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couverture bande-dessinee La fin d'un rêve

La fin d'un rêve

La compagnie des Glaces – cycle 2 : Cabaret Miki, T12

Date de parution : 1 mai 2008

Éditeur : Dargaud
Illustrateur : Studio Jotim
Coloriste : Studio Jotim
Collection :
Série : La compagnie des Glaces
Catégorie : Science-Fiction
Public : 18
Isbn 9782505001355
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Description de La fin d'un rêve

Dans un futur post-apocalyptique où la Terre est recouverte de glace, l'humanité vit sous des dômes de verre reliés par un réseau de voies ferrées, sous le règne de la Compagnie des Glaces. L'adaptation en BD-feuilleton du roman d'anticipation de G.J. Arnaud se poursuit avec ce douzième tome du cycle 2, Cabaret Miki, qui clôt plusieurs fronts enchevêtrés de l'intrigue. Les lecteurs suivent les aventures de Lien Rag, dit le Voyageur, dans sa quête pour libérer le peuple de l'emprise de la Compagnie des Glaces, tout en protégeant sa famille et ses amis. Dans ce tome, il est confronté à un complot qui met en danger l'ensemble de la population et doit faire face à des choix difficiles pour sauver ce qui peut encore l'être. Cette histoire sombre et captivante couvre des thèmes tels que la rébellion contre l'oppression, la survie dans des environnements hostiles, la loyauté et le sacrifice. La fin amère de Cabaret Miki offre une conclusion réaliste à cette dystopie glacée qui ne laisse pas beaucoup de place à l'espoir.

Critique de La fin d'un rêve

Le douzième tome du cycle 2 de La Compagnie des Glaces - Cabaret Miki, adapte fidèlement le roman éponyme de G.J. Arnaud dans une bande dessinée mettant en scène des planches à la fois efficaces et réalistes, et une colorisation de qualité. Malgré cela, le scénario ne parvient pas à sortir des conventions du genre dystopique et se repose sur de nombreux clichés, ce qui le rend prévisible et peu original. De plus, la narration souffre de plusieurs incohérences et de personnages peu développés, ce qui rend difficile leur identification ou leur empathie. Les auteurs sont nombreux et cela se ressent dans l'aspect disjoint de l'ensemble. Les dessins sont impressionnants, mais manquent de profondeur et d'expression dans les personnages, ce qui nuit à la crédibilité de l'histoire et à l'engagement émotionnel des lecteurs. Bien que le tome clôt plusieurs fronts de l'intrigue, la fin est décevante et ouverte, offrant peu de satisfaction aux lecteurs. En somme, Cabaret Miki est une lecture moyenne pour les fans de la série, mais pas le meilleur point d'entrée pour les nouveaux venus.
9Note générale
6Scénario / ambiance
8Illustration / couleur
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