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couverture bande-dessinee Taras Boulba T2

Taras Boulba T2

Date de parution : 1 novembre 2008

Éditeur : Delcourt
Collection : Histoire & Histoires
Série : Taras Boulba
Catégorie : Guerre
Public : 18
Isbn 9782756012766
extrait bande-dessinee Taras Boulba T2

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Description de Taras Boulba T2

Dans le deuxième tome de Taras Boulba, le héros charismatique se trouve au camp militaire de la Setch où il apprend qu'aucune guerre n'est prévue. Fou de déception, il demande aux badauds alentour de destituer le kochevoï et d'en élire un nouveau. Kirdiaga, l'un des hommes de l'assistance, est élu. Sous la conduite de Taras, les cosaques se lancent à l'assaut des non-catholiques, en commençant par les juifs, dans une série de massacres qui laissent glacer le sang. La bande dessinée est co-scénarisée par Jean-David Morvan et Frédérique Voulyzé, qui présentent une guerre au prétexte des plus futiles, mais avec un Taras Boulba enfin prêt à prendre les armes. Les dessins d'Igor Kordey sont dynamiques et mettent en relief la violence des scènes, avec une colorisation ocre de Wang Peng qui accentue la barbarie des combats. Malgré le thème violent exploité, la bande dessinée réussit à faire ressentir la cruauté des cosaques et la folie meurtrière qui règne chez eux.

Critique de Taras Boulba T2

Le deuxième tome de Taras Boulba est une bande dessinée admirablement réalisée qui respecte fidèlement le roman original de Nicolas Gogol. L'histoire est présentée de manière impeccable et les personnages sont bien développés. Le tempérament violent du personnage principal est enfin exploité dans ce tome, et le massacre des non-catholiques est insoutenable pour les non-initiés. Cependant, cette violence omniprésente est nécessaire pour comprendre la psychologie et les motivations des cosaques, et la bande dessinée réussit parfaitement à faire ressentir cette cruauté et cette folie meurtrière. Le trait efficace et dynamique d'Igor Kordey est parfaitement mis en valeur par le travail de colorisation de Wang Peng, qui accentue la barbarie des combats. Néanmoins, la cruauté omniprésente donne une impression de malaise qui peut être difficile à supporter pour certains lecteurs non avertis. Malgré tout, la bande dessinée est réussie dans son intention de faire ressentir la cruauté des cosaques et la folie meurtrière qui règne chez eux.
8Note générale
8Scénario / ambiance
8Illustration / couleur
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