Dies irar, dies illa...

Description de Dies irar, dies illa...

Dans Reflets d'acide T9 Dies irar, dies illa..., Wrandrall et ses coéquipiers continuent leur périple semé d'embûches. Alors qu'ils sont à la poursuite d'une clé mystérieuse dans la salle cathédrale, la dragonne les pourchasse et la porte du gouffre est scellée. Dans le même temps, le devin, Bernie et Yanosh mettent la main sur le grimoire des secrets caché dans la crypte secrète du temple d'Hessindée.

Critique de Dies irar, dies illa...

Le neuvième tome de Reflets d'acide, intitulé Dies irar, dies illa..., est une aventure rocambolesque mais qui pèche par une lenteur d'exécution de l'intrigue principale. Les nombreux rebondissements alourdissent l'histoire plutôt que de la dynamiser. Les rimes, si caractéristiques de cette série, reviennent sans cesse et finissent par agacer le lecteur. Les discussions entre les personnages, quant à elles, sont légion mais ne font avancer le récit que peu ou prou. La multiplicité des personnages peut également perturber le lecteur et ne fait que complexifier une histoire qui aurait pourtant pu être bien plus simple. Côté dessins, Fabien Dalmasso livre des planches correctes pour les personnages, mais les décors sont limités et peu travaillés. Malheureusement, cela n'arrive pas à relever la faiblesse du scénario.