- Décris le nous, qu’on puisse l’imaginer, se faire une idée.
- Euh, d’accord. Eh ben euh il est pas très grand mais il est fort, il me protège, il est galant. Par exemple quand il pleut et ben il n’hésite pas à m’offrir son poncho et lui à rester trempé. On aime euh les même choses même si on est très différents, par exemple lui c’est marrant il est très très fort en informatique mais hallucinant comment il est fort. En fait c’est comme s’il m’ouvrait les yeux sur un monde que je refusais jusque là, parce que avec lui tout parait possible, envisageable. J’ai toujours envie de sortir, j’ai toujours envie d’aller vers lui même si je dois jamais tout à fait le comprendre ni tout à fait le connaitre.

Dans le film, Jusqu’à toi.

- Je venais tout le temps ici, avant.
- Pourquoi as-tu arrêté ?
- Je ne sais pas. J’ai dû oublier que ce lieu existait. Parfois, on oublie la beauté des choses qui nous entourent... À l’atterrissage, en venant, je regardais par le hublot les petites maisons alignées, les voitures, les routes, la façon dont tout est organisé. Toute cette immensité. Et je ne pensais qu’à une chose. Où est Chloé ? Quelle maison est la sienne ? Quelle voiture conduit-elle ? Que fait-elle ? Et tu es là. Juste devant moi.

Dans le film, Jusqu’à toi.

Fais pas la tronche, on dirait un cul qui pète.

Dans le film, Jusqu’à toi.

- Hey !
- Hey !
- So, what do we do now ?
- Heu, nothing.
- Nothing ?
- Yeah, that’s what couples do.
- Nothing ?
- Not a thing. But look at the bright side, we’ll get to do nothing together.

Dans le film, Jusqu’à toi , par Chloé et Jack .