La reine des Alfes noirs

Description de La reine des Alfes noirs

Louve tente de profiter du sommeil de sa mère pour s’enfuir de la maison. Elle veut coute que coute partir retrouver son père Thorgal à Bag Dadh. Elle est pourtant surprise par sa mère qui s’est réveillée alors qu’elle portait déjà ses affaires pour partir. Mais malgré les arguments d’Aaricia (le chemin long et semé d’embûches jusqu’à la cité de Bag Dadh), la jeune fille tient à partir. Accompagnée de son singe qui communique avec elle par la pensée, Louve quitte ainsi son foyer. Son singe tente aussi de la raisonner : des sortilèges de Djinns les attendent sur ce chemin difficile. Louve lui explique que son monde à elle est aussi peuplé de multiples dieux. Elle lui présente la pierre sacrée où l’arbre géant d’Yggdrasil y est gravé. C’est l’arbre d’Odin abritant les neuf royaumes, le « Destrier du Redoutable ». À sa racine, le serpent Nidhogg protège l’arbre. Le petit singe trouve le monde de Louve trop complexe, tandis que le sien, musulman, n’est dirigé que par un seul Dieu. Un nain perché sur un hérisson arrive à ce moment. Louve reconnaît très vite le petit nain, compagnon de son père, Tjahzi…

Critique de La reine des Alfes noirs

Tjahzi le nain demande à Louve de l’aider pour qu’elle sauve son peuple du joug des Alfes noirs, menés par Lolth leur reine machiavélique. Un nouvel opus faisant référence à plusieurs personnages de la saga originelle Thorgal.