
C’est mort, Darling
Date de parution : 7 mars 2018
Éditeur : Sarbacane
Illustrateur : James Albon
Scénariste : James Albon
Éditeur : Sarbacane
Illustrateur : James Albon
Scénariste : James Albon
Collection :
Série : C’est mort, Darling
Catégorie : Roman graphique - Chronique sociale
Public : 18
Isbn 9782377310869
Série : C’est mort, Darling
Catégorie : Roman graphique - Chronique sociale
Public : 18
Isbn 9782377310869

Votre bibliothèque
Votre avis sur l'album
Description de C’est mort, Darling
Rebecca, une jeune femme solitaire, se rend à la Blind Poet Gallery où elle se retrouve confrontée à un jeune homme arrogant et superficiel qui déclare que l'art est mort. Elle fait ensuite la connaissance de Rufus, un taxidermiste qui lui apprend que le jeune homme s'appelle Victor Koenig, un riche dilettante qui a toujours une cour qui le suit. Lors de leur troisième rencontre, Victor emmène Rebecca dans son univers festif, ce qui lui procure une grande joie.Critique de C’est mort, Darling
C'est mort, Darling est une chronique sociale qui aborde le thème de l'opposition entre les citadins et les provinciaux. Bien que l'histoire ait une bonne intention, elle souffre d'un découpage un peu trop simple et peine à emporter pleinement l'attention du lecteur. Cependant, le côté vif, vivant et psychédélique du crayonné est bien exécuté, ce qui donne à la bande dessinée une esthétique rétro unique. La mise en page variée avec des dominantes de bleu, jaune et rouge est agréable à l'œil et ajoute de la profondeur au récit. Malgré ses défauts, cette bande dessinée reste un choix décent pour les fans de chroniques sociales qui apprécieront également son esthétique. En résumé, C'est mort, Darling est une bande dessinée qui vaut la peine d'être lue pour sa représentation de la société et son esthétique rétro.9Note générale
10Scénario / ambiance
10Illustration / couleur
Vous devez vous connecter afin de proposer une critique.