Au bout du compte, est-ce que ça valait la peine ? Bon dieu comme ma vie a changé de manière irréversible. C’est le dernier jour d’été et moi je resterai à jamais dans le froid. Je reconnais que j’ai eu plus que ma part de moment intense. La plupart des gens n’ont pas la vie dont ils rêvaient. Moi, durant la mienne, j’ai éparpillé mon cœur par-ci, par-là, et il ne m’en reste pas assez pour vivre maintenant. Mais je m’efforce de sourire car je sais que mon ambition a de loin dépassé mes talents. Il n’y a plus de chevaux blancs, ni de jolies femmes devant ma porte.

Dans le film, Blow , par George Jung .

Elle se droguait comme un homme, mais faisait l’amour comme une femme.

Dans le film, Blow.

Danbury n’était pas une prison, c’était l’école du crime. J’y suis rentré avec un baccalauréat en marijuana, j’en suis sorti avec un doctorat en cocaïne.

Dans le film, Blow , par George Jung .

Que le vent te pousse toujours en avant et que le soleil illumine ton visage, que les vents du destin t’emmènent danser avec les étoiles...

Dans le film, Blow , par George Jung .

J’ai franchi une ligne imaginaire avec quelques plantes.

Dans le film, Blow , par George Jung .

Et quand tu as dit aux flics qui s’était mis à genoux pour enfiler mes bottes : « c’est tout ce que tu mérite sale enfant de putain, lui enfiler ses bottes. » c’était bien envoyé.

Dans le film, Blow , par George Jung .

Au cours de ma vie, j’ai perdu des morceaux de mon cœur ça et là. Maintenant il ne m’en reste presque plus assez pour rester en vie. Mais bon, je me force de sourire, sachant que mon ambition a bien dépassée mon talent. Il n’y a plus de chevaux blancs ou de belles filles à ma porte.

Dans le film, Blow , par George Jung et Mirtha Jung .