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Prochain niveau: 2 EXP

couverture film Paris

Paris

Date de parution : 20 février 2008

Série : Paris
Catégorie : comedy
Public : 16+
extrait film Paris

Putain ils savent pas la chance qu’ils ont tout ceux-là ! Ils marchent, ils respirent, ils courent, ils s’engueulent, ils sont en retard... Ils savent pas la chance qu’ils ont ! Être juste comme ça, insouciant dans Paris...

Dans le film Paris.

- J’lui ai envoyé un texto, j’me suis fait passer pour un jeune mec.
- Tu lui as écrit quoi ?
- T’es belle j’te kiffe trop grave.

Dans le film Paris , par Roland Verneuil et Mélanie Verneuil .

Donne un peu une chance au hasard. Ta vie elle est loin d’être finie. Ça se trouve elle a même pas vraiment commencé.

Dans le film Paris , par Pierre .

Le truc qui me fait le plus triper c’est d’regarder par la fenêtre... Je regarde les autres vivre, j’me pose des questions sur eux, qui ils sont, où ils vont, tu vois ils deviennent des sortes de héros d’histoires que j’m’invente... Tu vois c’est simple...

Dans le film Paris , par Pierre .

Je vais crever. Je te le dis, et toi tu m’engueules.

Dans le film Paris , par Pierre .

Je les envie d’être en vie.

Dans le film Paris , par Pierre .

Moi parfois tu sais je suis jalouse de moi, tu vois ce que je veux dire ?
Je me dis « quelle chance j’ai d’être moi » tu peux même pas imaginer tu sais si je me vois je me dit euh... Putain elle est bien cette meuf, j’aimerais bien être comme elle ! Puis après je réalise ! Eh je me dis, mais attends, mais… mais cette meuf mais c’est moi !

Dans le film Paris.

En voyant cette fille, magnifique j’me suis dit que c’était vraiment horrible la beauté. Rajouté à la jeunesse, c’est carrément injuste, presque indécent. J’observais son visage, ses sourcils, ses yeux, sa bouche, elle avait un visage sublime. Je me suis dit mais pourquoi ? Pourquoi elle ? Pourquoi elle elle est aussi belle ? Et pourquoi les gens autour n’sont pas... ne sont pas moches, disons qu’ils sont banals, invisibles. Il y a quelque chose d’affreux... C’est vraiment dégueulasse la beauté !

Dans le film Paris , par Roland Verneuil .

Priam : Paris, j’approuve tes plans. Embarque-toi pour Sparte, j’ai confiance, je sais que tu ne les supplieras pas de faire la paix.
Paris : Je veux seulement convaincre les Grecs qu’étant donné notre immense puissance, il faut traiter avec nous.
Polydore : Moi, je les convaincrai ! Avec une centaine de vaisseaux de guerre, j’irai réduire en cendres la ville de Sparte !
Priam : Je te reconnais bien là, Polydore. Tu as toujours rêvé de guerres sans fin.

Dans le film Paris.

- Nous approchons de Sparte. C’est un pays de guerriers où l’on tient à mériter sa réputation de brave. Je me demande comment sont les femmes ?
- Ah, c’est bien là ton esprit profond !
- Mais oui, un esprit profond doit penser aux femmes. Non seulement elles donnent la vie mais elles sont cause de bien des morts. Elles dirigent le destin des hommes.
- Pas le mien en tout cas !

Dans le film Paris , par Énée et Paris .

- Hector, où dois-je aller ?
- Aux côtés de ta belle Spartiate !

Dans le film Paris , par Paris et Hector .

Voilà. Un de plus, un de moins. Une autre histoire d’amour gâchée. Pourtant je l’aimais celui-là... Quand je pense que c’est fini, que j’le reverrais plus jamais comme ça... Oui, je le verrais peut être, en ami, de temps en temps et que ce sera tellement différent. On s’présentera nos nouveaux copains-copines mutuels. On ira dîner en prétendant que ça nous touche absolument pas. Et puis un jour, on pensera de moins en moins l’un à l’autre et on s’oubliera complètement... ou presque.
Toujours la même chose pour moi : séparation, dépression, récupération par la boisson, rencontre d’un garçon, puis d’un autre polisson. Quelques parties de jambes en l’air pour oublier ce cher garçon et puis après, trop de vide... On cherche à nouveau l’amour de notre vie. On cherche un peu partout et enfin, après deux ans de désespoir et de solitude, on trouve un autre amour... Jusqu’à la prochaine fois.

Il y a un moment où on peut plus se remettre d’une autre séparation. Et que même si cette personne vous emmerde 60% du temps, eh bah, on ne peut pas vivre sans elle. Que même si il vous réveille tous les matins en vous éternuant en pleine figure, et bien on préfère ses éternuements, à tous les baisers des autres.

Dans le film Paris , par Marion .

Ne pense pas à moi, réfléchis à moi.

Dans le film Paris.

Je pouvais pas être à un seul homme pour le restant de mes jours, c’est totalement faux mais je l’ai dit quand même. Il m’a demandé si j’étais un écureuil et que je prenais les hommes pour des noisettes.

Dans le film Paris.

Ce n’est pas suffisant d’être l’amour de quelqu’un. Ça ne signifie pas que tout va bien, ça ne signifie pas que tu es l’homme de ma vie et que je suis la femme de ta vie.

Dans le film Paris , par Joanna et Paul .

La prochaine fois que je te dis « Tue cet enfoiré »... Tue cet enfoiré !

Dans le film Paris , par Charlie Wax et James Reece .

Putain ils savent pas la chance qu’ils ont tout ceux-là ! Ils marchent, ils respirent, ils courent, ils s’engueulent, ils sont en retard... Ils savent pas la chance qu’ils ont ! Être juste comme ça, insouciant dans Paris...

Dans le film Paris.

- J’lui ai envoyé un texto, j’me suis fait passer pour un jeune mec.
- Tu lui as écrit quoi ?
- T’es belle j’te kiffe trop grave.

Dans le film Paris , par Roland Verneuil et Mélanie Verneuil .

Donne un peu une chance au hasard. Ta vie elle est loin d’être finie. Ça se trouve elle a même pas vraiment commencé.

Dans le film Paris , par Pierre .

Le truc qui me fait le plus triper c’est d’regarder par la fenêtre... Je regarde les autres vivre, j’me pose des questions sur eux, qui ils sont, où ils vont, tu vois ils deviennent des sortes de héros d’histoires que j’m’invente... Tu vois c’est simple...

Dans le film Paris , par Pierre .

Je vais crever. Je te le dis, et toi tu m’engueules.

Dans le film Paris , par Pierre .

Je les envie d’être en vie.

Dans le film Paris , par Pierre .

Moi parfois tu sais je suis jalouse de moi, tu vois ce que je veux dire ?
Je me dis « quelle chance j’ai d’être moi » tu peux même pas imaginer tu sais si je me vois je me dit euh... Putain elle est bien cette meuf, j’aimerais bien être comme elle ! Puis après je réalise ! Eh je me dis, mais attends, mais… mais cette meuf mais c’est moi !

Dans le film Paris.

En voyant cette fille, magnifique j’me suis dit que c’était vraiment horrible la beauté. Rajouté à la jeunesse, c’est carrément injuste, presque indécent. J’observais son visage, ses sourcils, ses yeux, sa bouche, elle avait un visage sublime. Je me suis dit mais pourquoi ? Pourquoi elle ? Pourquoi elle elle est aussi belle ? Et pourquoi les gens autour n’sont pas... ne sont pas moches, disons qu’ils sont banals, invisibles. Il y a quelque chose d’affreux... C’est vraiment dégueulasse la beauté !

Dans le film Paris , par Roland Verneuil .

Écoute. Parfois, la vie exige un changement. Une transition. Comme les saisons. On a eu un printemps merveilleux, mais l’été est fini et nous avons manqué l’automne. Tout d’un coup, il fait froid, si froid que tout se met à geler. Notre amour s’est endormi, et la neige l’a pris par surprise. Et si tu t’endors dans la neige, tu ne sens pas la mort venir. Prends soin de toi.

Dans le film Paris.

Le temps passait, le temps filait. Tout paraissait si facile, si simple, libre, si nouveau et si unique. On allait au cinéma, on allait danser, faire des courses. On riait, tu pleurais. On nageait, on fumait, on se rasait. De temps à autre, tu criais. Sans aucune raison, ou avec raison parfois. Oui, avec raison parfois.Je t’accompagnais au conservatoire. Je révisais mes examens. J’écoutais tes exercices de chant, tes espoirs, tes désirs, ta musique. Tu écoutais la mienne. Nous étions proches. Si proches. Toujours plus proches. Nous allions au cinéma, nous allions nager. Nous riions ensemble. Tu criais. Avec une raison parfois, et parfois sans. Le temps passait, le temps filait.nJe t’accompagnais au conservatoire. Je révisais mes examens. Tu m’écoutais parler Italien, Allemand, Russe. Je révisais mes examens. Tu criais. Parfois avec raison. Le temps passait, sans raison. Tu criais. Sans raison. Je révisais mes examens. Mes examens. Mes examens. Le temps passait, tu criais. Tu criais. Tu criais. J’allais au cinéma.
Pardonne-moi Francine...

Dans le film Paris.

Ah oui j’oubliais, il a un régime très strict, il mange n’importe quoi, à n’importe quelle heure et en grande quantité et puis enlevez lui le rose du jambon, il aime pas !

Dans le film Paris , par Frollo .

Regarder ça ! une cathédral qu’on a mis plus de 20 ans à construire et l’autre con il va tout péter en 5 minutes.

Dans le film Paris.

- J’ai été à la mode moi, un jour !
- Oui, c’était un vendredi.

Dans le film Paris.

Fuck the monster.

Dans le film Paris.

- Toi et ta truie je vais vous claquer !
- Attention Frollo, ma femme n’est pas un cochon !

Dans le film Paris , par Frollo et Inconnu .

Tu veux des bulles pour voir mes boules.

Dans le film Paris , par Phoebus et une fille .

- J’aime pas la glace à la pistache, j’aime pas la pistache !
- Et les coups d’pieds au cul ? T’aime ça les coups d’pieds au cul ?

Dans le film Paris , par Quasimodo et Pizzaiolo .

- C’est quoi ton portable ?
- Un Motorola.

Dans le film Paris , par une fille et Phoebus .

Avec un couteau et un bout de ficelle.

Dans le film Paris.

Honneur au général Lamarque !

Dans le film Paris , par la foule Parisienne .

Il s’est fait sodomiser par un SDF !

Dans le film Paris , par Delphine Parisot .

Défense de crier « Vive le roi ! » !

Dans le film Paris , par un officier de la garde Parisienne .

Priam : Paris, j’approuve tes plans. Embarque-toi pour Sparte, j’ai confiance, je sais que tu ne les supplieras pas de faire la paix.
Paris : Je veux seulement convaincre les Grecs qu’étant donné notre immense puissance, il faut traiter avec nous.
Polydore : Moi, je les convaincrai ! Avec une centaine de vaisseaux de guerre, j’irai réduire en cendres la ville de Sparte !
Priam : Je te reconnais bien là, Polydore. Tu as toujours rêvé de guerres sans fin.

Dans le film Paris.

- Nous approchons de Sparte. C’est un pays de guerriers où l’on tient à mériter sa réputation de brave. Je me demande comment sont les femmes ?
- Ah, c’est bien là ton esprit profond !
- Mais oui, un esprit profond doit penser aux femmes. Non seulement elles donnent la vie mais elles sont cause de bien des morts. Elles dirigent le destin des hommes.
- Pas le mien en tout cas !

Dans le film Paris , par Énée et Paris .

- Hector, où dois-je aller ?
- Aux côtés de ta belle Spartiate !

Dans le film Paris , par Paris et Hector .
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