Femme, femme, femme… Créature faible et décevante.

Dans le film, Astérix et Obélix : Au service de sa Majesté , par Astérix .

Le vrai courage n’est pas de tuer un jeune imbécile en duel, mais d’oser regarder une femme dans les yeux et lui dire ce que l’on ressent pour elle.

Dans le film, Astérix et Obélix : Au service de sa Majesté , par Ophélia .

Je voudrais à mon tour rendre hommage à celle qui m’a inspiré tout au long de cette aventure.
Celle dont les qualités aussi nombreuses, qu’exceptionnelles ont toujours suscité chez moi l’admiration et le respect.
Celle dont la beauté rayonne d’un tel éclat qu’elle pourrait à elle seule servir de phare à tout les navires perdus dans la brume.
Celle dont les formes sont une promesse de volupté dont la bouche sensuelle appelle les baisers les plus enflammés.
Celle qui est ma joie, ma folie, mon vertige.
Ophélia ma bien-aimé, il y a trop longtemps que j’attends pour vous dire ceci : je vous aime.

Dans le film, Astérix et Obélix : Au service de sa Majesté , par Jolitorax et Ophélia .

- La Bretagne est habitée par un peuple mystérieux. Ils ont notamment une étrange coutume, qui consiste à tout arrêter à cinq heures de l’après-midi. […]
- Mais pourquoi s’arrêtent-ils ainsi, oh César ?
- Pour boire de l’eau chaude !
- De l’eau chaude ?
- C’est leur boisson préférée.

Dans le film, Astérix et Obélix : Au service de sa Majesté , par Jules César et Inconnu .