Les secrets du Techno-Vatican

Description de Les secrets du Techno-Vatican

Dans Les technopères T6 Les secrets du Techno-Vatican, Albino, le Technopère Suprême, conduit une communauté de jeunes pan-technos vers la galaxie promise. Tout au long du chemin, ils affrontent des ouragans de plasma et des attaques pirates, mais leur plus grand défi survient lorsqu'ils se retrouvent face à des nuées d'astronefs fous qui rongent leur vaisseau. Heureusement, Albino utilise son pouvoir suprême pour pénétrer au cœur du robot cerveau et remettre de l'ordre dans ses circuits, ce qui permet à toutes les machines de former une planète géante. Mais alors qu'Albino poursuit la dictée de ses mémoires avec Tinigrifi, il ne semble rencontrer aucun obstacle et se voit de plus en plus comparer à la figure mythique d'Hercule.

Critique de Les secrets du Techno-Vatican

Alors que Les technopères T6 Les secrets du Techno-Vatican semblait promettre une aventure éreintante pour les protagonistes, les obstacles auxquels ils font face ne semblent pas suffisamment intimidants pour représenter un véritable défi. Albino, en particulier, est si puissant qu'il peut facilement surmonter chaque obstacle qui se dresse devant lui, laissant peu de place à la tension dramatique. Ce manque d'enjeu rend le récit peu intéressant, malgré la succession d'aventures insolites. De plus, les efforts d'Albino semblent se rapprocher de plus en plus de ceux de la mythologie grecque, nuançant encore cette impression de manque d'originalité. Cependant, le dessin de Zoran Janjetov et la colorisation informatique de Fred Beltran se complètent parfaitement, créant une ambiance visuelle captivante qui fait de cette bande dessinée une vraie beauté à regarder. Malheureusement, le lettrage des bulles n'est pas très facile à lire, ce qui peut être source de frustration. En somme, Les technopères T6 Les secrets du Techno-Vatican peut être un peu décevant en termes de scénario, mais sa qualité visuelle lui donne un réel potentiel pour un final en apothéose dans le huitième épisode.