- L’enterrement aura lieu mardi prochain je pense.
- Mardi ! Ah non... Je ne crois pas... Sinon je serais venue avec plaisir.
- C’est gentil. J’espère au moins que le soleil sera de la fête, c’est plus gai, enfin moins triste.Dans le film, La cité de la peur , par la veuve 1 et Odile .
Attention ça va couper !
Dans le film, La cité de la peur.
- Arrêtez ! Vous essayez de gagner du temps !
- Mmmmmm... non !Dans le film, La cité de la peur.
- Commissaire ! J’reviens du camion, regardez ce qu’on a trouvé coincé dans une porte ! Un doigt !
- AAAAHHHHHHH !
- Non je déconne.Dans le film, La cité de la peur.
- Tu prends quel lit Simon ?
- ... [Il vomit sur un lit]
- Ok donc moi je prends l’autre...Dans le film, La cité de la peur , par Serge et Simon .
Je suis hyper content.
Dans le film, La cité de la peur.
Merci Émile, vous me retirez une fière chandelle du pied.
Dans le film, La cité de la peur , par Odile et Emile .
Émile, vous m’avez sauvé ma vie ! Oh, je vous dois une fière bretelle !
Dans le film, La cité de la peur , par Odile et Emile .
Tu veux mes yeux ? Parce que moi j’les mange pas !
Dans le film, La cité de la peur , par Simon .
- And I’ve got a new project for you if you’re interested...
- Aille want to popaul !
- OK. It’s called « Snow-White and the magnificient 7 ». First, they meet. Then they meet and they fight. And then at the end, they fuck. It’s unbelievable!
- A beulibobol.
- … Think about it!
- Thank aboute it ! I have in ze bilouque.Dans le film, La cité de la peur , par Rony Abitbol et Odile .
Sais-tu danser la Carioca ?
Dans le film, La cité de la peur.
- Dites, Simon, il va falloir me le vendre ce film... Trouvez des gimmicks, des phrases chocs.
- Quel genres ?
- Heu... Genre, genre... Genre des phrases chocs
- Ah.Dans le film, La cité de la peur , par Odile et Simon .
Il dit qu’il a mal au genou... Il dit qu’il voit pas le rapport.
Dans le film, La cité de la peur , par Serge .
- Mademoiselle Deray je dois vous informer que cet entretien sera filmé intégralement.
- Ça va pas être possible commissaire... Il est pété le truc. C’est Bestell il a mal mis la cassette t’à l’heure et ça a tout niqué !
- Mademoiselle Deray je dois vous informer que cet entretien sera intégralement pas filmé.Dans le film, La cité de la peur , par le commissaire Bialès et un assistant .
- Bon alors question... Qu’est ce qu’il y connaît aux femmes Rick Hunter ?
- Euhh bah je sais pas...
- Réponse : ... Rien !Dans le film, La cité de la peur , par Serge et Simon .
- Mon Dieu comme j’ai été sotte. J’ai cru que...
- Chut... Nous avons été sottes toutes les deux.Dans le film, La cité de la peur , par Odile Deray et le commissaire Bialès .
Oh si si, prenez un chewing-gum, Émile.
Dans le film, La cité de la peur , par Odile et Emile .
- J’ai faim !
- Bon qu’est ce que vous voulez ?
- Ben j’sais pas, n’importe quoi... des gencives de porc !Dans le film, La cité de la peur , par Simon et Serge .
- Ça va trancher chérie !
- Mais nan qu’est ce que tu fais il faut dire « ça va couper chérie » ! Pas « ça va trancher ».
- Ah bon ?
- Bah oui t’étais où pendant le film toi ?
- Ah mais nan parce que je fais ça a mi-temps moi ! Je suis pas un full time job !Dans le film, La cité de la peur.
- Madame je vous pisse à la raie !
- Deray, Odile Deray...Dans le film, La cité de la peur , par un journaliste et Odile .
- Je m’occupais du festival moutarde et cinéma.
- Ah ! c’est passionnant, ça. Et ça parlait de quoi?
- De moutarde et de cinéma.
- Oh ! Formidable !
- Ma première voiture, c’était une Peugeot !
- Oh, c’est formidable.
- Et un jour, mes cousins sont allés coucher chez ma grand-mère !
- Oh, c’est fabuleux !Dans le film, La cité de la peur , par Odile et le commissaire Bialès .
Meurs, pourriture communiste !
Dans le film, La cité de la peur , par Simon .
Bon, monsieur Karamazov vous conduisez, moi je passe derrière. Vous Simon vous prenez la place du mort. [Et Simon va dans le coffre à la place du cadavre]
Dans le film, La cité de la peur , par Odile et SergeSimon .
Simon, t’as un bout de pomme de terre sur la joue.
Dans le film, La cité de la peur , par Serge et Simon .
Prenez un chewing gum Emile.
Dans le film, La cité de la peur , par Odile et Emile .
On peut tromper mille fois mille personnes, non, on peut tromper une fois mille personnes, mais on ne peut pas tromper mille fois mille personnes. Non, on peut tromper une fois mille personne mais on peut pas tromper mille fois une personne. Non...
Dans le film, La cité de la peur , par Emile .
- Qu’est ce qui y’a ! Vous êtes malade en voiture ?
- Non, c’est quand je suis content je vomi, et là, là je suis super content.Dans le film, La cité de la peur , par Serge et Simon .
Le commissaire Bialès : Tu bluffes Martoni ! Il bluffe.
Serge : Pas sûr.
Simon : Si si il bluffe, ça se voit tout de suite.
Serge : Il a pas l’air de bluffer là quand même.
Le commissaire Bialès : Siiii, il bluffes là ?!
Simon : Moi je suis de l’avis de Bialès là, il bluffe. On vote ? On vote. Moi je vote et je dis il bluffe.Dans le film, La cité de la peur.
- On peut se tutoyer ? Hein c’est plus sympa.
- Ouais.
- T’es lourd.Dans le film, La cité de la peur , par Serge et Simon .
- Mais mon chien est mort par contre, alors si je pouvais dormir chez toi juste pour avoir une présence, un compagnon pour pas être seul.
- Ça fait 3 fois qu’il est mort ton chien.
- Oui mais il a beaucoup souffert !Dans le film, La cité de la peur , par Serge et la secrétaire .
- Je suis quasiment sûr que nous avons affaire à un serial killer.
- Pardon ?
- Je crois que nous avons affaire à un serial killer.
- Un quoi ?
- Un serial killer.
- Un ?
- Un serial killer. Un tueur en série.
- Ah... Un serial killer.Dans le film, La cité de la peur , par Serge et Odile .
Barrez-vous, cons de mimes !
Dans le film, La cité de la peur , par Serge .
Il ne peut plus rien nous arriver d’affreux maintenant !
Dans le film, La cité de la peur.
- Vous voulez un whisky ?
- Non, juste un doigt.
- Vous voulez pas un whisky d’abord ?Dans le film, La cité de la peur , par le commissaire Bialès et Odile .
Quelle est la différence entre une moule et un pull-over ? ... Bah un pull-over ça moule et une moule sa pue l’ovaire !
Dans le film, La cité de la peur , par le commissaire Bialès .
- Simon, vous n’avez pas de bagages ?
- Ah, ba, non ! On m’a dit de venir, pas de venir avec des bagages, pourquoi il fallait que j’en prendre ?Dans le film, La cité de la peur , par Odile et Simon .
- Parlez moi de vous plutôt.
- Odile ! Moi c’est Odile ! Pluto c’est l’ami de Mickey !
- Ah non ! Pluto c’est le chien de Mickey ! L’ami de Mickey c’est Dingo !Dans le film, La cité de la peur , par le commissaire Bialès et Odile .
- Vous êtes Odile Deray ?
- Non, je suis le Pape et j’attends ma sœur !
- ...
- C’est moi !
- Ah ! Je suis envoyé par l’agence de security.
- Et vous êtes ?
- A l’aréoport.
- Ça je sais, mais votre nom c’est quoi ?
- Ah ! Serge... Karamazov. Aucun lien je suis fils unique.Dans le film, La cité de la peur , par Serge et Odile .
- Il s’est fait coincer par la tapette géante !
- Écoutez Kara, Monsieur n’est pas une tapette, Monsieur est commissaire de police !Dans le film, La cité de la peur , par Serge et Odile .
- Pardon, du thé ?
- Volontiers, oui merci... C’est lui ?
- Non, ça c’est mon chien.
- Oh, bien sûr oui... Parlez-moi de lui, j’le connaissais assez peu finalement.
- C’était un très beau berger allemand, bien dressé, on a tous les papiers.
- Non, non, je parle de votre mari.
- Jacques... ils me l’ont massacré avec la faucille et le marteau, mais si vous l’aviez vu entier, un très bel homme, bien propre, généreux... Pardon du sucre ?
- 16... C’est amusant parce que le film dont j’m’occupe c’est l’histoire d’un type qui tue les gens à la faucille et au marteau, c’est incroyable, non ?
- Oui... Regardez, c’est son dernier cadeau, j’lui ai dit Jacques mais c’est de la folie, il faut vendre la caravane, vous savez ce qu’il m’a dit ? Il m’a dit banco.
- Oh, l’effet que ça m’a fait c’matin quand j’ai ouvert le journal et qu’jai vu qu’on parlait de mon film...
- J’l’entends encore : banco, un vrai capricorne celui-là.
- Remarquez, forcément, j’suis attachée de presse, alors qui dit attaché de presse dit presse.
- Pour ce qu’on s’en servait de cette caravane en plus.
- Mais quand j’pense qu’il a fallu un meurtre pour qu’on parle de mon film, c’est quand même hallucinant, non ? Enfin quand je dis parler, y’a un journal qui en a parlé.
- On s’en ait jamais servi de la caravane... Ah si, une fois.
- Non, deux, y’a eu deux journaux, remarquez qui aurait été en parler, j’ai personne du film... Le metteur en scène, il est à l’asile ; le producteur il est en taule ; le comédien... Ah si, j’crois qu’il est libre, j’crois qu’il a rien tourné depuis.
- Vous croyez qu’on s’en serait servi de la caravane, eh bien non, ça faisait des mois qu’elle traînait dans le garage à prendre la poussière.
- Parce que si je le fais descendre, alors là, j’fais monter la sauce, des gardes du corps, tout l’tralalala, en plus j’vois déjà les titres des journaux : la vedette de Read is Dead descend à Cannes au péril de sa vie, oh, c’est bien ça, vous avez un téléphone ?
- J’lui ai dit : « Jacques, c’est l’hermine ou la caravane », il a dit « banco ».Dans le film, La cité de la peur , par la veuve 1 et Odile .
