La galaxie promise

Description de La galaxie promise

Dans Les Technopères T8 La galaxie promise, l'histoire se concentre sur Albino, un être virtuel qui ne peut pas sortir de l'astronef de sa troupe pan-techno. Ils explorent une planète prétendument habitable et doivent faire face à de nombreux défis, notamment en affrontant leur double le plus détestable. La bande dessinée est publiée par Les Humanoïdes Associés.

Critique de La galaxie promise

Les Technopères T8 La galaxie promise est le dernier volume de la série créée par Alessandro Jodorowsky. Cette série est connue pour sa structure narrative complexe, mais cette fois-ci, l'histoire est plutôt linéaire. Les personnages sont toujours aussi inventifs et étranges que dans les volumes précédents, cependant, Les Technopères ne sont pas l'œuvre la plus mémorable de Jodo' (l'Incal reste un indispensable). La conclusion de la série n'est pas aussi spectaculaire que l'on pourrait s'y attendre. Bien que les personnages affrontent une série d'épreuves intenses, il n'y a pas de surprises finales importantes, aucun épilogue démentiel à la hauteur de ce qui a été vu dans les volumes précédents. Cela dit, les planches sont toujours aussi magnifiques sous la plume de Fred Beltran. Les cases géantes offrent un véritable spectacle à l’œil, avec des couleurs vives et des personnages incroyablement détaillés. Les personnages ont un aspect froid et déshumanisé, mais cela est en phase avec le contexte de science-fiction de la bande dessinée. En fin de compte, Les Technopères T8 La galaxie promise est une fin correcte pour la série, bien qu'elle ne laisse pas une impression durable dans l'esprit du lecteur. Les personnages, les illustrations et l'histoire sont toujours aussi extraordinaires, mais sans une conclusion vraiment mémorable. Néanmoins, cela pourrait permettre à Jodo' et Beltran de se concentrer sur leur prochaine série, la prometteuse Megalex, réalisée en 3D. Les fans de science-fiction et de bande dessinée seront toujours ravis de plonger dans l'univers des Technopères, même dans cette dernière aventure moins surprenante.