
Tu me manques
Date de parution : 5 octobre 2018
Éditeur : Au coin du feu
Illustrateur : Domenico Carbone
Scénariste : Bruno Trilling
Coloriste : Mathilde Lebrun
Éditeur : Au coin du feu
Illustrateur : Domenico Carbone
Scénariste : Bruno Trilling
Coloriste : Mathilde Lebrun

Votre bibliothèque
Votre avis sur l'album
Description de Tu me manques
La bande dessinée 'Les Sentiers Célestes' de Carbone explore le traumatisme psychologique d'un poilu après la fin de la Première Guerre Mondiale. Mathias et Claude Corence, deux frères jumeaux, combattent ensemble dans la même unité sur la ligne de front. Malheureusement, Claude perd la vie dans un crash et Mathias rentre chez lui traumatisé et distant envers sa femme. Avant de partir pour une mission de trois mois, il révèle à sa femme un lourd secret familial. L'histoire est accrocheuse et offre une vision nouvelle du traumatisme psychologique subi par les soldats de la guerre. La partition graphique est solide, avec des scènes bien dessinées et une narration impeccable.Critique de Tu me manques
Les Sentiers Célestes est une BD qui procure une lecture intéressante sur la vie des combattants après une guerre. Le thème principal, le traumatisme psychologique, est abordé de manière réaliste et poignante. Les dialogues sont bien écrits, la mise en scène adaptée, et les séquences muettes ajoutent un sentiment poignant et profond à l'histoire. Cependant, l'explication finale peut sembler légèrement tirée par les cheveux et décevoir certains lecteurs. Par ailleurs, la partition graphique offre des dessins solides et professionnels, mais l'encrage et la colorisation peuvent tendre vers la saturation et manquer d'aération. Un recours aux marges blanches aurait été bénéfique pour une lecture plus claire. Malgré cela, Les Sentiers Célestes est une BD à lire pour découvrir une histoire touchante sur les séquelles de la guerre et ses conséquences sur les vies des combattants.8Note générale
10Scénario / ambiance
10Illustration / couleur
Vous devez vous connecter afin de proposer une critique.