La main coupée du dieu Tyr

Description de La main coupée du dieu Tyr

La fille de Thorgal avait dû affronter Raïssa, une louve maléfique, aidée d’une autre louve, Griz. Après cela, Louve s’était enfuie en passant par un mystérieux souterrain. Elle s’est retrouvée ainsi dans un monde merveilleux, où des êtres pacifistes l’accueillent. Elle y rencontre le mage Azzalepstön, le maître des lieux. Doté d’incroyables pouvoirs, l’homme montre à la petite fille une partie de son avenir. Un futur où elle tranche la gorge de son père d’un coup de couteau. Afin de conjurer ce sort, Azzalepstön passe un marché avec elle : libérer la part sauvage de la jeune fille, pour l’enfermer dans une petite fiole de verre. Cependant, en l’absence de Louve, le mage libère son alter ego sauvage, et lui propose d’aller au Royaume du Chaos afin d’aller chercher ladite main coupée du dieu Tyr. La Louve sauvage sera définitivement libre une fois accomplie cette mission. Son alter ego n’existera plus. La jeune fille s’enfonce donc dans des marécages sombres, vêtue d’une peau d’animal. C’est affamée qu’elle tombe sur une sorte de monument de pierre. Elle n’est certainement pas la première à se risquer en cet endroit pour une telle mission, constate-t-elle douloureusement. D’ailleurs, elle se rend vite compte qu’il y a d’autres êtres en ce lieu inhospitalier. Louve, de son côté, s’ennuie dans son royaume merveilleux. Aussi, imagine-t-elle un stratagème, avec la complicité du jeune Hicham, pour s’enfuir du palais et libérer d’autres doubles prisonniers de leur étui de verre…

Critique de La main coupée du dieu Tyr

C’est dans la quête de la main coupée du dieu Tyr que se lance Louve, tout comme son double sauvage. Cela se passera sur les terres de Fenrir le terrible. Un sequel plaisant, joliment dessiné, rentrant parfaitement dans la série-mère.