La vierge et le fer

Description de La vierge et le fer

Le second tome de Sian Loriel, intitulé Les Marches Carmines, emmène le lecteur dans un univers steampunk en proie à une alliance entre des barbares nordiques et le Crapaud. Ce dernier envoie alors Sian Loriel solliciter l'aide de l'empereur Otton. Pour prouver la sincérité de sa demande, ce dernier lui confie une chevalière. Cependant, en chemin, Cass, la mécanicienne de Sian, est prise dans un guet-apens, mais Sian parvient à sauver la situation. Malgré tout, ce tome n'arrive pas à offrir la même qualité que le premier de la série.

Critique de La vierge et le fer

Les dialogues alambiqués ainsi que les scènes d'action peu percutantes et parfois incohérentes compliquent l'intrigue et rendent la lecture par moments fastidieuse. Les graphismes sont tout aussi décevants avec des scènes d'action brouillonnes et des détails négligés. Par exemple, les épées se plient facilement comme du plastique, rendant les scènes de combat peu crédibles. Aussi, la conclusion de la série, qui se trouve dans ce tome, est une petite déception, car elle n'offre pas une fin satisfaisante, laissant le lecteur insatisfait. En outre, certains personnages, tels que les antagonistes, sont sous-développés et ne suscitent pas d'empathie de la part du lecteur. Finalement, bien que l'univers steampunk soit original et intéressant, ce tome ne parvient pas à convaincre totalement.