Plus morte que morte

Description de Plus morte que morte

Dans Les 5 terres T8 Plus morte que morte, le clan Sistre est attaqué par le clan rival Coucal. Tandis que les membres du Sistre discutent de la meilleure stratégie à adopter, le Coucal met le feu à plusieurs bâtiments appartenant au Sistre. De son côté, la princesse Keona tente d'assister au conseil des ministres après avoir passé plusieurs années en captivité, et le nouveau commissaire Shin Taku enquête sur le meurtre d'une femme battue à mort. L'intrigue est centrée sur Alissa et son clan se battant pour garder le contrôle des quartiers face au clan Coucal. L'histoire suit également d'autres intrigues comme celle des deux architectes perdues en pleine jungle et les mésaventures de Thori pour trouver un travail complémentaire et payer le médicament de son fils.

Critique de Plus morte que morte

Ce deuxième cycle de Les 5 terres, écrit par le trio Lewelyn et illustré par Didier Poli, Jérôme Lereculey et Dimitris Martinos, est toujours aussi riche et plaisant à suivre. Bien que l'intrigue semble moins intense que dans le premier cycle, l'univers du Japon féodal est magnifiquement mis en images et l'histoire reste immersive. Les scènes de combats sont vives et dynamiques, visuellement impressionnantes et réellement prenantes. Le récit se concentre sur la rivalité entre deux clans, mais les évolutions de chacun des personnages au fil des tomes sont surprenantes et merveilleusement orchestrées, donnant à chaque personnage sa profondeur et sa propre histoire. L'histoire de Thori, qui se bat pour gagner de l'argent et récupérer les médicaments pour son enfant malade, est particulièrement touchante et vient renforcer l'humanité des personnages. Les 5 terres est une série géniale qui mérite d'être lue et qui plaira à tous les fans de BD et de mangas, mais aussi aux lecteurs qui cherchent une histoire captivante avec de nombreux rebondissements. Les dessins, les couleurs et l'écriture sont tous fantastiques et se combinent pour créer une expérience de lecture hors du commun.