Après tout, l’amour est une bonne raison pour que tout se passe mal.
Dans le film, La Casa de papel , par Tokyo .
Un homme dans une situation explosif.
Dans le film, La Casa de papel , par Berlin .
- Je suis une terre malade. Pire, je suis un putain de bidon d’essence avec une allumette.
- Super j’aime les feux de joie.Dans le film, La Casa de papel , par Tokyo et Rio .
Inconsciente, capricieuse, superficielle, égoïste, comment tu te définis ?
Dans le film, La Casa de papel , par Moscou et Tokyo .
La nostalgie est une séductrice… ça nous coûte de nous débarrasser de ses vestiges parce que nous pensons que ce sont des souvenirs qui nous rappellent certains moments de bonheur mais… c’est faux !
Dans le film, La Casa de papel , par le Professeur .
- Quoi tu trouves que je ne suis pas assez bien pour ton fils ?
- Pour moi t’es même trop bien parce que tu vis ta vie comme un jeu vidéo. Fusillade, braquage, amant, aventure.
- C’est comme ça que j’aime vivre.
- Non, toi ce que t’aime c’est sauter de pierre en pierre sur des flaques d’eau. Et à chacun de tes pas il y a une pierre qui coule et t’abandonnes tes cadavres sur le bord de la route. C’est comme ça que t’aimes vivre.Dans le film, La Casa de papel , par Tokyo et Moscou .
- Comment tu trouves que je suis ?
- T’es une merveille.
- Je crois que je suis une girouette qui fait morfler tout le monde. C’est comme si je jouais mon propre rôle dans un film. Je ne sais plus qui je suis. Moi je croyais être différente mais je suis une folle qui blesse ceux qui m’entourent, qui se lasse de tout. J’apporte que du malheur aux autres, je ne m’aime pas comme je suis.Dans le film, La Casa de papel , par Tokyo et Rio .
Que l’ère du « matriarcat » commence !
Dans le film, La Casa de papel , par Nairobi .
L’espoir c’est comme les dominos, dès qu’il y en a un qui est tombé, les autres le suivent…
Dans le film, La Casa de papel , par Tokyo .
Mais mélanger amour et boulot ça ne marche jamais…
Dans le film, La Casa de papel , par Tokyo .
- C’est la première fois que je couche et que la fille est pas encore partie quand j’ouvre les yeux !
- Où est-ce que t’aurais voulu que je parte dis-moi ? Je suis coincée avec une balle dans la jambe, alors où est-ce que j’irais ? J’ai pas vraiment le choix, non ?
- Qu’est-ce qui te prends ? Pas la peine de m’agresser, je te rappelle que je t’ai sauvé la vie hein ?!
- Tu m’as sauvé la vie ? Et comment ? Comme à une juive à Auschwitz ? Quand un nazi en choisissait une dans la file et lui évitait la chambre à gaz ?
- Je ne suis pas un nazi. Je sais pas si tu te rappelles mais ils m’ont demandé de te descendre !
- Et qu’est-ce que t’as fait ? Hein ? Tu leur as dit non ? Tu leur as dit « non, pas question » ?! Non tu m’as mis une balle dans la jambe, tu m’as humilié devant tout le monde, tu m’as traîné ici, je suis bouclée, j’ai pas d’air et si jamais je veux faire mes besoins je dois utiliser un sceau ! Alors ouvre un peu les yeux, c’est vrai peut-être que t’es le meilleur des nazis mais tu restes un des leurs.Dans le film, La Casa de papel , par Denver et Mónica Gaztambide .