Les enfants perdus

Description de Les enfants perdus

Dans Golden City T7 Les enfants perdus, nous retrouvons Harrison Banks, le PDG du plus puissant groupe pharmaceutique du monde, confronté à un commando qui a enlevé la professeur Seed et la copine de Kumiko, les orphelins qu'il a secourus dans les précédents numéros. Ensemble, les enfants lui racontent leur passé, faisant ainsi la lumière sur leurs origines. La bande dessinée s'inscrit dans un univers manichéen, avec des héros vertueux et des méchants totalement pourris. Le visuel est sans aucun doute le principal atout de la BD, avec une colorisation très travaillée même si elle peut parfois nuire à la lisibilité. L'histoire est plutôt tarabiscotée et incompréhensible dans un premier temps, mais les mystères qui s'y cachent trouvent finalement leur résolution à la fin de ce nouveau cycle.

Critique de Les enfants perdus

Golden City est une série de bande dessinée qui se caractérise par son visuel accrocheur et sa colorisation riche et variée. Mais cela ne suffit pas toujours pour compenser les faiblesses d'un scénario qui manque cruellement de profondeur et de développements. La série se positionne clairement comme la plus manichéenne de la collection Néopolis et de la BD en général, avec des personnages ultra-stéréotypés et des situations souvent invraisemblables. Néanmoins, une fois que l'on accepte ce postulat, il est possible de prendre du plaisir à suivre les aventures de Harrison Banks et de sa bande de jeunes orphelins, qui se battent contre les forces obscures pour sauver le monde. Le nouveau cycle de Golden City est une lecture agréable pour les amateurs de comics qui ne cherchent pas une histoire très complexe et qui se contentent d'un divertissement dans un univers imaginaire. En résumé, Golden City T7 Les enfants perdus s'adresse principalement aux fans de la série ou aux lecteurs qui cherchent un livre sympa pour se détendre et passer le temps.