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couverture film Ça, chapitre 2

Ça, chapitre 2

It Chapter Two

Date de parution : 11 septembre 2019

Série : Ça
Catégorie : drame - fantastique
Public : 16+
extrait film Ça, chapitre 2

On dit que le jour ou il n’y aura plus de chèvre, les panthères finirons pas se bouffer entre elles. Quand il n’y plus d’option, plus d’issue, il faut partir...

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Ousman Badara .

Quand on coule et que l’on touche le fond y’a deux possibilité, s’allonger ou rebondir...

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Ousman Badara .

Bien sûr je pourrais être aigri de ce qui m’est arrivé. Mais c’est inutile. Il y a tant de beauté dans le monde. Parfois j’ai l’impression qu’elle me submerge, de partout en même temps, mais c’en est trop. Mon cœur se remplit comme un ballon, prêt à exploser. Et là, je comprends qu’il faut que je lâche prise, que j’arrête d’essayer sans cesse de m’y raccrocher. Et ça glisse sur moi comme de la pluie. Et je ne peux plus rien éprouver d’autre que de la gratitude pour chaque instant de mon insignifiante petite vie. Vous ne comprenez pas ce que je suis en train de vous dire n’est ce pas ? Ne vous en faites pas, un jour, vous comprendrez.

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Lester .

Dans la vie, pour attirer la réussite, on doit commencer par donner l’impression de réussir.

Dans le film Ça, chapitre 2.

C’était une de ces journées grises où il va se mettre à neiger d’une minute à l’autre, et qu’il y a comme de l’électricité dans l’air. Tu peux presque l’entendre, tu vois ? Et ce sac était là, en train de danser avec moi, comme un enfant qui m’invitait à jouer avec lui. Pendant 15 minutes. C’est là que j’ai compris qu’il y avait autre chose, au-delà de l’univers, plus loin que la vie. Je sentais cette force incroyablement bienveillante qui me disait qu’il n’y a aucune raison d’avoir peur. Jamais ! Sortie du contexte les images n’ont aucuns sens je sais mais... ça m’aide à m’en souvenir, j’ai besoin de m’en souvenir. Et parfois je me dis qu’il y a tant de beauté dans le monde que s’en est insoutenable. Et mon cœur est sur le point de s’abandonner.

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Ricky Fitts .

- Vous cherchez à perdre du poids ou vous voulez augmenter votre musculature et améliorer vos performances ?
- Je veux être beau quand je suis tout nu !

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Jim Olmeyer et Lester .

Remember those posters that said, Today is the first day of the rest of your life? Well, that’s true of every day except one. The day that you die.

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Lester .

- What’s new in the world, Dad?
- This country is going straight to hell.
- So nothing’s changed.

Dans le film Ça, chapitre 2.

- Qu’est-ce que tu fais ?
- Je filme cet oiseau mort.
- Pourquoi ?
- Parce que c’est beau.

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Angela Hayes et Ricky Fitts .

Jane est le stéréotype parfait de l’adolescente, paumée, mal dans sa peau, j’aimerais pouvoir lui dire que ça va s’arranger mais je ne veux pas lui mentir.

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Lester .

- Jane, essayes-tu de ressembler à un sac ?
- Ouais.
- Bravo, tu y réussis admirablement.

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Carolyn et Jane .

Il ne faut pas briser les rêves des idéalistes.

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Ricky Fitts .

- So, Janie, how was school ?
- It was cool...
- Just cool ?
- No, dad. It was spectacular.

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Lester et Jane .

- Jane, aujourd’hui j’ai donné ma démission ! J’ai dit à mon patron d’aller se faire foutre et je l’ai menacé de lui coller un procès aux fesses s’il me filait pas 60 000 dollars ! Passe-moi les asperges...
- Et ton père a l’air de croire qu’il s’agit d’un évènement qui mérite nos applaudissements !
- Et ta mère a l’air de penser que je devrais continuer de bosser comme un esclave pendant qu’elle garde ma bite dans un tupperware sous l’évier !

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Lester et Carolyn .

Ma femme et ma fille me considèrent toutes les deux comme un lamentable perdant, et... elles ont raison.

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Lester .

- J’ai besoin d’un père qui soit un modèle masculin, pas d’un puceau en chaleur qui s’met à mouiller son slip à chaque fois que je ramène une copine à la maison. Ça m’fout les boules... j’préférerais pas avoir de père que de tomber sur un débile pareil !
- T’aimerais que j’ten débarrasse ?
- Ouais, tu le ferais ?

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Jane et Ricky Fitts .

I will sell this house today!

Dans le film Ça, chapitre 2.

- Ce que la vente de pizza m’a appris...
- Ce que ma propre expérience m’a appris c’est que quand quelqu’un commence une phrase par : « ce que la vente de pizza m’a appris », il faut immédiatement arrêter de l’écouter.

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Prophète en livreur de pizza et Roger .

Francine, je ne suis pas sûr de pouvoir manger autant que tu me donne envie de vomir...

Dans le film Ça, chapitre 2.

- Vous roulez drôlement vite monsieur !
- Silence gros tas de graisse boursouflée !

Dans le film Ça, chapitre 2.

Tien ! Si j’inventais quelque chose : des trombones ? Des trombines ? Des trondebones ? Des trains de bine ? DES TRAINS QUI TROMPENT LES BONNES ?

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Stan Smith .

La réussite ça génère des inimitiés et ça crée des ennemis, ton succès se retourne contre toi, qu’est ce que tu vas faire ? Tu vas tuer ton succès ? Tu préférerais ne pas avoir réussi ? C’est pas compliqué soit on réussi son coup et on se fait des ennemis, ou bien on loupe son coup et on se fait quelques amis. C’est une question de choix.

Dans le film Ça, chapitre 2.

Ce n’est pas dans mes intérêts de dire ça, mais partir gagnant, c’est différent d’abandonner.

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Général Chinois et Franck Lucas .

La haine est une saloperie, la vie est trop courte pour passer son temps à avoir la haine, ça n’en vaut pas la peine...

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Danny Vinyard .

Même si la passion nous déchire, elle ne doit pas briser ce qui nous lie.

Dans le film Ça, chapitre 2.

Je crois en la mort, la destruction, le chaos et la cupidité.

Dans le film Ça, chapitre 2.

Je pense que le moment est venu de vous dire ce que j’ai appris, d’en tirer une conclusion, non ? Et bien ma conclusion c’est que la haine est une saloperie ! La vie est trop courte pour passer son temps à avoir la haine ! Ça n’en vaut pas la peine. Derek dit toujours que c’est bien de terminer un devoir par une citation, il dit que quelqu’un a déjà dû en faire une bonne, si on ne peut pas faire mieux, autant la lui emprunter carrément ! J’ai choisi celle-là et j’espère qu’elle vous plaira :

« Nous ne sommes pas ennemis, mais amis ! Nous ne devons pas être ennemis. Même si la passion nous déchire, elle ne doit pas briser l’affection qui nous lie. Les cordes sensibles de la mémoire vibreront dès qu’on les touchera, elles raisonneront au contact de ce qu’il y a de meilleur en nous. »

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Danny Vinyard .

Ok, j’connais ton genre mec ! Le méchant p’tit branleur de blanc qui s’la joue. Alors il vaut mieux que je te prévienne. T’as intérêt à longer les murs... Parce qu’en taule... C’est toi le nègre, pas moi !

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Lamont et Derek Vinyard .

- Qu’est ce que tu fais Derek voyons c’est ta famille !
- Ouais, c’est ma famille, c’est ma famille. Et tu sais quoi ? j’en ai vraiment rien à branler de toi, de ce que tu penses ou de qui que ce soit, tu ne fais pas partie de cette famille et t’en feras jamais partie.
- Mais ça n’a absolument rien avoir avec ça...
- Ah vraiment tu crois que j’ai pas vu ce que t’étais venu faire ici, tu crois que je vais rester assis en train de sourire pendant qu’un youpin essaie gentiment de se farcir ma mère ? T’y arriveras jamais Murray, tu peux aller te rhabiller, pas tant que je serais là, pas tant que je serais dans cette famille. Je découperai ton sale nez de juif shylop, et je te l’enfoncerai bien profond dans le cul avant que ça arrive. Ça vient ici pour empoisonner ma famille pendant le repas avec toutes sa juiverie et ses conneries libérales hippie pro nègre. Va te faire foutre ! Va te faire foutre ! C’est ça tire toi, connard, putain de cabaliste d’enculé de rabbin tu fous le camp de chez moi sale feuj. Tu vois ça [Il montre sa croix gammée sur son torse], ça veut dire t’es pas le bienvenu.

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Murray et Derek Vinyard .

Bon écoutez, il faut regarder la réalité en face : y’a plus de deux millions d’immigrés clandestins qui dorment peinard dans cet état ce soir. Cet état a dépensé trois milliards de dollars l’année dernière sur les fonds publiques pour ces gens qui n’ont absolument aucun droit d’être dans ce pays. Trois milliards de dollars ! Au moins 400 millions de dollars rien que pour foutre en prison toute une flopée d’immigrés, de criminels ! Qui sont seulement entrés dans ce pays parce que ces enfoirés de l’immigration ont décidé que c’était pas la peine de se fatiguer à filtrer tous les condamnés qui allaient en taule ! Tout le monde s’en fout, notre gouvernement n’en a rien à secouer... Notre politique des frontières c’est du flan... Et y’en a qui s’étonnent qu’au sud de la frontière ils continuent à se foutre de nous ? Qu’y se foutent de nos lois ! Chaque nuit c’est par milliers que ces parasites sont en train de pulluler à la frontière comme si on avait shooté dans une fourmilière ! [rires] Y’a pas de quoi rire ! C’est pas drôle ce qui est en train de se jouer ici ! J’vous parle de votre avenir et du mien ! Je vous parle d’honnêtes, d’authentiques travailleurs américains qui ne trouvent aucun travail et qui sont à la dérive parce que le gouvernement se préoccupe d’avantage des droits constitutionnels d’un ramassis d’individus même pas citoyens de ce pays ! Sur la statue de la liberté on lit « à moi les réprouvés, les affamés, les pauvres » Mais c’est les américains qui sont réprouvés, affamés et pauvres ! Et je dis tant que tout ça n’est pas réglé, il faut leur fermer le robinet ! Parce que c’est nous les perdants ! On perd notre droit à accomplir notre destinée... C’est notre liberté qu’on perd ! Pour qu’une bande d’enfoirés d’étrangers viennent parasiter et exploiter notre pays ! Et ce n’est pas quelque chose qui est en train de se passer loin d’ici nan ! C’est pas en train de se passer dans un endroit où nous ne pouvons rien ! Ça se passe chez nous ici ! En plein dans notre quartier juste dans le bâtiment derrière vous ! Archie Miller tenait cette épicerie quand on était encore gosses. Dave y a travaillé, Mike y a travaillé. Il a coulé et un enfoiré de coréen a tout racheté et il a viré tous nos gars ! Et il a fait un carton parce qu’il a engagé quarante enfoirés d’immigrés clandestins ! Chaque jour on s’enfonce un peu plus dans la merde et personne ne fait rien pour empêcher ça et ça commence sérieusement à me gonfler ! Alors regardez autour de vous... C’est plus notre quartier c’est un champs de bataille ! On est au cœur d’un champ de bataille ce soir ! Décidez-vous ! Vous allez rester à glander sur la ligne de touche ? Sagement à attendre en regardant notre patrie se faire violer ? Est-ce qu’on va relever le défi et se décider à agir ? Alors en avant c’est parti !

Dans le film Ça, chapitre 2 , par Derek Vinyard .
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