir à entendre, surtout de la part de deux pédés.

Dans le film, La classe américaine.

- Allons, vieux, même dans les grands restaurants on crache dans les plats, alors dans ce taudis, je vois pas pourquoi ils se feraient chier. Allez, je vous laisse manger, bon appétit.
- J’ai connu un mec de droite une fois, il avait dix fois plus de classe.
- Ah, encore une chose. Je vous conseille d’éviter la mousse au chocolat du patron.

Dans le film, La classe américaine , par Georges Abitbol et Hugues .

- Georges, je crois qu’il faut que nous parlions. Sur prétexte que je suis gentil les gens me prennent pour un truffons. N’empêche, nous avons à parler. Visiblement vous n’allez pas bien, laissez-moi vous aider.
- Casse-toi Jacques !
- Ah ça ! Mais vous refusez le dialogue ?!
- Seulement j’veux pas qu’on m’parle, j’veux qu’tu quittes la ville. Et t’as intérêt à t’casser avant neuf heures.
- Mais Georges rassurez-moi, vous ne seriez pas en train de me prendre pour un con des fois ?
- Si, complètement même ! Casse-toi maintenant !

Dans le film, La classe américaine , par Jacques et Georges Abitbol .

- (...) Hey, l’homme qui fait rêver les ménagères ! Moi j’les baise, les ménagères, hein ! C’est pas vrai ?
- Écoute-moi bien mon petit José, tu baises les ménagères, bien : tu dois avoir le cul qui brille ! Mais c’est pas ça qu’on appelle la classe...

Dans le film, La classe américaine , par José et Georges Abitbol .

Blablabla, j’ai les bonbons qui collent au papier.

Dans le film, La classe américaine , par Georges Abitbol .

- Ah, voilà enfin le roi de la classe ! L’homme trop bien sapé, Abitbol ! Alors comme ça tu as été élu l’homme le plus classe du monde ! Laisse-moi rire ! Style le grand playboy des fonds marins, genre qui fait rêver les ménagères. Sauf que moi je les baise, moi, les ménagères, non ? C’est pas vrai ?
- Écoute-moi bien mon petit José. Tu baises les ménagères, bien, tu dois avoir le cul qui brille. Mais c’est pas ça qu’on appelle la classe. Je te dis ça en qualité d’homme le plus classe du monde.
- Eh je t’arrête tout de suite. La classe, c’est d’être chic dans sa manière de s’habiller. Rien de tel que d’aller chez Azzedine Alaia même de s’acheter des sous-pulls chez Yohji Yamamoto !
- Excuse-moi de te dire ça mon pauvre José, mais tu confonds un peu tout. Tu fais un amalgame entre la coquetterie et la classe. Tu es fou. Tu dépenses tout ton argent dans les habits et accessoires de mode mais tu es ridicule. Enfin si ça te plait… C’est toi qui les portes. Mais moi, si tu veux mon opinion, ça fait un peu… has been.
- La vache ! Moi, j’ai l’air has been ? J’en ai pour plus d’une barre de fringues sur moi. Alors va te faire mettre !
- Tu n’es vraiment pas très sympa. Mais le train de tes injures roule sur les rails de mon indifférence. Je préfère partir plutôt que d’entendre ça plutôt que d’être sourd.
- Bien ! Considère qu’on n’est plus amis, Abitbol !

Dans le film, La classe américaine , par José et Georges Abitbol .

Monde de merde.

Dans le film, La classe américaine , par Georges Abitbol .

- Où j’ai connu Georges ? C’est une excellente question... À la ferme.
- La ferme ? Quelle ferme ?
- À la ferme ta gueule toi du con, espèce de crétin ! Qu’est ce que tu veux, nous prendre la tête là ? Pauv’ con ! Oui j’l’ai connu à la ferme, on était des cow boy, on vivait à la ferme, ça a rien d’étonnant.
- Merci, c’est très agréable. Non mais c’est vrai, je me fais engueuler devant des journalistes qu’on connaît même pas. C’est classe bravo.

Dans le film, La classe américaine , par Dino et L’ami de Dino .

J’aimerais bien que tu restes. On va manger des chips. Tu entends ? Des chips ! C’est tout ce que ça te fait quand je te dis qu’on va manger des chips ?

Dans le film, La classe américaine , par L’indien et Hugues .

Le train de tes injures roule sur les rails de mon indifférence.

Dans le film, La classe américaine , par Georges Abitbol et John Wayne .

Je préfère partir plutôt que d’entendre ça plutôt que d’être sourd !

Dans le film, La classe américaine , par Georges Abitbol et José .

Tiens regarde, les anglais ont débarqués, on va être obligés de passer par derrière. Tu sais par ce tunnel tout sombre qui sent pas très bon.

Dans le film, La classe américaine.

- Qu’est ce que tu fous avec les bras en l’air ? Je t’ai dit de les lever ? Baisse tes bras, c’est moi qui les lève !
- Ha non c’est à moi de les lever !
- Non c’est à moi de les lever, c’est moi qui décide et puis d’ailleurs arrête de faire tout comme moi. Baisse les bras et prend ton flingue au lieu d’être là à me copier.
- Mon flingue ? Avec plaisir.
- Tout compte fait je préfère garder mon flingue. Désolé. Je vais partir avec mon cheval. Vieux.
- Ok y’a pas de problèmes je vais juste le préparer pour toi.
- Nan j’ai changé d’avis TU prends le cheval et TU te casses !
- Ok.
- [Énervé] Putin je me suis mal démerdé ! Pourtant j’ai pas fait une concession !

Dans le film, La classe américaine , par Franky et Dino .

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