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couverture comics Punisher : Soviet

Punisher : Soviet

Date de parution : 12 août 2020

Éditeur : Panini Comics
Collection : 100 % Marvel
Série : Punisher : Soviet
Catégorie : heroes - Policier
Public : 18
Isbn 9782809491043

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Description de Punisher : Soviet

Dans une de ses planques à New York, Prochenko, un mafieux russe dont l’influence n’a cessé de grandir. Et pour cause, il n’a pas eu peur comme les autres de se salir les mains. C’est de cette manière qu’il s’est approprié une bonne partie du territoire des Italiens, des dominicains et tutti quanti... Franck Castle ne cesse de lui causer des problèmes depuis cinq années. Aller abattre une dizaine des hommes de Prochenko à Moscou ou à Vladivostok n’était en aucun cas un souci. Le problème ce fut le fait de s’en prendre à l’un de ses navires à Sovetskaïa et de le faire couler. S’il s’était juste contenté de traverser tout le pacifique pour éliminer son principal fournisseur ou de le faire tomber d’un transporteur à 30.000 pieds d’altitude, cela n’aurait causé aucun problème. Mais, brûler en même temps une demi-tonne de drogue, c’en était trop. Pendant cinq ans il lui a mené la vie dure. Depuis, Prochenko met les bouchées doubles pour blanchir son argent. Il a tout l’air de quelqu’un voulant se retirer des affaires, avec trois garçons élevés à la dure pour lui succéder. Toutefois, c’était mal connaitre le Punisher. Le voilà donc avec quatre cadavres de Russes à ses côtés. Du travail de pro, tous éliminé avec le même type de munitions, du calibre 7,62. Presque toutes les balles ont atteint leurs objectifs. Une rafale pour chaque personne, et des tirs plus courts pour les fuyards avant de les achever par la tête. Le problème c’est que cette fois-ci ce n’était pas Castle qui s’était occupé du secteur.

Critique de Punisher : Soviet

Le Punisher éliminant les pires ordures est un classique. Il s’agit d’ailleurs de sa marque de fabrique. Quand le scénario est écrit par Garth Ennis, on obtient un classique. Ce nouvel épisode singulier le confirme d’ailleurs, puisque le Punisher travaille cette fois-ci en binôme ! De nombreux fans vous diront que le Punisher n’est jamais autant au sommet de sa forme que lorsque le scénario est écrit par Garth Ennis. Sans vouloir faire le tour des récits extraordinaires rédigés par l’auteur irlandais, on se souvient de son œuvre The Platoon sortie en 2017 et dessinée par le célèbre Goran Parlov. Il est de retour pour nous faire vivre une nouvelle épopée des plus inoubliables. Comme l’annoncent déjà la couverture et le titre de l’œuvre, on ne cachera pas que cette fois-ci, le plus intransigeant des justiciers de l’univers Marvel aura comme compagnon un autre tueur professionnel. Et avec un Garth Ennis toujours aussi excellent en ce qui concerne la psychologie des personnages qu’il crée, ce nouveau compagnon est un peu une version soviétique de Franck Castle. Et là vous vous dites qu’il s’agit d’un ancien militaire et que vous aviez vu juste. Bien que ce ne soit pas mentionné dans la minisérie, il s’agit bel et bien d’un Spetsnaz qui va s’associer avec l’ancien Marine. Les deux traumatisés, l’un par le Vietnam et l’autre par l’Afghanistan, vont s’entendre à merveille à cause de leurs désirs ardents de vengeance ! on ne peut également omettre le fait qu’il ne s’agisse pas d’un terrain inconnu pour Garth Ennis et Jacen Burrows qui nous avaient déjà produits 303, un chef-d’œuvre se déroulant également dans les zones de combat des Moudjas… autant donc, vous prévenir que l’action est au rendez-vous et qu’il y aura de nombreuses personnes qui se feront buter (voire pire). Et comme d’habitude, le Punisher sera toujours celui qui se tient debout à la fin. Jacen Burrows fait également du très bon boulot comme le personnage qu’il dessine : c’est un travail propre et sans faute. Il est assisté par l’encrage de Guillermo Ortego et les couleurs de Nolan Woodard, qui sont tous les deux d’une précision redoutable. Voilà dévoilée la recette de ce Punisher et c’est bien la raison pour laquelle on l’apprécie tant. Bien qu’il soit d’une extrême violence, Garth Ennis comptant bien entretenir le mythe du tueur au t-shirt à la tête de mort : éradiquer la pire gangrène de l’humanité que constituent les puissants corrompus. Ce chef-d’œuvre est à la fois extrêmement brutal et tout aussi captivant. Proschay, tovarich Stepanovich !
14Note générale
14Scénario / ambiance
15Illustration
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