Le sanctuaire du grand ancien

Description de Le sanctuaire du grand ancien

Harry Dickson, le détective américain vivant à Baker Street, est de retour dans une aventure pleine de mystères et d'étrangetés. Dans ce tome intitulé Le Sanctuaire du Grand Ancien, Harry enquête sur une série d'événements étranges qui secouent Londres. Tout commence par le meurtre massif des passagers d'un navire, dont la cause reste inconnue. Ensuite, un archéologue disparaît mystérieusement alors qu'il travaillait sur une ancienne relique égyptienne. Enfin, un homme-poisson est aperçu sur les rives de la Tamise, semant la panique parmi les habitants de la ville. Harry Dickson et son fidèle bras droit, Tom Wills, se lancent alors sur les traces de ces phénomènes inexplicables, prêts à affronter les pires dangers pour résoudre l'enquête.

Critique de Le sanctuaire du grand ancien

La bande dessinée Harry Dickson T8 Le Sanctuaire du Grand Ancien est une aventure prenante qui plonge le lecteur dans un univers fantastique et mystérieux. Les événements s'enchaînent à un rythme soutenu, offrant un suspense haletant de bout en bout. On reconnaît aisément l'influence des œuvres de H.P. Lovecraft sur cette histoire, avec ses créatures surnaturelles et ses ancêtres mystérieux. Le scénario de Christian Vanderhaeghe, alias Nolane, est bien construit et met en scène des personnages attachants, mais il manque cependant de profondeur. Le détective Harry Dickson se montre souvent trop facile dans ses résolutions, ne laissant pas suffisamment place à l'imagination du lecteur. Le dessin de Sébastien Roman, quant à lui, est de plus en plus abouti au fil des tomes. La précision des détails est remarquable, et l'atmosphère mystérieuse qui se dégage des dessins renforce l'immersion du lecteur dans l'univers de l'histoire. En somme, Harry Dickson T8 Le Sanctuaire du Grand Ancien est une bonne lecture pour les amateurs de fantastique et de mystères, mais il lui manque peut-être un peu de profondeur pour se hisser au rang des incontournables de la bande dessinée.