La Baleine Blanche des mers mortes

Description de La Baleine Blanche des mers mortes

Dans La Baleine Blanche des mers mortes, le lecteur est plongé dans un monde post-apocalyptique ravagé par la pollution humaine, qui a entrainé la disparition totale des océans. Dans cet univers dystopique, Bengale, le héros, rencontre Chrysaora, une femme mystérieuse qui communique avec les spectres de méduses. En explorant Paris, ils découvrent un groupe de survivants et rencontrent la Baleine Blanche, un spectre majestueux dont l'apparition ne laissera pas les personnages indifférents.

Critique de La Baleine Blanche des mers mortes

Malgré un univers intriguant et une esthétique remarquable, La Baleine Blanche des mers mortes manque d'un scénario solide pour soutenir l'histoire. Aurélie Wellenstein introduit un contexte fascinant avec la disparition des océans, mais ne parvient pas à l'approfondir suffisamment pour vraiment captiver le lecteur. Les personnages manquent également de développement et de profondeur, ce qui rend difficile de s'investir émotionnellement dans leur histoire. Cependant, le dessin d'Olivier G. Boiscommun est un point fort de la bande dessinée et parvient à capturer l'essence de l'apocalypse de manière efficace. En dépeignant un Paris dévasté et désert, il crée une atmosphère inquiétante qui convient parfaitement à l'histoire. Dans l'ensemble, La Baleine Blanche des mers mortes est une lecture moyenne avec un potentiel sous-exploité, mais qui vaut la peine d'être explorée pour son graphisme remarquable.