- Tu n’es pas un humain.
- Je vais te donner un petit scoop. Toi non plus, tu n’es plus tout à fait humain. Retourne dans les ténèbres, tu as fait assez de mal.
- D’abord… Il faut que je trouve le corps qui me convient, celui dans lequel je peux vivre.
- Tu veux le corps parfait ? Celui-là te déplaît ?
- Pour l’instant, ça va. Il est tout neuf et… très différent, c’est plaisant. Mais ça ne va pas durer. C’est pas celui dans lequel j’arriverai à vivre.
- Mais celui dans lequel tu vas mourir.Dans le film, Angel , par le parasite et Angel .
Trop tard. Mon armée se lèvera ! Et ce monde m’appartiendra à nouveau !
Dans le film, Angel , par Illyria .
Du chagrin humain… c’est… c’est du chagrin humain que je vois, on dirait des ordures dans ma bouche !
Dans le film, Angel , par Illyria .
Ce monde est tellement petit. Et pourtant vous vous enfermez dans des pièces encore plus exiguës.
Dans le film, Angel , par Illyria .
- Attends, je comprend pas ! C’est laquelle, ta vie ?!
- Ça dépend ! La quelle rend ta vie plus supportable ? Je peux t’inventer des milliers d’histoires, mais la tienne sera toujours la même.Dans le film, Angel , par André et Angela .
Je sais ce que c’est que d’être forcé d’être quelqu’un qu’on n’est pas, ça fait mal, mal jusqu’à l’os. On essaie d’enfouir la douleur mais le trou n’est jamais assez profond. On a beau creuser, elle ressort toujours. Comme des débris de verre qui vous poignardent à chaque respiration et qui vous blessent à l’intérieur. Il n’y a qu’un seul moyen pour faire cesser la douleur… Faire mal à quelqu’un d’autre…
Dans le film, Angel , par Angel .
Peu importe d’où nous venons, ce que nous avons fait ou enduré, nous vivons conformément à notre idéal afin de montrer au monde ce qu’un jour il pourrait être.
Dans le film, Angel , par Angel .
Los Angeles. La nuit, cette ville brille, c’est un phare. Elle attire les êtres comme des papillons. Peu importe pourquoi on y vient. Vous voulez savoir pourquoi j’y suis venu ? C’est simple, c’est à cause d’une fille…
Dans le film, Angel , par Angel .
- Qui-êtes vous ?
- Je m’appelle Doyle.
- Vous n’avez pas l’air humain…
- Alors ça, c’est pas très gentil ! Justement, il n’y a pas plus humain ! [Il éternue, se transformant en démon] Du moins, du côté de ma mère !Dans le film, Angel , par Angel et Allen Doyle .
- Doyle, je n’ai pas envie de parler de ce que je ressens, ce n’est pas le moment. Je veux trouver le type qui a tué Tina et je veux qu’il me regarde en face.
- Et après ?
- Je lui dirai ce que je ressens.Dans le film, Angel , par Angel et Allen Doyle .
- Il y a des lois, à Los Angeles.
- C’est pour ça que je suis ici.
- Mais tu es quelqu’un de bien. On ne va pas passer notre temps à se faire la guerre. Moi, par exemple, je paie mes impôts, dans les journaux, on ne parle pas de moi, et je ne fais pas de vague. En contrepartie, je suis un homme libre.
- Vraiment ?
- Hinhin.
[Angel s’approche de lui et pose le pied sur sa chaise]
- Alors tu sais voler.
[Il le pousse dans le vide]Dans le film, Angel , par Russell Winters et Angel .